LE DEUXIEME GUERRE MONDIALE ou le front contre la mondialisation américaine-sioniste

Des vaincus, nous aurons de plus en plus connaissance des réalités qui ont forgés le dénouement de notre présent. Si saddam n'avait pas des armes de destruction massives, alors, L'allemagne des années 30, qu'est ce qu'elle n'avait pas non plus. La machine a mondialisé aura essayé dans les périodes d'avant avec les mêmes ressources qu aujourd hui. Manipuler et mentir, dénigrer l'autre et être prêt au pire pour faire bouger ses pignons. Nous nous rendons compte petit a petit, que les bases sur lesquelles notre monde est bâti, presentment de petites fissures, que s'en approchant, elle deviennent des gouffres pour aller voir dedans ce qui fait que ces fissures ne se sont jamais fermées. Il y aura un moment dans notre vie, ou les vaincus auront le droit de s'exprimer; peut être qu'ils étaient plus proche de nous de ce que nous pouvons penser. La mondialisation actuelle, pousse les sociétés a s'oublier et se nier; de quel droit quelques enfoirés, veulent faire tabula rasa de l existence des milliards de personnes. Platon nous avait déjà averti de projection des ombres qui se trouvent derrière nous. Nous commencent a pouvoir tourner le cou et les voir dans leur trône bâtis avec le sang de milliards de vies depuis le commencement de notre vie planétaire. Alors, allons voir ce que notre cou nous laisse apercevoir. Le document que j ai inclu dans cet article, je vous demande de le regarder attentivement. Les préjugés ne doivent pas être au rendez-vous; rien de ce que nous savons n'est juste. Donnons nous donc la chance d'avoir d'autres informations sans les passer par de filtres. 

 

 

Par le protocoles, nous savons que le communisme est un pas intermédiaire entre le monde de l'époque et la mondialisation tant voulu par la pensé messianique de sionistes. La révolution française comme la révolution bolchevique, furent des pas pour l'uniformisation du monde et amener la famille et les nations a leurs disparition. Voilà pourquoi l'Union soviétique fut l'allié contre l'Allemagne( je ne dis pas l'Allemagne nazi, car cela fût un terme inventé par les juifs. Lire" Dire la vérité et humilier le diable"). Autrefois, la mondialisation concernáit de portions du monde. La Russie d'après 1917 en était une; accompagné de la création de l'Union Européenne, et puis, les traités commerciaux actuels imposés toujours par la même entité. Le résultat de ces mondialisations, nous les connaissons déjà. L'Union soviétique n'a duré que quelques décennies, avec comme résultat des millions de morts et une nation dévastée. Les pays de l'EU, tombent en morceaux car la base qui soutenait leurs raison d'être, est demonté voie l'austérité qui impose l enrichissement des maîtres du jeu. L opposition entre L union soviétique et l occident, peut se voir comme l'imposition au monde de deux axes d'évolution ou le propos est toujours le même; représenter le bien et désigner le mal, pour poursuivre des plans souterrains des maîtres invisibles. Si la banque de l'époque a financé des contradicteurs, on peut conclure que ces actions meurtrières sont de leurs création. En regardant la vidéo, vous ne trouvez pas une ressemblance avec ce qui se dit et fait dans le monde d'aujourd hui. Le príncipe est encore le même; vous remplacez les dirigeants américains, Anglais et français de l'époque par Trump, Theresa May et Macron. Leurs bu test le meme 77 années après, réduire le pouvoir des autres et imposer leurs visión du monde. Mais cette fois-ci, la Russie n'est plus allié car elle a comprit les tenants et aboutissants du mouvement anglo-sioniste. 

 

Seconde Guerre mondiale est complètement erronée…

 

« L’histoire de la Seconde Guerre mondiale est faussaire … elle glorifie les vainqueurs et diabolise les vaincus … L’historien Irving est bien plus précis que les historiens courtisans … (qui) ont fait équipe avec les sionistes pour salir et diaboliser les meilleurs historiens de notre temps. »

Par Paul Craig Roberts – Le 11 juin 2018 – Source paulcraigroberts

 

Ron Unz est l’un des meilleurs hommes de notre temps. Il cherche la vérité et il soutient ceux qui font la même chose. Dans cet article, il vient défendre David Irving, le meilleur historien du 20ème siècle.

Les sionistes détruisirent les moyens de subsistance de David Irving par la calomnie et la diffamation, parce qu’il publia une lettre de l’ancien chancelier allemand, le prédécesseur de Hitler, à Winston Churchill, lettre qu’Irving trouva dans le dossier de l’éditeur américain de l’histoire de la guerre par Winston Churchill. L’éditeur a empêché Churchill de publier cette lettre dans son livre.

L’ancien chancelier d’Allemagne, qui a échappé aux nazis et vécu en Angleterre, a écrit à Churchill que deux des financiers d’Hitler étaient des juifs qui géraient deux des plus grandes banques en Allemagne. L’un était un dirigeant sioniste. La lettre existe, et il n’y a aucune raison de douter de son honnêteté. Cependant, pour avoir rendu public un document historique important, Irving a été sali par une campagne de propagande vicieuse, le présentant comme « antisémite » et « négationniste de l’holocauste ».

Irving pensait simplement qu’il était historien.

Un autre scrupule d’honnêteté d’Irving, celui qui l’a détruit, était qu’après dix années de recherche, il ne pouvait trouver aucun document qui fournissait la preuve que Hitler avait personnellement mené l’holocauste, ou qu’il en était même informé. Irving a trouvé et rapporté des documents, qu’il a mis à disposition, dans lesquels Hitler émet des ordres interdisant l’extermination des Juifs. Être honnête ne fait pas d’Irving un apologiste de Hitler.

 

Irving n’a pas dit qu’il n’y avait pas d’holocauste, seulement que les choses se passent dans les gouvernements, tout comme dans les forces de police dont les responsables ne sont pas informés. Je sais, d’expérience vécue, qu’il s’est passé des choses pendant l’administration Reagan, dont le président ignorait l’existence.

