L'ENNEMI INTÉRIEUR

 

Depuis quelque temps, j ai voulu parler de ce sujet, car des éléments dans l actualité viennent se présentant avec une force bien réelle. J ai voulu commencer avec le texte de Walter Graziano, car dans ces pages, nous trouvons une bonne introduction. Si nous partons du principe, que nos gouvernements prennent des axes de travail autre que celui pour lequel ils ont étés élus, des forces plus fortes que l'électorat, et son droit a être écouté et respecté; sont à l'oeuvre ' à l'intérieur du tissus sociale. Nous avons l'habitude de nommer les gens qui nous dirigent, "nos hommes politiques", cela est tristement faux car ces hommes ne travaillent pas pour nous. Les forces économiques, elles, ont des agendas propres, les syndicats sont un rideau bien joli pour les syndiqués ; mais derrière lui, des choses d'une nature obscure ont lieu. Dans la dernière élection présidentielle en France, des acteurs ont étés présents, avec des textes qui correspondaient, a leurs yeux, l option pour que les électeurs voient comment leurs vies dans l immédiat pouvaient s adapter aux réalités du moment. Dans cet écrit je parle de la France, mais la situation mondiale est tellement identique(mondialisation oblige), que cette réflexion peut être appliqué un peu partout. Nous voyons donc que des incohérences existe dans les plans le plus déterminants de la vie du pays. Si des courants antagonistes se dessinent a un niveau si important, des objectifs opposés coexistent. C est justement là que nous voyons l'incohérence des discours de politiciens, avec leurs actions après l élection. De la viens ma réflexion. A l'intérieur de notre appartenance la plus chère ; la nation, il y a un ennemi a nos aspirations. Lorsque quelqu'un propose d'améliorer les routes, d'actualiser les lois du travail en fonction des technologies de pointe. Et de l'autre cote, on propose, diminuer les fonctionnaires, libéraliser le travail, augmenter le l age de départ a la retraite ; des visions sont clairement à l'opposé. La cause sociale doit être une seule. Les routes utilisées par les pauvres sont aussi utilisées par les autres. Les aéroports, l'infrastructure en générale n'est pas fait pour être abandonnée pour une urgence budgétaire. A personne on ne couperais une jambe par ce qu il y a qu une seule chaussure. Ils agissent ainsi ; leurs urgences sont monétaires.

 

L ennemi intérieur est donc cela. Si pour être élu, il faut raconter des mensonges, c est que le fond de la chose est bien pourri. Faire semblant d'agir pour le bien commun finit par se voir. Notre ennemi intérieur est donc le même. L argent qui favorise a la caste dirigeante rends la satisfaction des besoins de base de tous obsolète. La bactérie ressemble beaucoup a cet ennemi intérieur. Elle fait son nid dans sa hotte pour la manger lentement de l intérieur.     

De personne vu Matrix (Walter Graziano)

 

Le "rideau de fumée": l'ennemi précédent

 

Le Déclin. 

 

C'est le mot clé des temps vécus. Ce n'est pas en vain que ce travail commencera avec la description de l'effondrement de l'Empire romain. La décadence fonctionne toujours comme un signal d'anticipation de ce qui va arriver. Déclin dans les arts, dans la philosophie, dans la littérature, dans la musique qui est entendue massivement, dans les religions, dans l'échelle des valeurs des personnes. Déclin. Images et simulations. Simulation du capitalisme compétitif alors qu'en réalité, chaque jour, les mégacorporations concentrent plus d'argent et de pouvoir et dominent de plus en plus l'univers économique. Cela implique une impossibilité progressive de libre concurrence dans de plus en plus de marchés. Opérations économiques scandaleuses dans l'ombre, parfois silencieuses, secrètes et parfois en plein air, conspirant contre la prétendue «liberté» dont devraient jouir les citoyens d'un grand nombre de pays - s'ils existent encore dans un système globalisé du monde. Partis politiques indifférenciés. Gauche et droite qui se croisent, changent de rôles et se regardent dans le miroir, projetant la même image. Politiciens tous les jours plus semblables, presque clonés entre eux. La vraie démocratie, le cas échéant, n'est qu'un reste, pour des questions de plus en plus municipales et de voisinage. Il ne subsiste que dans quelques exceptions, dans quelques pays très peu développés et dans certains pays en développement qui se remettent lentement de leurs décombres, et s'opposent - comme ils peuvent et pendant qu'ils le peuvent - aux diktats du Nouvel Empire romain. Le peuple, en général, s'éloigne de plus en plus des grandes politiques nationales, qui - et ce n'est pas un jeu de mot - n'ont généralement pas de nationaux. Grand paradoxe des systèmes qui prétendent respecter le concept de démocratie représentative et républicaine.

 

Il suffit d'allumer la télévision pour voir de plus en plus la répétition à l'infini, toutes les heures, les crimes qui se produisent dans les villes, dans les pourtours, qui aident à couvrir les vraies nouvelles qui restent cachés derrière l'effet hypnotique de la télévision où à quelques exceptions honorables et vous pouvez voir presque toutes les nouvelles travesti ordures, programme journalistique, le divertissement, le divertissement ou la parodie de la réalité elle-même qui est copié et lui-même copie, l'auto-production. Des journalistes qui ont peur de poser des questions et des interviewés qui imposent - tacitement ou de manière exhaustive - des ordres du jour de questions et de réponses presque attachés à un scénario. Ce phénomène, cirque dans plusieurs pays en voie de développement, devient réalité dans quelque chose de beaucoup plus sinistre au cœur même du Nouvel Empire romain où le déploiement de fonds permet de couvrir, avec le déploiement de correspondants et le gaspillage d'argent, le réel une information souvent couverte de fausses informations, de faussetés et de demi-vérités. Il suffit d'aller à l'extérieur ou aller à une discothèque la nuit, dans toutes les grandes villes dans le monde, pour voir comment les choses ont changé: la jeunesse a été captivé en grande partie par la cocaïne, l'ecstasy, l'alcool, la prostitution et même des phénomènes beaucoup plus grotesques, tristes et inquiétants. Mais en même temps, on le sent, on le comprend, un signal confus de la fin nécessaire et saine de la fête qui, à un certain moment, doit avoir lieu. Ce sont là certaines des caractéristiques du monde «moderne» et du prétendu «progrès scientifique et technique», qui en soi n'est ni bon ni mauvais, car cela dépend de la façon dont il est utilisé, de l'aide ou de ce qu'il endommage. 