L’histoire de la Seconde Guerre mondiale est incorrecte. Elle est écrite pour servir les intérêts de ceux qui ont prévalu. Elle glorifie les vainqueurs et diabolise les vaincus. Comme le dit le vieil adage : « les vainqueurs écrivent l’histoire ». En d’autres termes, l’histoire est égoïste, pas exacte. Les histoires d’Irving sont beaucoup plus précises que celles écrites par les historiens courtisans. Par conséquent, les historiens de la cour se sont associés aux sionistes pour calomnier et diaboliser le meilleur historien de notre temps.

Les deux conférences d’Irving que Ron Unz a retrouvées et incluses méritent votre attention. Irving explique pourquoi l’histoire écrite par les universitaires est inexacte et pourquoi les interprétations correctes sont inacceptables pour les éditeurs et la classe dirigeante.

Les guerres sont de grandes productrices de mensonges parce que la propagande est nécessaire pour motiver les soldats à se battre et pour s’assurer que les populations acceptent les difficultés associées. L’utilisation de l’histoire comme propagande nous empêche d’apprendre de l’histoire. Ainsi continuons nous à faire les mêmes erreurs.

Paul Craig Roberts

 

Traduit par jj, relu par Cat pour le Saker Francophone

 

 

 

 

 Le crime impardonnable de l'Allemagne 

Dites la vérité et vous humilierez le diable-Gérard Menuhin

 

Avant la seconde guerre mondiale fut de tenter de retirer son pouvoir économique du système commercial mondial et de créer son propre mécanisme d'échange ce qui aurait empêché la finance mondiale de faire des profits. (Churchillà lord Robert Boothby, cité dans l'avant-propos, Sidney Rogerson,Propaganda in the Next War, 2e éd., 2001, orig. G. Bles, Londres, 1938).* * *Les protocoles ont été respectés. Le sionisme domine le monde. Il a créé la deuxième guerre mondiale parce que Hitler a trahi la clique à fric juive et chrétienne qui lui a donné cent millions de dollars, et il commencera une troisième guerre mondiale si nécessaire pour asservir complètement les peuples comme indiqué dans les protocoles. (Henry Klein, Zionism Rules the World, 1948/ré-impression Liberty Bel lPublications, Reedy, W. Va., 1978).* * *Les conséquences de l'élection dřHitler comme chancelier furent le manque de sources de crédits étrangers. Le commerce extérieur a stagné et par conséquent, les recettes également, recettes à partir desquelles les importations nécessaires pourraient être effectuées. Cela provoqua une perte de revenus, un taux de chômage élevé et l'appauvrissement des éléments les plus misérables de la population.L'Allemagne inventa alors sa propre solution au dilemme :l'autosuffisance économique. 

 

Le gouvernement du Reich a commencé à guider l'économie nationale au moyen de deux plans de quatre ans.Le premier plan quadriennal, à partir de 1933, visait à améliorer la nutrition de la population et à réduire rapidement le taux de chômage élevé. Le plan avait, en premier lieu, un effet interne. Le deuxième plan de quatre ans, à partir de 1936, visait à minimiser la dépendance économique du Reich allemand sur le commerce extérieur. Comme l'Allemagne avait été coupée de ses matières premières et de ses besoins alimentaires pendant la guerre, Hitler prévoyait de sécuriser le du Sud et, enfin, que le Řmodèleř allemand devenait attrayant aux États-Unis et pourrait affecter sa (Roosevelt) popularité. Après tout,Hjalmar Schacht, président de la Reichsbank et ministre du Commerce, et la politique d'Hitler étaient parvenus à démanteler le chômage en Allemagne et à doubler le revenu des gens, tandis que Roosevelt avec son New Deal, malgré le commerce extérieur prospère, était encore confronté à 10,4 millions de chômeurs.Le fait que l'Allemagne fasse désormais cavalier seul affectait également la Grande-Bretagne. Bien que les pays [signataires du traité]d'Ottawa se soient séparés et empêchent ainsi le libre-échange, la manière dont l'Allemagne excluait les marchés financiers internationaux et exploitait, par des règles préférentielles, les marchés de 25 autres pays étaient, selon eux, inacceptables. 

 

Après la guerre,l'historien anglais, le général Fuller, écrivit sur les relations germano anglaises: ŘLe rêve d'Hitler était donc une alliance avec la Grande-Bretagne...une telle alliance était cependant impossible, car immédiatement après la prise de contrôle d'Hitler, sa politique économique d'échange direct et des primes d'exportation a porté un coup mortel au commerce britannique et américain'.Le président américain Roosevelt a exprimé plus brièvement la même chose, lorsqu'il a dit à son fils, Elliot, le jour où il a décidé de faire entrer les États-Unis dans la guerre aux côtés de la Grande-Bretagne : ŘEst-ce que quelqu'un pourrait soutenir que la tentative de l'Allemagne de dominer le commerce en Europe centrale n'était pas une des principales causes de la guerre ?'Ces méthodes que les nations utilisaient, entre la crise économique mondiale et la guerre, ont profité aux clients et ont endommagé tous les antagonistes, qu'il s'agisse de tarifs de protection, de dévaluation dela monnaie, de taux d'intérêt élevés, de statut préférentiel, de troc ou de quotas d'importation. Ils étaient tous des instruments de la finance et du commerce de nature technique. Cependant, les États-Unis ainsi que la Grande-Bretagne ont revêtu ces instruments d'une couverture morale.  