 

Rien de tout cela n'a de conséquences pour aucun d'entre nous. Le bombardement de la désinformation que nous recevons quotidiennement des médias nous fait davantage nous méfier du voisin, de l'inconnu, du connu, du semblable et du différent. Relations sociales de groupes de plus en plus fermés sur eux-mêmes, quasi-consanguinité, amitiés de plus en plus proches du cyberespace, e-mail et chat. George Orwell a déclaré dans son magnifique 1984 que la liberté est l'esclavage. Ce n'est pas quelque chose de très différent de ce qui est entrevu dans le film énigmatique et énigmatique Matrix, qui contient une connaissance sur le peu qu'il y a d'ésotérisme sain. Là, Morfeo avertit Neo que la triste vérité de l'humanité - et la sienne - est qu'il est né pour être un esclave. La matrice doit être prise très au sérieux. Il ne contient pas seulement un amusement pour les adolescents, mais une métamessage claire. 

 

Sur le site de Warner Bros, producteur du film, lui-même contenait de nombreux essais de toutes sortes de ce qu'ils veulent vraiment et peuvent significar.1 Il nous reste très clair que la principale méta-message du film est qu'il existe une autre réalité derrière la réalité Et, par conséquent, que ce que nous appelons habituellement la réalité n'est rien de plus qu'une simple apparence ... L'écrasante majorité de l'esclavage qui existe dans le monde «moderne» se caractérise par le fait que nous devons travailler de plus en plus d'heures, chaque fois pour moins de plaisir et pour un argent qui atteint, à peine, un niveau de vie - ou mieux dit, de consommation - difficile à maintenir. Le grand développement technologique qui est de plus en plus évident devrait être pris comme une autre manifestation de la décadence dominante et du déclin qui approche, étant donné l'invention toujours croissante des technologies superflues et sans valeur: quand un téléphone cellulaire miniature 1 Voir, par exemple, sur ce site le Gnosticisme et le bouddhisme dans la matrice, par Francis Flannery Davis et Raquel Wagner; Matrice Métaphysique, David Chalmers, ou Morpehus et Berkeley sur la réalité, T. J. Mawson, en particulier la réalité, ce qui importe, et la matrice, Iakovos Vasiliou. 9 lecteur MP3, ou lors de la génération de voitures capables d'atteindre les 300 kilomètres par heure, seul le talent humain est gaspillé pour une consommation impossible. 

 

Pour l'amour de rien. Dans un monde où l'idéal est la société basée sur la consommation et la consommation, la liberté ne peut pas être plus que la simple apparence, un semblant plus mince chaque jour, une Chimère irréalisables. Nous pouvons plutôt certains que nous pouvons, se connecter instantanément à Tokyo, en vacances à Paris, jouer au tennis ou au golf, gaspiller de l'argent sur la superficialité de Las Vegas ou l'artificialité de Miami, ou profiter d'une journée gratuite tous si souvent. Mais là tout finit. Ce sont les limites pauvres du nouvel esclavage que le capitalisme d'entreprise, protégé par la façade perverse du représentant présumé et de la démocratie républicaine, appelle la liberté. Peu, en fait, ils peuvent être libres, libres et prendre au sérieux les conséquences, qui ne sont pas simple-, mais n'a toujours pas arrêter de souffrir et parfois beaucoup plus qui souffre le système cruel et essayer d'ignorer les immerge pleinement il. (page 7 et 8)

 

La sensibilité a fleur de peau du malaise n est qu un autre symptôme de l'incohérence dont je parlais tout à l'heure. La perte de repères des nos sociétés aide notre ennemi intérieur a mieux gérer les plans contraire dont il est le metteur en scène. Le filme doit respecter le titre, mais le script finit par amener les acteurs vers des réalités grotesques. Je n'ai pas voté pour ça! Disent les gens. Si on avait su! Pour que les paroles mensongères fonctionnent, il faut des oreilles. Les politiciens ne servent a rien si il n y a pas d électeurs. Le vote est un droit, disent les belles phrases. Un droit est naturellement un don acquis pour exercer son libre arbitre. Mais celui ci n'est pas un bon outil s'il n'est pas nourri de savoir, de connaissances et de compréhension. Cela nous rendrait le choix plus déterminant. Cela finira pour nous aider a ne pas choisir dans le tas que l'on nous propose officiellement. Il faudrait se méfier de tout ce qui est donné, apporte, offert par les voies « officielles ». Le droit au doute, a la méfiance, a la contestation devrait être inscrit dans la déclaration des droits de l homme. Il devrait exister une lois rien que pour les politiciens. Ils devraient rendre l argent avec lequel ils ont pu faire leurs campagnes et être élus, si leurs programme ne sont pas réalisé pendant leurs mandats. La démocratie n'est pas simplement écouter les phrases que la rendent nécessaire, opportune, applicable. Elle devrait punir le mensonge, la traîtrise. Elle devrait être la pour redonner honneur a nos palais souillés par tant de corruption.  Le capitalisme a converti les nations en entreprises. Les citoyen en ouvriers. Le bien-être sociale en donné soumise au rendement. Le monde est converti en un conglomérat d'entreprises ou les unes doivent surpasser les autres. 