 

Ils appelèrent leurs propres méthodes de concurrence commerce Řpacifique et libreř. Enfin, la livre, le franc et le mark furent couplés au dollar, qui fut couvert par 0,7 gramme d'or jusqu'en 1971 et par la suite par plus rien du tout.  À partir de ce moment-là, les États-Unis pouvaient financer leurs importations avec des dollars qu'ils imprimaient, alors que toutes les autres nations devaient d'abord obtenir leurs importations principalement en dollars. La voie vers cette victoire américaine commença dans les années trente, et la guerre contre le Reich allemand fut une étape sur cette voie.(Deutsche-zukunft.net/hintergrundwissen, traduction de l'auteur).* * *Ensuite, j'ai tout transformé en concept de production de main d'oeuvre en échange de main-d'oeuvre, des matières premières en échange de main-d'oeuvre, des produits agricoles contre des produits industriels. J'ai réussi, grâce à des années de travail, à créer progressivement une certaine économie domestique au moins en Europe. Seul contre cette économie domestique, l'Angleterre, qui ressentit le germe d'une éventuelle collaboration politique, a immédiatement repris sa lutte habituelle. Ainsi, commença simultanément l'opposition de la communauté juive internationale qui,grâce à la désactivation de ses méthodes commerciales jusqu'ici spéculatives, perçut une perte qui pourrait affecter non seulement l'Europe, mais peut-être un jour le monde entier. Car les méthodes avec lesquelles nous travaillions n'étaient pas brevetées. D'autres pays commencèrent à se tourner vers ces méthodes et l'or commença à perdre son attrait. (Hitlers Geheimrede, 30 mai 1942).Posez-vous ces questions. 

 

Par exemple, Hitler avait-il un sens de l'humour ?Non seulement il avait le sens de l'humour mais il était aussi capable de se moquer de lui-même, comme il l'a fait dans cette introduction à un discours prononcé devant un rassemblement de ŖOld Fightersŗ à Munichen février 1938 :Ce soir, je vais devoir d'abord m'habituer à parler devant cet ancien forum. Au fil des années, on devient non seulement judicieux et sage, on adopte surtout un très grand nombre des habitudes de son environnement. Maintenant, le destin a déterminé qu'il m'était permis,au cours des cinq dernières années, de circuler, au moins en apparence, dans des cercles très respectables. Là, on ne dit pas toujours ce qu'on pense. Jadis, ma force résidait à ne rien penser d'autre que ce que je disais. Je dois donc maintenant essayer de revenir à ces temps anciens.Cette nonchalante inauguration fut accueillie par les bruyants éclats de rire de son public. C'était un homme complètement à l'aise, qui ne se contentait pas uniquement du luxe de dire exactement ce qu'il voulait,mais qui pouvait avec détachement se juger lui-même ainsi que son progrès phénoménal.Comment réagissait-il face aux belles choses, à l'art, à l'architecture, àla musique, aux livres ?Il avait quitté le lycée à 16 ans et, dès lors, était presque entièrement autodidacte. C'est-à-dire que ses informations, ses idées et sa formation mentale provenaient de livres, qu'il lisait voracement dans les bibliothèques locales, puis, quand il put se le permettre, achetés par centaine. 

 

On estime que sa bibliothèque personnelle comprenait 16.300livres. (Timothy W. Ryback, Hitler's Private Library, Knopf, New York2008). Selon un expert, quand il avait le temps, il reliait lui-même les livres endommagés. Des tas de livres sur sa table de chevet, qu'il s'agisse de ses maisons à Berchtesgadenou de Munich ou sur le front, ou sur les bords de son bureau à la chancellerie,témoignaient de cette passion. Il lisait jusque très tard dans la nuit et se levait conséquemmenten retard.Il était immunisé contre les flatteries :Déjà après la révolution nationale de 1933, les universités allemandes s'efforçaient d'attribuer des doctorats honorifiques à Hitler. Le 4 mai 1933, la chancellerie dřHitler refusa le doctorat d'honneur qui lui fut proposé par l'Université technique de Stuttgart,Řcar il n'envisageait absolument pas d'accepter les doctorats honorifiquesř.(Manfred Overesch, Das III Reich, 1933-1939: Eine Tageschronik der Politik, Wirtschaft, Kultur, Weltbild Verlag, Augsburg 1982, édition de 1990).En 1940, on diagnostiqua la maladie de Parkinson (E. Gibbels,ŖHitlerřs Parkinson-Syndrome. Eine Analyse von Aufnahmen der Deutschen Wochenschau aus den Jahren 1940-1945,ŗ Der Nervenarzt, vol.59, N°9, septembre 1988, pp. 521-528/Publ. Wiss. Film, Sekt.Gesch./Publiz. 8, 1995), entre autres maladies (D. Irving, The Secret Diariesof Hitler's Doctor... Grafton, 1990, orig. Macmillan, New York 1983), Hitler souffrait de la pression du temps, estimant que, s'il n'accomplissait pas la mission qu'il s'était assignée avant sa mort, aucun successeur ne le ferait.À cette époque, il nřy avait plus une seule personne ayant les compétences requises pour diriger un pays, particulièrement l'Allemagne.Aucun membre d'une section établie de la société n'aurait réussi là où il l'a fait ; il n'était retenu par aucune convention ni code. 

 

D'une part, c'était un soldat ordinaire qui avait risqué sa vie pour défendre son pays et avait été blessé et décoré ; dřautre part, c'était un visionnaire et un autodidacte,avec une capacité extraordinaire à synthétiser ce qu'il avait appris et à parvenir à une conclusion logique. Ses conversations au cours des repasallaient de la propriété des ressources de l'État et de la préservation de la propriété privée, à l'énergie alternative, à l'importance d'assurer la prochaine génération de chanteurs allemands, de [son] admiration pour la Grande-Bretagne et à la fatalité de sa dette de la Première Guerre mondiale, à son plaidoyer pour la Ŗvoiture du peupleŗ pour 975 Reichsmarks, et une Europe des nations unies, dans laquelle l'Allemagne serait la première parmi ses pairs. (Henry Picker, Hitlers Tischgespräche,Ullstein, Berlin 2003).La variété et lřétendue de ces sujets, et lřattention qu'il portait à chacun d'entre eux, contrastaient radicalement avec les mensonges si souvent répandus à son sujet, et avec les gesticulations des dirigeants actuels sans cervelle. Il évoquait la loyauté ardente de ses plus proches subordonnés,dont beaucoup sont restés avec lui jusqu'à la fin.Comme il sřavère aujourdřhui et comme cela fut souvent le cas dans les premières années, Adolf Hitler pensait avec rationalité, il pensait non seulement comme un Allemand, mais aussi comme un Européen. Il pensait véritablement à l'intérêt d'une humanité supérieure, qu'il souhaitait voir mettre en oeuvre dans des communautés fondées sur des groupes ethniques. (Hermann Giesler,Ein anderer Hitler, Druffel, Leoni 1977, p. 414).* * *