 

Le présent: domaine à travers les dollars et l'huile (pages 15,16,17)

 

 

"On nous enseigne souvent l'histoire comme une suite d'événements, de guerres, de conquêtes et de révolutions presque chaotiques. Comme les événements déconnectés les uns des autres. Comme si les facteurs économiques n'avaient presque jamais existé comme une raison de cette succession d'événements politiques qu'on appelle souvent l'Histoire. Lorsque cela se produit, il est prévu que le public pense que l'histoire est rien de plus qu'une lutte personnelle pour l'accès au pouvoir, où les intérêts des grandes entreprises et les banques ne seraient pas plus que les notes annexes, presque hors de propos au moment de commencer les événements transcendantaux pour l'humanité. Évidemment, quiconque suit de près la succession serrée d'événements depuis le début de la mondialisation comprend facilement que ce n'est pas le cas. À cet égard, la mondialisation économique et financière a contribué à mettre en garde et réveiller le public, qui ne comprend maintenant clairement que, après chacun des principaux événements là des facteurs économiques dominants, qui sont le véritable moteur de l'histoire. 

 

Au contraire, ils ont toujours été, bien que l'histoire officielle ne l'enregistre pas. Pratiquement dans tous les temps et partout dans le monde, il en a été de même. Il a également été bien avant la chute du mur de Berlin, bien que les historiens et les historiens officiels généralement pas été enregistrés, tout en conservant son caractère de sujet fonctionnel changement de puissance économique, ce qui devrait évidemment vouloir ne jamais me comparais impliqué dans la gestion des démocraties , les monarchies et toutes sortes de gouvernements. La cause en est claire, surtout à l'ère de la «démocratie»: si la véritable histoire n'est rien d'autre qu'un conflit continu d'intérêts économiques et de facteurs de pouvoir, il est très clair que la démocratie, comme sait aujourd'hui dans le monde, est loin d'être le gouvernement du peuple et pour le peuple. Si les véritables causes des événements, qui sont généralement conservés dans les coulisses étaient connus, il serait très clair que ce qu'on appelle aujourd'hui souvent la « démocratie » est vraiment rien de plus qu'une façade derrière laquelle d'autres intérêts sont traités. Il arrive qu'avec le vernis d'une prétendue légalité populaire, à travers des processus électoraux, les intérêts des groupes économiques les plus puissants soient cachés. Les partis politiques des démocraties sont souvent massivement financés par les groupes économiques qui sont aussi ceux qui maintiennent le système de la presse dans un grand nombre de pays. Sistema - au singulier - de la presse qui, après la prétendue concurrence de divers journaux, radios et chaînes de télévision, cache en fait la véritable cause des événements historiques, qui est derrière chacun des formidables événements qui ne nous montrent que de temps en temps les moyens de communication. 

 

En outre, il est clair que lorsqu'ils présentent presque toujours ces faits déconnectés les uns des autres. Si nous acceptons l'idée qu'en raison de facteurs économiques, sociaux et géostratégiques le monde se dirige vers des possibilités inhabituelles et inconnues jusqu'à présent, nous conviendrons que, pour être conscient de ce qui peut arriver, il est nécessaire d'établir très clairement ce que c'est ce qui s'est réellement passé dans le passé. Parce que si le diagnostic est incorrect, seulement par une chance rare le pronostic ne pourrait pas être. Les prémisses générales de cette loi courent tellement pour le public qui veut vraiment savoir ce qui est arrivé, arrive et arrivera, comme pour ceux qui sont désintéressés de ce qui est arrivé dans le passé et qui concentrent leur attention sur l'avenir, qu'il soit personnel ou social . Pour une double cause, alors, il vaut la peine de commencer par le développement et la chute de l'Empire romain. Premièrement, parce que les parallèles entre la Rome impériale et la structure actuelle de la mondialisation peuvent nous aider à voir ce que l'avenir peut contenir. Deuxièmement, parce qu'une telle comparaison est un exemple clair pour tous ceux qui ne s'intéressent pas à l'histoire de comment et quand la mondialisation et l'économie ont été assemblées, les processus sont conceptuellement simplifiés, ils sont plus faciles à comprendre et ne sont plus Il est nécessaire de recourir à un souvenir bourré de noms, de batailles et de dates - contrairement à ce que le «système» nous apprend dès l'enfance - pour comprendre ce qui s'est réellement passé. Quand l'histoire et l'économie sont réunies, l'histoire trouve son fil et prend une signification qui, dans de nombreux manuels et manuels, tend malheureusement à rester très cachée au lecteur."

 

 

La leçon que l'histoire officielle cache

 

Qui aurait dit, au plus fort de l'Empire romain, que cela se terminerait ainsi? Rien de moins d'un effondrement économique et politique totale, avec Rome elle-même pratiquement dépeuplé, l'Italie divisée en régions où les familles locales régnèrent les terres déjà conquises en Europe, en Asie et en Afrique dans les mains des différents rois, princes et seigneurs féodaux. Les vieilles routes, des routes et des aqueducs, des symboles antérieurs de splendeur et de grandeur, en quelques années transformé en ruines qui étaient Hoodlum et seigneuries de grands chemins. Le commerce international, jadis source de pouvoir économique, s'est transformé en un simple souvenir. L'économie Influents pleine de produits de luxe et la consommation excessive des classes supérieures, bientôt transformé en une lutte désespérée pour la survie. Power, avant de se concentrer sur l'empereur, quelques clans familiaux riches et une poignée de généraux qui 18 ont décidé sur un coup de tête émet un empire qui s'étendait sur trois continents, atomisée en une interminable série de luttes sanglantes entre les dynasties locales, parfois, des territoires de quelques kilomètres carrés étaient contestés. Qui aurait prédit que c'était le sort de l'Empire romain, et pourtant, c'est ce qui est arrivé. Aujourd'hui, nous ne sommes pas sous l'égide de Rome, mais sous la domination du capitalisme à l'américaine: qui divinise l'individualisme, le libre marché, la libre concurrence et de libre-échange. Pratiquement tout le monde est. Aujourd'hui aussi ce système économique capitaliste le style américain, qui a donné lieu à la mondialisation, semble indestructible et éternelle. Cependant, leurs contradictions internes, fruit de leurs excès, ont atteint un tel point qu'il n'est pas difficile de présager leur fin, et une comparaison historique peut être très utile ici. Il arrive que le processus économique par lequel l'Empire romain a atteint sa fin triste a quelques similitudes très pertinentes avec le processus qui peut se produire avec le capitalisme. Voyons voir:

 

L'expansion opulente de l'Empire romain était basée sur la conquête des terres étrangères. Quand l'armée romaine a conquis un pays lointain, elle a saisi ses richesses d'or et d'argent et les a prises à Rome. Avec ces métaux pourrait être battre monnaie, et donc dépenser des fortunes sur les produits de consommation onéreux et exotiques apportés de l'Orient, en particulier l'Empire chinois, et payer des frais très importants de l'armée elle-même. À leur tour, les populations des terres conquises ont été asservies et forcées de travailler pour l'empire. Les hommes devaient cultiver la terre du lever au coucher du soleil et les plus belles femmes étaient forcées de travailler comme esclaves sexuelles. Les armées rivales, après avoir été décimé sur les champs de bataille ont vu leurs généraux ont été tués sommairement, ses plus braves hommes envoyés mourir dans le Colisée comme des gladiateurs, et la soldatesque a été assimilé à massacrée dans les rangs des batailles à venir contre d'autres peuples. Le boom entier et l'expansion de l'Empire romain se sont produits sous ces paramètres: le vol, le pillage, le pillage et la spoliation des voisins conquis. Cela semblait un système infaillible, et en fait, c'était jusqu'à ce que tout le système économique entre en contradiction. Pour payer les coûts militaires immenses, de nouvelles guerres étaient nécessaires. 

 

 

Mais rapidement tout le système monétaire de l'Empire a commencé à s'effondrer. Tant et si bien qu'en une cinquantaine d'années, le denier romain passa de 70% d'argent à seulement 10%. En l'an 218, l'empereur Heliogábalo a décidé de faire la pièce romaine seulement de cuivre. Mais les marchands d'Orient n'acceptaient pas cette monnaie, qui représentait un coup très dur pour Rome. Seulement deux ans plus tard, en 220 d. C, l'argent était si rare à Rome que la monnaie impériale dépréciée n'avait plus de soutien dans ce métal. En conséquence, l'empire a répudié sa dette publique. Cela aboutit à la chute définitive de Rome en tant que grand marchand mondial et à l'impossibilité pour le gouvernement de payer sa force militaire. Comme on peut le voir, le système économique romain - tourné vers le militarisme et la conquête plutôt que la compétitivité - était le «talon d'Achille» de l'Empire. Pour maintenir une consommation opulente, il fallait piller les voisins. Pour cela, il était nécessaire d'avoir une impressionnante machine militaire. Mais les machines militaires représentaient un autre coût énorme à assumer et, souvent, elles ne généraient pas suffisamment de ressources pour payer ses propres dépenses. Les aventures militaires sont devenues une source de pertes, au lieu de générer des revenus. Et puisque le papier-monnaie n'existait pas, il produisait un flux hors de l'empire de tout l'or et de l'argent que les Romains avaient obtenus dans le cadre de leur butin de guerre. À partir de ce moment-là, le destin de l'empire fut scellé: la fragmentation, l'anarchie, la perte de tout pouvoir et autorité et le déclin économique inexorable au point que la subsistance quotidienne était un problème.

 

Mais les erreurs économiques ne s'arrêtent pas là. Le manque de prévoyance pour prendre soin de l'écologie des terres de l'empire a fait baisser leur fertilité. Comme de nombreuses années ont été tentées pour obtenir des profits trop élevés de la terre en supprimant les périodes de repos ou de «jachère», les terres conquises ont commencé à perdre leur richesse, avec laquelle les récoltes ont commencé à diminuer. De cette façon, étant donné qu'il n'y avait pas d'or ou d'argent pour importer de la nourriture de l'étranger, des augmentations du prix de la nourriture, de la rareté et de la rareté dans une ville avec un nombre croissant d'habitants, ils ont commencé à de la pauvreté et du désespoir. 20 Pour aggraver les choses, ainsi qu'une planification adéquate de l'administration des ressources énergétiques, il devenait difficile de cuisiner et de chauffer les maisons. Il arrive que les Romains abattent les forêts de leur empire avec une rapidité alarmante. Le bois et le bois, c'est-à-dire les principales sources d'énergie de l'époque, étaient d'abord des biens bon marché, car leur disponibilité était très abondante. Cependant, avec le passage du temps, et surtout comme ils ne pouvaient pas continuer avec les conquêtes de nouvelles terres, dans de vastes régions de l'empire a commencé à être très difficile à réaliser des marchandises, de sorte qu'une grande partie de la population a été laissée sans être capable de cuisiner leur nourriture et de chauffer leurs maisons.

 

Donc, étant donné les choses, non seulement l'empire a commencé à se démembrer, mais la propre Rome a fini par être dépeuplée. Au huitième siècle, ce n'était qu'un pauvre hameau de quelques milliers d'habitants qui vivait dans les vieilles ruines des bâtiments impériaux. Qui aurait pu prédire un tel destin à l'époque de son premier empereur, Auguste? Personne, et pourtant, nous le répétons, n'était ce qui s'est passé. Un scénario relativement similaire attend peut-être le système économique capitaliste actuel dans le style américain qui aujourd'hui, installé dans le monde entier, montre des déséquilibres de toutes sortes: certains, sociaux, évidents en un grand nombre de pays, et d'autres économiques et financiers. un peu plus caché pour la population générale du «Premier Monde», mais non moins problématique et conflictuelle, à tel point qu'ils peuvent bien déterminer la fin de cette ère de la mondialisation dans laquelle supposément l'individualisme, le «libre» marché "et libre-échange.