 

Avant ces 30 partis, il y avait un peuple allemand, et les partis disparaîtront et après eux, notre peuple subsistera. Nous ne voulons pas être les représentants d'une profession, d'une classe, d'un rang social, d'une croyance ou d'un État, nous voulons plutôt éduquer les Allemands pour qu'ils comprennent tous, dřabord et avant tout, qu'il n'y a pas de vie sans justice et quřil n'y a pas de justice sans pouvoir, et qu'il n'y a pas de pouvoir sans force, et que toute force doit résider dans le peuple. (Adolf Hitler, discours d'élection, 27 juillet 1932).* * *Je ne connais aucun dépositaire plus sûr des pouvoirs absolus de la société que le peuple lui-même ; et si nous pensons qu'il nřest pas suffisamment éclairé pour exercer son contrôle avec une sagesse saine, le remède n'est pas de le lui enlever, mais de lřéclairer par l'éducation. Thomas Jefferson.* * *Le National-Socialisme était une réponse européenne à la question du siècle. C'était la cause la plus noble dans laquelle un Allemand pouvait employer la force qui lui était donnée. C'était une idéologie socialiste authentique et un idéal de pureté culturel lié au sang. Je ne peux donc pas, à l'heure où se fait sentir le besoin de ce qui a été le principe de ma vie, renoncer à l'idéal d'une Allemagne socialement pacifique et d'une Europe qui reconnaît ses valeurs et je lui reste fidèle. (Alfred Rosenberg, premier défenseur du National-Socialisme et ministre, le 31 août 1946, avant son exécution le 16 octobre 1946).* * *

 

La véritable communauté nationale créée par le National-Socialisme doit être préservée ; la folie des partis comme c'était avant 1933 ne doit plus jamais se reproduire. (Note dans le journal deDönitz, le 15 mai 1945, dans Walter Lüdde-Neurath, Regierung Dönitz:Die letzten Tage des Dritten Reiches, publiée pour la première fois parlřInstitut für Völkerrecht an der Universität Göttingen (éd.), Heft 2(numéro 2) de la série Göttinger Beiträge für Gegenwartsfragen, Völkerrecht,Geschichte, International politik, Muster-Schmidt, Göttingen 1950/51 ;réimpression : Druffel-Verlag, Leoni 1981, p. 197).* * *Le Führer n'est pas mort ! Il demeure dans la création de son esprit proche de Dieu. Il survivra à la vie de ceux qui furent damnés par le destin pour n'avoir pas voulu comprendre le Führer alors qu'il vivait encore. Ils sombreront dans la tombe et seront oubliés. L'esprit du Führer continuera à travailler dans le temps et deviendra le sauveur de son peuple asservi et de lřhumanité dévoyée. (Julius Streicher, Julius Streicher's Political Testament: My Affirmation, RJG Enterprises, Lincoln 2009 [Le testament politique de Julius Streicher, traduction de l'anglais parValérie Devon, lulu.com].* * *Nos remerciements ne peuvent être exprimés par des mots, mon Führer. Les mots ne peuvent pas non plus témoigner de notre loyauté et de notre affection. Mon Führer, des centaines de milliers dřyeuxbrillent de tous les remerciements, de lřamour et de la confiance éclatante quřon vous porte. 

 

Tout un peuple, toute une nation, se sentent forts et chanceux aujourd'hui parce que ce peuple reconnaît en vous non seulement son chef mais aussi son sauveur. (HermannGöring).* * *J'ai toujours dit que si la Grande-Bretagne perdait la guerre,j'espérais que nous trouverions un Hitler pour nous ramener à notre position légitime parmi les nations. (Winston Churchill dans The London Times, le lundi 7 novembre 1938).* * *Ceux qui ont personnellement rencontré Herr Hitler, dans les affaires publiques ou sur le plan social, ont découvert un fonctionnaire très compétent, mesuré et bien informé, aux manières agréables, au sourire désarmant, et plusieurs ont été affectés par un magnétisme personnel subtil. (Churchill, Great Contemporaries, Putnam,New York, 1937).* * *Peu importe ce qu'ils peuvent dire aujourd'hui, l'Allemagne en 1936 était prospère et heureuse. Sur son visage se lisait lřéclat d'une femme amoureuse. Et les Allemands étaient amoureux, amoureuxdřHitler. Et nombreuses étaient les raisons dřêtre reconnaissants.Hitler avait banni le chômage et leur avait apporté une nouvelle prospérité. Il avait donné à ses [compatriotes] allemands un nouveau sens de la force nationale et de la mission nationale. (Sefton Delmer,Trail Sinister: une autobiography, Secker et Warburg, Londres, 1961, p.282).* * *Jřarrive tout juste dřAllemagne. J'ai pu voir le célèbre dirigeant allemand mais aussi le grand changement qu'il a réalisé. Or, quoi que l'on puisse penser de ses méthodes, et elles ne sont certainement pas celles d'un pays parlementaire, il ne fait aucun doute qu'il a accompli une transformation merveilleuse dans l'esprit des gens, dans leur attitude les uns envers les autres et dans leur perspective sociale eté conomique.À Nuremberg, il a, à juste titre, revendiqué quřen quatre ans son mouvement a créé une nouvelle Allemagne. Ce n'est pas l'Allemagnede la première décennie qui a suivi la guerre, brisée, abattue et qui sřestinclinée avec un sentiment d'appréhension et de subordination. 