 

Le jours ou j ai lu cet article sur l empire roman, ma position sur les effets du capitalisme s'est renforcée. Les conflits dans le monde ont prit leurs véritable dimension. Je me suis toujours de mandé : pourquoi, s'ils ont tant d argent, a quoi sert d en avoir encore ; le folie d amasser encore plus et limiter l existence des autres. L argent n est qu un moyen d'obtenir des résultats qui ne sont pas écrits dans les théories économiques. Ceux qui s'enrichissent avec les génocides et qui restent a observer la débâcle depuis leurs tours ; eux ne sont pas humains. Leurs échiquier sont dessinés depuis bien longtemps. Ils se cachent dans l obscurité de leurs carrés sans lumière ; dans leurs invisibilité obtenue avec leurs peaux de mouton.  L'ennemi intérieure suit un cheminement tracé par leurs ancêtres ; Ils héritent plus que du capitale ; leurs vrais souci est de faire avancer des agendas venues de très loin. Dans l crépuscule du cosmos, des tactiques, des plans, des procédures, changent des planètes entiers. Des méthodes testées dans la profondeur des espaces-temps inconnus, sont mis en œuvre depuis des temps immémoriales. La question posée aux Cassiopéens sur la race humaine : Qu elle est la vérité ultime?- « Vous êtes une expérience de laboratoire. »Si vous voulez que cette affirmation soit mieux expliquée, allez voir le filme « L'ascension de Jupiter » Toujours réalisé par Andy et Larry Wachowski . Ils se sont occupés des histoires les plus révélatrices sur le destin de la race humaine. Si un jours, des « évangiles » devraient être écrits, on les appellerait les évangiles selon les Wachowski. Toute leurs production est remplie des clefs destinées a nous aujourd'hui.

 

L ennemi intérieur n est plus dans son isolement protecteur. Leurs actions ignobles ont finit par les révéler a la lumière du monde. Les théories du complot ne sont plus des théories. Quand vous avez le pouvoir et les moyens, il n y qu a faire avancer la chose. Les deux milles ans qui viennent de passer les a donne les moyens. Les templiers( franc maçonnerie), l'ère industrielle, le capitalisme, la mondialisation. Tout cela nous a amené a la catastrophe des nos jours. Mais cela est une catastrophe que pour nous, les humains. Les autres, vautrés dans leurs richesses immenses, ne comptent pas les forêts disparues, les espèces animales éteintes, les villes et villages détruites avec toute leurs populations dedans. Des machines à s'auto satisfaire ; des mécanismes à s'auto reproduire sur la déchéance des autres.  Des livres ont étés écrits sur ces entités.

 

 

La ponérologie politique

étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques

Dr. Andrzej M. Łobaczewski

Description

Préface rédigée par Laura Knight-Jadczyk

 

"Le premier manuscrit de cet ouvrage a été jeté au feu cinq minutes avant l'arrivée de la police secrète en Pologne communiste.

 

Le deuxième, rassemblé péniblement par des scientifiques travaillant dans des conditions de répression quasiment invivables, a été envoyé au Vatican par l'intermédiaire d'un messager. Celui-ci n'a transmis aucun signe de vie et aucun accusé de réception n'a été reçu. Le manuscrit et toutes ses précieuses données étaient perdus.

 

Le troisième manuscrit a été rédigé dans les années 1980, après que l'un des scientifiques ayant collaboré au projets ait fuit aux Etats-Unis. Zbigniew Brzezinski en a censuré la publication.

 

La ponérologie politique - étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques a été façonnée dans le creuset même du sujet étudié.

 

L'auteur et son équipe, vivant sous un régime répressif et totalitaire, décidèrent d'étudier ce phénomène, ses fondateurs et ses acteurs, afin de déterminer le facteur commun dans la montée et la propagation de l'inhumanité de l'homme envers l'homme.

 

Choquant dans la sobriété clinique de ses descriptions de la véritable nature du mal, poignant dans les passages décrivant les souffrances vécues par les chercheurs qui ont été contaminés ou anéantis par la maladie qu'ils étudiaient, cet ouvrage devrait être lu par tout individu défendant les valeurs morales ou humanistes. Car il est certain que la moralité et l'humanisme ne peuvent longtemps supporter les déprédations du Mal. Connaître sa nature, la façon dont il se crée et se répand et l'hypocrisie et la perfidie de son mode opératoire, en est l'unique antidote."

L ennemi intérieur n un plus que perfectionner les méthodes anciens. La technologie testée dans d'autres endroits lointains, est utilisée pour l'ingénierie sociale de la destruction. Pour la réduction des populations dans les temps anciens, les guerres étaient enclenchés. Les guerres sont planétaires et tout le monde est visé. L alimentation, les nouvelles technologies, les traînés atmosphériques, les vaccins, les médicaments, les maladies crées en laboratoires. Tout cela se passe devant nos yeux. Des actions qui visent, ce que l'on appelle, des modifications de lignes temporelles, sont à venir à l'aide des gros attentats. Les 9-11 en fut la première de l'époque actuelle. La suite logique sur les attentats de Paris le 07-01-2015.

 

 

Laura Knight-Jadczyk -

L'information, les choix, et le destin

17 février 2014 ' Publié dans: Sources inspirées

 

(Source : Deux extraits de la Partie 5 des vidéos Knowledge and Being, traduction complète ici)

 

« L'information est vraiment d'une certaine manière impliquée avec la théorie des mondes multiples. Vous avez une personne ici [Laura montre sur le schéma] - vous pouvez tous la voir ? Vous avez ce type ici. Il part d'ici et va là-bas, et il y a une bifurcation. Il prend une décision. Ou il se marie, ou il ne se marie pas. Dans cette ligne temporelle, ici, il ne se marie pas. Vous voyez comment cette ligne temporelle s'obscurcit ? Dans celle-ci, il ne se marie pas, se sépare et vit seul, et dans cette autre, il se sépare et c'est un clochard, vous le voyez traîner avec sa capuche et son dos voûté. Là, il a un porte-documents, donc dans cette ligne temporelle, c'est un homme d'affaires solitaire, comme un milliardaire violeur et pilleur à Wall Street. Il a décidé de ne pas faire cela [se marier], et voilà les conséquences obscures. Mais il a décidé de se marier. Là dans cette ligne temporelle, il marche main dans la main avec sa chérie. Il y a une autre bifurcation ici, et dans [cette lignée temporelle], sa chérie meurt, ou il devient fou et la tue. C'est difficile à dire en regardant l'image. Non, celle-ci n'arrive pas ; et à la place ils ont deux petits enfants et ils marchent vers le soleil couchant, vivant heureux pour toujours. C'est une des plus simples versions de [la théorie??] des mondes multiples ; vous faites un choix et c'est comme un arbre. Lorsque vous avez un arbre, il pousse un peu comme ça. Si pour une raison ou une autre, personne ne porte attention aux arbres, ils vont naturellement pousser de cette façon, bifurquer de cette façon, et il aura cette branche aussi. Pour une raison quelconque, celle-ci dépérit. Puis celle-ci continue et bifurque de cette façon. Celle-ci a deux ou trois branches. Celle-ci meurt et celle-ci meurt. Et celle-là continue. Il y a des endroits où la force de vie continue et il y a des endroits où elle s'arrête pour une raison quelconque. Pour une raison quelconque, l'arbre décide de soutenir cette branche ou ce rameau, mais pas ceux-là. Parfois, ces décisions sont prises en raison des éléments extérieurs. Parfois, ces décisions sont prises par des gens avec une tronçonneuse et un sécateur. Ils décident à la place de l'arbre les branches qui vont vivre et les branches qui ne vont pas vivre. Pour autant que l'on sache, il y a êtres dans notre Cosmos qui décident si notre espèce a besoin d'une taille, et quand. En tant qu'individus, nous sommes comme les cellules d'un arbre.

Voici un autre exemple de la façon dont cela fonctionne. Vous avez ces possibilités et là existent des possibilités infinies. Je pense qu'on pourrait vraiment le considérer comme ça. Vous commencez ici et vous avez là ces différentes possibilités. Vous faites plusieurs choses différentes. Ensuite, celle-là a le plus de sève, le plus d'énergie, donc c'est elle qui croît. C'est peut-être une question de centre de conscience, de ce sur quoi vous concentrez votre conscience. Quelle branche de la réalité de vos expériences de vie possibles. Les potentiels sont infinis. [Ce schéma] montrait seulement un couple, mais c'est vraiment infini et à certains endroits vous pouvez prendre certaines décisions selon les informations que vous avez au moment donné. Ce n'est pas nécessairement, comme nous en parlions hier soir, qu'il y a des bifurcations planifiées dans votre vie, et qu'il est prévu à l'avance que vous rencontriez telle personne à tel ou tel moment. Je pense que c'est peut-être donner un peu trop d'importance à la prédestination, dans ce problème. La personne ici et la personne là peuvent naître à deux endroits totalement différents de la planète. Cela peut dépendre totalement de... - peut-être qu'ils n'avaient rien planifié avant de naître. Tout est une question de choix, de colinéarité, de congruence mutuelle sur un tracé particulier d'information, plutôt que quelque chose de planifié.

Regardez ceci [schéma ci-contre]. C'est comme un petit instantané d'une série de mondes. Ce sont toutes des réalités différentes. Elles sont adjacentes, et disons qu'elles descendent (??) à chaque fois que l'Univers se recrée. [Le schéma ci-dessous] est celui où l'on parle de trous de ver dans notre univers, mais je pense qu'il est en fait plus utile pour d'autres raisons. Si vous y réfléchissez, chacun de nous, puisque nous sommes des unités de conscience de lecture d'onde, pourrait être représenté par un de ces petits cercles ici. Ils sont reliés par ces petits passages ressemblant à des trous de ver, mais je dirais que nos réalités se chevauchent en fait d'une manière légèrement différente. Là il y a ma réalité, là la réalité de mon mari, est là les réalités de nos enfants. Il a des collègues que je ne connais pas et n'ai jamais rencontré. J'ai d'anciens amis que je connais qu'il n'a jamais rencontré. D'une certaine manière, ils se chevauchent. Peut-être est-ce correct de le représenter avec ces connexions en trou de ver, mais je le vois comme se chevauchant. Il y a d'autres situations où vous avez un grand cercle et tout le monde à l'intérieur. C'est notre civilisation humaine et ce sont des réalités différentes. Peut-être qu'il y a des milliards de ces petits cercles à l'intérieur du grand cercle. Là il y a des cercles pour la population des psychopathes. Et un autre cercle pour la population des gens normaux. Des populations avec différents types d'anomalies psychologiques. Donc, il y a des cercles, dans les cercles, dans les cercles.

L'essentiel, la chose que je veux souligner, c'est que chacune de nos réalités personnelles est une sorte de réalité en soi. Nous pourrions être connectés comme le montre cette image - celle qui évoque des trous de ver, mais je ne veux pas parler des trous de ver. Pour autant que l'on sache, nos liens avec les autres sont un peu comme des trous de ver. Nous pouvons entrer et sortir de ces réalités par une sorte de trou de ver. A quoi ressemble vraiment un trou de ver ? Personne ne le sait. Peut-être que quand vous êtes vraiment en phase avec une autre personne, votre partenaire, votre bébé, vos amis proches ; peut-être qu'il y a un trou de ver activé et toutes sortes d'échanges que vous ne soupçonnez même pas, à un niveau plus profond, entre vos deux unités de conscience de lecture d'onde.

Je veux revenir à cette image en particulier. Si nous savons qu'il y a un nombre infini de réalités possibles auxquelles dans lesquelles vous pourriez entrer, peut-être que quand votre conscience en sélectionne certaines, les autres dépérissent, se dissipent, ou disparaissent. En gardant aussi à l'esprit, que cette (??) réalité est encore plus grande, comme celle que nous avons ici. Il y a une réalité mondiale avec différentes populations d'individus ; des sous-réalités et sous-sous-réalités et sous-sous-sous-réalités et ainsi de suite. Imaginons qu'en ce moment même, il y a tout un tas de mondes qui se chevauchent. Ce sont des planètes terre.