 

Elle est maintenant pleine d'espoir et de confiance et, sa déterminationravivée, elle est prête à diriger sa propre vie sans ingérence extérieure.Il y a pour la première fois depuis la guerre un sentiment général de sécurité. Les gens sont plus joyeux. Il y a une expression globale dela gaité plus forte dans tout le pays. C'est une Allemagne plus heureuse. Je l'ai vu partout, et les Anglais que j'ai rencontrés pendant mon voyage et qui connaissaient bien l'Allemagne étaient très impressionnés par ce changement.Un homme a accompli ce miracle. Il a lřâme dřun chef. [Cřest] une personnalité magnétique et dynamique avec un but unique, unevolonté résolue et un coeur intrépide.Il nřa pas seulement le titre de leader national, il est le leader national. Il les a mis à lřabri des ennemis potentiels qui les entouraient.Il les met également à lřabri de cette crainte constante de la famine,qui est lřun des souvenirs poignants des dernières années de la guerre et des premières années de la paix. Plus de 700.000 personnes sont mortes de faim durant ces sombres années. Cela peut encore être constaté chez ceux qui sont nés dans ce monde de désolation et qui en portent les marques.Le fait que Hitler ait libéré son pays de la peur dřune répétition de cette période de désespoir, de pénurie et d'humiliation lui a octroyé une autorité incontestée dans l'Allemagne dřaujourdřhui. 

 

Sa popularité ne fait aucun doute, surtout chez les jeunes d'Allemagne. Les anciens lui font confiance ; les jeunes l'idolâtrent. Ce n'est pas l'admiration accordée à un leader populaire, c'est le culte d'un héros national qui a sauvé son pays du désespoir et de la dégradation.Il est aussi à l'abri des critiques qu'un roi dans un pays monarchique. Il est quelque chose de plus. Il est le George Washington d'Allemagne, l'homme qui a gagné pour son pays l'indépendance vis-à-vis de tous ses oppresseurs. Cette description peut sembler extravagante pour ceux qui n'ont pas vu et perçu la façon dont Hitler règne sur le coeur et l'esprit de l'Allemagne.Cependant, c'est la vérité. Ce grand peuple travaillera mieux, sacrifiera davantage et, si nécessaire, se battra avec une plus grande résolution parce que Hitler le leur demande. Ceux qui ne comprennent pas ce fait central ne peuvent pas juger les possibilités actuelles de l'Allemagne dřaujourdřhui.Hitler s'est battu dans les rangs de lřarmée pendant toute la guerre,et sait personnellement ce que signifie la guerre. Il sait aussi très bien que les difficultés sont encore plus lourdes aujourd'hui contre un agresseur que par le passé. (Extraits de Lloyd George, ŖI Talked toHitlerŗ. [Jřai parlé à Hitler], Daily Express Londres, 17 novembre1936).* * *Pendant 14 ans, les partis corrompus de Novembre, de la Révolution, ont dirigé et abusé le peuple allemand, 14 longues années de destruction, de dégradation et de dilapidation. 

 

Ce n'est pas par arrogance si aujourd'hui je me présente devant la nation et déclare devant elle : à présent, peuple allemand, donne-nous quatre ans et ensuite juge nous ! Peuple allemand, donne-nous quatre ans, et je te le promets : vous et moi nous attellerons à cette tâche, alors ensuite, jemřen irai. Je ne le fais pas pour un salaire ou pour une rétribution ; je le fais pour votre bien.Ce fut la décision la plus difficile de ma vie. Je l'ai tentée parce queje croyais qu'il fallait le faire. Je l'ai tentée parce que je suis convaincu que nous ne devons plus hésiter. Je l'ai tentée parce que je suis convaincu que maintenant, le peuple allemand a retrouvé la raison. Et même si nous sommes injustement jugés aujourd'hui, même si des millions de personnes nous maudissent, le jour viendra où ils marcheront derrière nous parce qu'ils comprendront que nous ne voulions vraiment que le meilleur. (Discours d'Hitler, Sportpalast, 10 février 1933).Toute personne qui comprend l'allemand devrait écouter ce discoursdřune heure. Son réquisitoire passionné en ce qui a trait à tout ce quinřallait pas à lřépoque sonne tout aussi juste aujourdřhui quřen 1933 et est en conséquence un acte d'accusation révélateur du faux progrès que la civilisation aurait réalisée depuis. Sa foi ardente dans un avenir meilleur est extrêmement convaincante. [retranscription en français : discoursdřAdolf Hitler, ungraindesable.the-savoisien.com]À diverses époques de sa vie, il a exprimé le regret dřavoir hérité des obligations d'un politicien patriotique quand il aurait préféré être un architecte. Cette fascination pour l'architecture est à lřorigine de son amitié avec Albert Speer et Hermann Giesler (Ein anderer Hitler, op. cit.),avec qui il prévoyait non seulement la future ŖGermaniaŗ, ainsi quřauraitdû être rebaptisée Berlin, mais aussi la construction dans toute l'Allemagne et en Autriche de nombreux opéras, de galeries dřart, de ponts, de monuments, etc. 

 

Toutes les façades extérieures devaient êt rerevêtues de granit, afin de garantir leur longévité.À Berlin, Düsseldorf et Munich, par exemple on peut encore àlřoccasion, apercevoir les bâtiments qui ont survécu. Leurs façades massives mais élégamment simples évoquent la confiance dans l'éternitéavec laquelle ils ont été conçus.Ses bâtiments n'étaient pas que monumentaux, ils comprenaient aussi des projets d'habitation pour les travailleurs. Les couples nouvellement mariés avec enfants recevaient des prêts généreux avec des conditions de remboursement sur 10 ans, afin qu'ils puissent acheter leur propre maison arrogance si aujourd'hui je me présente devant la nation et déclare devant elle : à présent, peuple allemand, donne-nous quatre ans et ensuite juge nous ! Peuple allemand, donne-nous quatre ans, et je te le promets : vous et moi nous attellerons à cette tâche, alors ensuite, jemřen irai. Je ne le fais pas pour un salaire ou pour une rétribution ; je le fais pour votre bien.Ce fut la décision la plus difficile de ma vie. Je l'ai tentée parce queje croyais qu'il fallait le faire. Je l'ai tentée parce que je suis convaincu que nous ne devons plus hésiter. Je l'ai tentée parce que je suis convaincu que maintenant, le peuple allemand a retrouvé la raison. Et même si nous sommes injustement jugés aujourd'hui, même si des millions de personnes nous maudissent, le jour viendra où ils marcheront derrière nous parce qu'ils comprendront que nous ne voulions vraiment que le meilleur. (Discours d'Hitler, Sportpalast, 10 février 1933).