« Mondes qui se chevauchent. Ce sont des planètes terre. » 

 

Comme vous le savez probablement, la plupart des gens sur la planète Terre ne semblent apparemment pas pouvoir faire grand-chose pour l'état de la planète. La destruction mondiale actuelle à cause de la cupidité, de big pharma, big agra, des grandes entreprises et les guerres. L'uranium appauvri, les nucléaire centrales et les déchets dans les océans. Je ne sais pas si quelqu'un d'entre vous avez fait attention à ces choses, mais c'est vraiment très mauvais. Je ne pense pas qu'une issue positive à ce monde soit très probable ; avec tous ces conditions particulières. Je ne sais pas pour vous, mais en tant que personne ayant passée la majeure partie de sa vie à étudier et analyser l'histoire, chaque fois qu'il y a eu une domination pathologique, elle ne change vraiment que lorsqu'une autre domination arrive. Ils se mettent à faire la guerre et se servent de la propagande pour monter les populations les unes contre les autres. L'une ou l'autre peut ne pas être détruite. Ce qu'il se passe habituellement, c'est qu'à chaque fois que les gens sont vraiment au point où ils détruisent l'environnement - et c'est déjà arrivé - d'une certaine façon, le Cosmos n'aime pas cela. Il envoie une ou plusieurs comètes flamboyantes ; ou un tas de petites, ou peut-être une grande, peu importe. Boom ! Tout le monde revient à l'âge de pierre. Non seulement les populations sont sérieusement décimées, mais le potentiel de destruction technologique est également dévasté. L'environnement est agité. De nouveaux éléments chimiques sont apportés à la planète; de nouveau minéraux. Il y a des tempêtes, qui redistribuent les minéraux à la surface de la terre. Il y a des volcans, des pluies, toutes sortes de choses qui se produisent et qui agitent très violemment la planète. La plupart des créatures, y compris les humains, ne survivent pas à ce genre de chose, mais c'est en réalité très bénéfique pour la planète. C'est comme du rolfing pour la planète [NdT : le rolfing est une thérapie manuelle visant à l'intégration structurale du corps et du mouvement]. La planète aime vraiment ça, elle se sent beaucoup mieux après. Elle se débarrasse de tous ces parasites.

 

Même si cela ne se produit pas. Qu'imaginez-vous qu'il se passe ? Réfléchissez-y, réfléchissez vraiment sur comment sont les choses. Honnêtement, pensez-vous vraiment que si vous vous asseyez là et méditez sur paix dans le monde, qu'un psychopathe va soudainement acquérir une âme et changer ses habitudes ? Comment imaginez-vous que cela se produise ? Les gens ont eu Journées mondiales pour la paix dans le monde depuis les années 70 et tout n'a qu'empiré. Je ne sais pas pour vous, mais de là où je me tiens, on ne dirait pas que c'est une activité très positive. Tout va de mal en pis. Avant, on n'avait pas besoin de fermer sa porte à clé. Avant, vous pouviez aller voir un policier et lui demander de vous aider, car il était là vraiment pour vous aider ; c'était votre voisin. Vous saviez qui il était. Aujourd'hui, les policiers ressemblent à... qui sont les soldats dans Star Wars?

 

Public: Les Storm Troopers.

 

Laura: Storm Troopers. Ils ressemblent à des troupes d'assaut dans Star Wars et ils ont des pistolets paralysants. Ils tirent sur les gens, sur les innocents, sur les personnes handicapées, et ils tirent sur les enfants. Ils arrêtent les enfants dans les écoles. Ils ont mis des menottes à des enfants de six ans parce qu'ils ne pouvaient pas rester assis. En fait, c'est encore pire. Ils mettent à la tête des écoles des gens qui n'ont rien à faire avec les enfants. La destruction de notre société, la dégradation de notre société, la disparité croissante entre les riches et les pauvres ; ce gouffre immense. Il y a plein d'endroits où vous pouvez aller et voir que les 1% des plus riches ont tant d'argent et que tout le reste des gens en a tant. Il y a 99% d'un côté, et 1% de l'autre. La plupart d'entre eux ne le déclarent même pas. Comment pensez-vous que ça va finir ? Honnêtement. Au minimum, il y aura une grande famine très, très bientôt. Beaucoup de gens vont mourir. Les riches vont s'accaparer le peu de nourriture que la planète parviendra à produire dans les conditions actuelles de changement climatique. Ce sont les gens au pouvoir, les gens avec des armées. C'est ce que dit - comment il s'appelle déjà - dans le film V pour Vendetta : « Que se passe-t-il quand des gens sans armes sont face à des gens armés jusqu'aux dents. Habituellement, les gens sans armes finissent par mourir. » Je ne sais pas quelle est votre vision de l'avenir, ni quelles sont vos illusions si vous pensez que vous pouvez juste méditer sur la paix du monde et qu'elle adviendra. Il me semble que nous en sommes là, à ce moment où le choix est fait de devenir un clochard ou d'assassiner sa femme, qui sait. Les choses ne sont pas bonnes. C'est ce qu'il va arriver à la conscience humaine, si elle est vraiment anéantie par la famine, les tremblements de terre, les tsunami, les maladies, sur cette planète. Le plus gros problème auquel nous sommes confrontés est probablement la maladie. Une sorte de Peste Noire avec un taux de mortalité de 80%. Notre planète ne s'en sortira pas très bien.