 

Toute personne qui comprend l'allemand devrait écouter ce discoursdřune heure. Son réquisitoire passionné en ce qui a trait à tout ce quinřallait pas à lřépoque sonne tout aussi juste aujourdřhui quřen 1933 et est en conséquence un acte d'accusation révélateur du faux progrès que la civilisation aurait réalisée depuis. Sa foi ardente dans un avenir meilleur est extrêmement convaincante. [retranscription en français : discoursdřAdolf Hitler, ungraindesable.the-savoisien.com]À diverses époques de sa vie, il a exprimé le regret dřavoir hérité des obligations d'un politicien patriotique quand il aurait préféré être un architecte. Cette fascination pour l'architecture est à lřorigine de son amitié avec Albert Speer et Hermann Giesler (Ein anderer Hitler, op. cit.),avec qui il prévoyait non seulement la future ŖGermaniaŗ, ainsi quřauraitdû être rebaptisée Berlin, mais aussi la construction dans toute l'Allemagne et en Autriche de nombreux opéras, de galeries dřart, de ponts, de monuments, etc. Toutes les façades extérieures devaient être revêtues de granit, afin de garantir leur longévité.À Berlin, Düsseldorf et Munich, par exemple on peut encore àlřoccasion, apercevoir les bâtiments qui ont survécu. Leurs façades massives mais élégamment simples évoquent la confiance dans l'éternitéavec laquelle ils ont été conçus.Ses bâtiments n'étaient pas que monumentaux, ils comprenaient aussi des projets d'habitation pour les travailleurs. Les couples nouvellement mariés avec enfants recevaient des prêts généreux avec des conditions de remboursement sur 10 ans, afin qu'ils puissent acheter leur propre maison probablement son sens de cet esprit énergique avec lequel il cherchait à inspirer l'Allemagne. 

 

Certains des artistes qu'il a soutenus, comme Arno Breker, furent acclamés au-delà des frontières allemandes. Grâce à sa participation dans la construction et la collection de Haus der Kunst, à Munich, il a également soutenu personnellement les carrières de nombreux jeunes artistes.Un aperçu de sa vie privée montre combien il était humain :C'était le soir, nous étions encore en train de discuter des bâtiments de Weimar. Dans le même temps, j'ai remarqué son inquiétude. Il avait demandé lřheure à plusieurs reprises : ŘMlle Braun a appelé ?...ř Il appelle une secrétaire : Řpourquoi Mlle Braun n'est-elle pas rentrée avec vous ?' Ŕ ŘElle avait encore des courses à faire...' ; ‗Je m'inquiète, elle devrait être là depuis longtemps, j'espère que rien n'est arrivé !ř Enfin FräuleinBraun est arrivée avec son amie. Elles avaient conduit lentement et s'étaient arrêtées pour une tasse de café sur le chemin. ŘJ'étais inquiet tout le temps, tu ne pouvais pas appeler ?ř Adolf Hitler m'a présenté... J'ai acquis de nouvelles perspectives et impressions, j'ai pu faire la connaissance dřune Miss Braun, mais aussi dřun Adolf Hitler quisřinquiétait beaucoup pour elle. (Hermann Giesler, Ein anderer Hitler,op. cit., p. 132).Ses préférences musicales étaient pour les grands compositeurs, mais aussi lřopéra et les opérettes. Wagner, Bruckner ou Werner Egkcotoyaient Franz Lehar (ŖThe Merry Widowŗ).Ses goûts pour la décoration étaient traditionnels : le Berghof témoignait de son goût pour les tapis et tapisseries coûteux. Bien qu'ilnřait pas de compte bancaire personnel, ses revenus provenant de la vente de Mein Kampf et des timbres à son effigie lui permirent de faire la collection de peintures et de sculptures La maison d'Hitler, comme celle de n'importe quelle célébrité, attirait l'attention des médias :Il n'y a rien de pompeux en ce qui concerne son petit domaine. 

 

Il correspond à ce que n'importe quel marchand pourrait posséder dans ces charmantes collines. Tous les invités ont droit à la visite des chenil s modèles de leur hôte, où il garde de magnifiques alsaciens.Certains de ses animaux de race sont autorisés à courir dans la maison,surtout les jours où il donne une fête pour les enfants des environs. Il se réjouit dřêtre en compagnie dřétrangers brillants, en particulier peintres, chanteurs et musiciens. En qualité dřhôte, cřest un conteur cocasse. Tous les matins à neuf heures, il sort pour converser avec ses jardiniers au sujet de la journée de travail. Ces hommes,comme le chauffeur et le pilote de lřair, sont plus des amis fidèles que des serviteurs. Depuis longtemps végétarien, ses plats de cuisine sont à la fois variés et chargés de produits. Cřest un gourmet, malgré son régime sans viande. Il est son propre décorateur, dessinateur et fournisseur, ainsi quřarchitecte. (Magazine Homes & Gardens,novembre 1938, p. 193).Dans lřensemble, alors que sa vision, sa force de volonté et ses réalisations extraordinaires l'ont marqué comme sui generis, il est resté un Autrichien plutôt ordinaire dans au moins une de ses habitudes quotidiennes : le Gemütlichkeit du thé de l'après-midi. Dřoù, les photographies de lui prenant le thé avec Eva Braun, Unity Mitford etdřautres. Les gâteaux avec le thé étaient indispensables. Quiconque a déjà savouré du gâteau autrichien ou bavarois peut comprendre cela.Il existe très peu dřanalyses perspicaces et dignes de confiance sur la vie d'Hitler ; il serait superflu et présomptueux de ma part de les ajouter ici, mais pourquoi cet homme, aussi puissant fut-il pendant une courte période, compte-il toujours autant ? Car après tout, il y a eu des dictateurs avant et après lui. 

 

Eh bien, il est important car cřest lui qui a le plus notoirement reconnu la plus grande menace pour l'humanité, et qui a tenté de la parquer, en vue de l'expulser, après que l'Allemagne eut gagné la guerre. Il a parlé d'ab schieben (de déportation) ou de hinauswerfen(rejeter/expulser) (Henry Picker, Hitlers Tischgespräche, op. cit., p. 644).Nous sommes résolus à mettre un terme à lřinstallation d'un peuple étranger qui a su saisir tous les postes de commandement et à l'expulser. (Discours d'Hitler, 30 janvier 1939).Contrairement à toutes les affabulations, cřétait sa véritable intention.C'était Ŗla solution finale.ŗ Selon les propres termes de Gottfried Feder,sous le point Ŗ1.b) la politique racialeŗ :L'expulsion des juifs et de tous les non-Allemands de tous les postes à responsabilité de la vie publique. L'interdiction de l'immigration des juifs de l'Est et d'autres étrangers parasites. Et la possibilité de pouvoir expulser les juifs étrangers indésirables.(Gottfried Feder, Der deutsche Staat auf nationaler und sozialer Grundlage(The German State on a National and Socialist Foundation), Eher, Munich 1923, édition 1933, p. 42).* * *J'espère voir le terme Ŗjuifsŗ complètement disparu par la possibilité d'une émigration massive de tous les juifs en Afrique ou dans une autre colonie. (Himmler, note à Hitler, le 28 mai 1940 ;Helmut Krausnick (éd.), ŖHimmler zur Behandlung von Fremden Völkern,ŗ Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte, Volume 5 (1957),n 2, p 197).* * *

 

De plus, la nation allemande, était en train de tomber rapidement sous le contrôle de ses éléments étrangers. Dans les derniers jours du régime pré-hitlérien, il y avait vingt fois plus de fonctionnaires juifs dans le gouvernement en Allemagne quřil nřy en avait eu avant laguerre. Les Israélites aux attaches internationales sřinsinuant à des postes clés dans la machine administrative allemande. (Le Daily Mail,10 juillet 1933).* * *Dans la très importante administration de la Prusse, un certain nombre de positions stratégiques étaient tombées aux mains des Hébreux. Un simple échange téléphonique entre trois juifs dans les bureaux ministériels pouvait entraîner la suspension d'un périodique ou d'un journal dans lřÉtat. Les juifs sont venus en Allemagne pour jouer dans la politique et l'administration le même rôle considérablequřils avaient déjà gagné par une concurrence ouverte dans les affaires,le commerce, la banque, la presse, les arts, les sciences et la vie intellectuelle et culturelle du pays. Et ainsi fut renforcée l'impression que l'Allemagne, un pays avec une mission propre, était tombée entre les mains des étrangers. (Edgar Mowrer, correspondant à Berlin pour le Chicago Daily News, ŘGermany Puts the Clock Backř d'abord publié sous forme de livre en 1933, Bodley Head, London/Morrow, New York, réimprimé de nombreuses fois entre 1937 et le déclenchement de la guerre).* * *Au cours des années Weimar, de nombreux artistes remarquables dans les concerts et le théâtre ainsi que des scientifiques étaient juifs,mais ils n'ont jamais dominé et leur nombre était plus quřéquilibré par rapport à celui des Allemands de stature égale ou supérieure. 

 

Dans la littérature, cependant, dans les arts ainsi que dans la partie de la presse de gauche, leur influence devenait globale et pernicieuse. Avec cela, la détérioration de la civilité, de la parole et du comportement social devenait endémique. Rien, bien sûr, de comparable à ce à quoi nous assistons aujourd'hui, mais il faut se rappeler qu'il y a soixante-dix ans les normes de propriété étaient très différentes par rapport à nos jours. L'assaut constant sur les sensibilités et les valeurs morales qui étaient appréciées par la majorité des Allemands patriotiques engendra un contrecoup au sein des partis poussant les centristes vers la droite radicale. L'antisémitisme était à nouveau en hausse. (Heinz Weichardt,Under Two Flags: Memories of National Socialist Germany, par un Allemand demi-juif, Liberty Bell, Reedy, W.Va., 1995 ; réimpression : ŖNaziTerror: A Short Autobiography of a Jewish National Socialist‖, The HereticalPress, Hull 2004, p. 11).* * *À Berlin (des années pré-Hitler), la plupart des théâtres étaient la propriété des juifs ou loués par des juifs, la plupart des principaux acteurs du cinéma et du théâtre étaient juifs, les pièces étaient souvent jouées par des juifs allemands, autrichiens ou hongrois et étaient mises en scène par des producteurs juifs, applaudis par des critiques dramatiques juifs dans les journaux juifs. Les juifs ne sont pas plus intelligents que les Gentils, si par intelligent, vous voulez dire bon à leur travail. 

 

Ils exploitent impitoyablement le sentiment commun aux juifs, en mettant d'abord le pied dans un métier ou une profession en particulier, puis en éjectant les non-juifs. Il n'est pas vrai que les juifs sont de meilleurs journalistes que les Gentils. Ils tenaient tous les postes dans ces journaux de Berlin parce que les propriétaires et les éditeurs étaient juifs. (Douglas Reed, Disgrace Abounding, Cape,Londres, 1939, pp. 238 sq.).* * *Marx lui-même était un juif et il était entouré d'une foule de petitsjuifs, plus ou moins intelligents, intolérants, agiles, spéculateurs, tout comme on retrouve les juifs partout : agents commerciaux, banquiers,écrivains, politiciens, correspondants pour journaux de toutes orientations ; en bref, les courtiers littéraires, tout comme les courtiers financiers, avec un pied dans la banque et l'autre dans le mouvement socialiste, et le cul assis sur la presse allemande. Ils ont saisi tous les journaux, et vous pouvez imaginer quelle fut la littérature nauséeuse qui en découla. Ces écrivains juifs sont particulièrement remarquables dans leur création d'insinuations lâches, haineuses et perfides.Eh bien, tout ce monde juif, qui comprend une seule et même secte exploitante, une espèce de peuple suceur de sang, une sorte de parasite organique collectif destructeur, dépassant non seulement les frontières des états, mais aussi l'opinion politique, ce monde est maintenant, au moins en grande partie, à la disposition de Marx d'une part, et de Rothschild de l'autre... Cela peut sembler étrange. Que peut-il y avoir de commun entre le socialisme et une banque de premier plan ? Le fait est que le socialisme autoritaire, le communisme marxiste, exige une forte centralisation de l'État. 