 

Nous en sommes tous là. Comment faire quelque chose ? Si méditer sur la paix dans le monde ne marche pas, que faire ? Qu'est-ce qui peut marcher ? Si quelque chose marche ? Eh bien, peut-être que parmi les mondes possibles, cet autre monde, là, a une issue très différente. Peut-être que celui-là a un avenir radieux. Comme celui là où est dessiné le soleil. Comment passez-vous de ce monde à l'autre ? Est-ce même possible ? Si vous y arriviez, comment le remarqueriez-vous ? Certaines personnes pensent qu'il suffit juste d'avoir de belles pensées et d'être un « gentil garçon », et qu'un jour quelque chose se produira hors de notre monde (??) et qu'il va le transformer, modifier les énergies. Tout le monde transporté automatiquement dans une autre dimension de la réalité. Et si ça ne marchait pas comme ça ? Et si ce qui marchait vraiment était ça ? Ou ça ? Ou ça ? Et si certaines lois de la physique ou propriétés de la physique, disons... Je ne suis pas sûre que nous savons vraiment ce que sont les lois. Nous connaissons certaines lois. Nous avons des théorèmes, des postulats, des lemas (?), des axiomes, nous avons toutes ces choses. Les choses semblent fonctionner plutôt bien et semblent être plutôt bien définies, et c'est plutôt intéressant. Nous avons un certain contrôle là-dessus, tout comme nous avons un certain contrôle de la recherche historique. Continuons avec ce que nous pensons probable. Supposons que c'est comme ça. Et ce n'est pas juste une question de se laisser porter ou pas. Ce gars là, il était là, il avait un choix à faire. Il pouvait se marier, ou il pouvait vivre seul. C'est vraiment un choix simple, basique. Une fois qu'il a choisi de vivre seul, de ne pas se marier, alors il a eu un autre choix ; il pouvait partir à la dérive, être un clochard dans les bas quartiers, et se noyer dans l'alcool - j'aurais dû mettre une bouteille dans sa main [sur le schéma]. Il pouvait prendre un porte-documents, devenir spéculateur journalier à Wall Street, et être un véritable maraudeur. Il n'a pas choisi cela, donc ici [sur le schéma], il a choisi de se marier. Il a ensuite eu un autre choix, il pouvait tuer son épouse, elle pouvait mourir d'une maladie, ou ils pouvaient avoir des enfants et vivre heureux pour toujours. Ce sont toujours des choix. Chaque choix se base sur les informations qu'il avait à sa disposition. Si cette personne, là, au moment de ce choix, qu'il allait être un clochard solitaire des bas quartiers parce qu'il avait fait un choix stupide - ne pas arrêter de boire - ; pensez-vous qu'il aurait arrêté de boire ? Ou si, à ce moment-là, il savait que s'ils continuaient à se disputer et qu'ils n'étaient pas soutenus psychologiquement, qu'il allait finir par tuer sa femme ? Ou s'ils ne faisaient pas attention à ses symptômes et qu'elle n'était pas allée voir un médecin, qu'il allait rentrer à la maison et la retrouver morte un jour. S'il avait cette information... Vous voyez comment l'information peut faire toute la différence dans chacune de ces situations ? Ce sont de simples bits d'information. Je parle ici d'informations de ce genre, mais à plus grande échelle. Des informations sur vous-même, votre fréquence, d'autres personnes, de l'information sur la façon de passer de cette réalité à cette autre réalité. Comment faire ? Est-ce même possible ?

 

Toute structure organisée contient des informations. Plus il y a d'informations, plus il y a d'organisation. Ce que nous voyons, c'est de l'information introduite dans notre système. La vie ne ressemble à aucun autre processus connu de l'univers. Elle n'obéit pas à l'interprétation acceptée et traditionnelle de la deuxième loi de la thermodynamique. La vie est tout système où l'information, c'est-à-dire l'ordre, et les composants énergétiques de l'entropie sont découplés de telle sorte que l'ancienne composante peut diminuer tandis que que la nouvelle augmente toujours. C'est-à-dire que l'information augmente et l'énergie diminue. Ces lois concernent la production et la dépense d'énergie dans le système de vie ainsi que tous les autres phénomènes de l'univers. Qu'allons-nous faire avec cette information ? Pourquoi même devons-nous réfléchir à l'information ? La première chose à laquelle nous voudrions réfléchir, c'est l'état de chaos dans lequel est plongé aujourd'hui le monde, révélant qu'il existe un réel problème d'information. Autrement dit, de vraies informations. Rappelez-vous, l'information existe indépendamment, qu'elle soit perçue ou non. Si l'arbre tombe dans la forêt et que vous définissez le son comme une compression d'ondes, que quelqu'un soit là pour l'entendre ou pas, l'arbre tombe toujours. Il y a toutes sortes d'informations autour de nous qui pourraient apporter de l'ordre. Il pourrait y avoir un son s'il y avait un détecteur pour le détecter. Mais ce n'est pas ce qu'il se passe. Cependant, nous savons que notre système de vie augmente l'ordre, parce que l'information augmente toujours et diminue en tant qu'énergie, et pourtant nous sommes dans cet état chaotique. Que pensez-vous donc qu'il va se passer ? Nous allons de toute évidence recevoir beaucoup d'informations en plus sur cette planète. Un événement inhabituel est quelque chose qui comporte beaucoup d'informations. Quelque chose d'inattendu. Quelque chose qui n'est pas régulièrement reproductible. Quelque chose que vous ne pouvez pas toujours prédire."

 

Une autre stratégie des temps modernes, est la création de groupes armés qui dépassent toute échelle d avant. Ils sont bien achalandes, ils possèdent tous de beaux véhicules Toyota, ils ont l autorisation d envahir, détruire, assassiner, violer, massacrer tout ce qui les passe devant. Le but est proportionnel a leur quantité numérique. Leurs technologies dernier cris contraste avec leurs apparence d'homme des cavernes, des chasseurs d'autrefois qui étaient dévorés par les animaux préhistoriques. Ils ont des copains qui logent a New York, Paris, Londres, Jérusalem. Ces groupes ont la fonction d assumer tous les péchés modernes. Si une bombe saute a Manille, c'est pour leurs pomme, Si une voiture bombe défait 40 passants, c est pour leurs pomme. Si des journalistes meurent a paris, c'est pour leurs pomme. Si 3000 vies humaines, partent en fume en même temps, c est pour leurs pomme. Si des dizaines d spectateurs dans concert a paris sont massacrés, c'est pour leurs pomme. Ainsi, leurs affaires poussent avec un ennemi a « géométrie variable. »  

Ci dessous, déclaration d un journaliste sur les méthodes du système pour encadrer la pensée de l'opinion publique sur les faits graves.

https://fr.sputniknews.com/international/201701161029621341-journaliste-verite-cia-mort/

 

Ci dessous un extrait de Protocoles Des Sages de Sion pour mieux comprendre notre époque