 

Et là où il y a une centralisation de l'État, il doit nécessairement y avoir une banque centrale, et là où existe une telle banque, la nation juive parasite,spéculant sur le travail des gens, trouvera toujours un moyen d'exister. (Mikhail Bakunin, Staatlichkeit und Anarchie (Statism etAnarchie), Ullstein, Francfort 1972).* * *En réalité, ce serait pour le prolétariat un régime de caserne, sous lequel les travailleurs et les travailleuses, convertis en une masse uniforme, se lèveraient, s'endormiraient, travailleraient et vivraient au rythme du tambour. Le privilège de gouverner serait entre les mains des spécialistes et des savants, avec une large marge de manoeuvre pour les arnaques réalisées par les juifs qui seraient attirés par l'énorme extension des spéculations internationales des banques nationales.(Mikhail Bakunin, Historia judaica, Volumes 12-14, Verlag von Julius Kittls Nachfolger, 1950, p. 101 ; Francis Wheen, Karl Marx, Fourth Estate, Londres, 1999, p. 340).* * *Ullstein était une sorte de super-fiducie ; la plus grande organisation du genre en Europe, et probablement dans le monde.Rien quřà Berlin, elle publiait quatre quotidiens, parmi lesquels le vénérable Vossische Zeitung, fondé au 18ème siècle, et le B.Z. am Mittag,un journal du soir. En dehors de cela, Ullstein publiait plus d'une douzaine de périodiques hebdomadaires et mensuels, organisait son propre service d'actualité, sa propre agence de voyage, etc., et était l'un des principaux éditeurs de livres. 

 

L'entreprise appartenait aux frères Ullstein : ils étaient cinq, comme les frères Rothschild, et tout comme eux, ils étaient aussi juifs. (Arthur Koestler, The God That Failed,Hamish Hamilton, Londres 1950, p. 31).* * *Si l'on continue de demander pourquoi le National-Socialisme combat l'élément juif en Allemagne de façon si fanatique, la réponse ne peut être que parce que le National-Socialisme veut établir une véritable communauté de personnes. Puisque nous sommes des Nationaux-Socialistes, nous ne pouvons pas souffrir qu une race étrangère qui n'a rien à voir avec nous revendique le commandement de nos travailleurs. (Adolf Hitler, cité dans N. H. Baynes, The Speechesof Adolf Hitler, Oxford University Press, Londres/New York 1942,Volume I, p. 735).* * *Aujourd'hui, soixante ans plus tard et alors que je contemple le déclin précipité typique d'une société multiraciale et multiculturelle, je suis obligé de conclure que cřest exactement l'unité raciale et culturelle du Troisième Reich qui a permis à son peuple de survivre aux agressions monstrueuses de ses ennemis et de ressusciter des cendres de sa nation. L'effort actuel pour détruire par tous les moyens cette unité grâce à l'afflux planifié de millions de déchets incultes en provenance du tiers monde et la destruction systématique de toutes les traditions dans l'esprit de la génération actuelle montre que les ennemis éternels de l'Allemagne sont entièrement d'accord avec moi sur ce point. 

 

Que cette destruction se déroule sous la direction d'un dictateur juif (Ignaz Bubis, chef des trente à quarante mille fortes communautés juives dans une population comptant quatre-vingts millions d'Allemands), qui régit l'Allemagne uniquement par la force des baïonnettes américaines, ne présage rien de bon pour l'avenir de cette nation, s'il parvenait à mener à bien ses plans néfastes. Il est grand temps que les Américains se rendent compte qu'ils ont été réduits à lřétat malséant de bourreaux pour l'état tout-puissant d'Israël.(Heinz Weichardt, Under Two Flags, op. cit.).* * *Nous ne voulons pas de réactionnisme, mais un rétablissement...nous ne voulons pas persécuter les juifs, mais nous exigeons un commandement allemand, sans influence juive, qui nous est étrangère,sans activité juive dans les coulisses, sans les intérêts des capitaux juifs.Nous ne cherchons pas une nouvelle guerre, car nous savons que l'Europe et le monde ne peuvent se rétablir que lorsque les cultures dominantes anciennes guérissent elles-mêmes dans leur interiorité. Mais nous n'avons pas peur de la guerre si la mobilisation du pouvoir allemand s'avère être le moyen ultime de restaurer la liberté allemande.(Gregor Strasser, membre du NSDAP du Reichstag, discours, 14 juin1932).* * *Nous sommes socialistes ; nous sommes ennemis, ennemis mortels du système capitaliste actuel avec son exploitation des économiquement faibles, des salaires injustes, de l'évaluation immorale des gens selon leur richesse et leur argent, au lieu de leur responsabilité et de leurs mérites, et nous sommes déterminés, quoiquřil arrive, à l'abolir. (G. Strasser).* * *

 

Nous reconnaissons la propriété privée. Nous reconnaissons l'initiative privée. Nous reconnaissons nos dettes et notre devoir de les payer. Nous sommes contre la nationalisation de l'industrie. Nous sommes contre la nationalisation du commerce. Nous sommes contre l'économie du commandement soviétique... (G. Strasser).* * *Nous, les Nationaux-Socialistes, ne voulons aucune agitation contre les confessions religieuses et aucune persécution des Églises chrétiennes. Cependant, nous demandons la coopération honnête des églises dans le renouvellement de la culture allemande... nous ne voulons aucun parti politique de prêtres. (G. Strasser).Le Dr Manfred Reifer, le célèbre chef des juifs à Bukovina, a publiéun article en septembre 1933 (Czernowitzer Allgemeine Zeitung) dans lequel ila écrit :Tandis que de grandes sections de la nation allemande luttaient pour la préservation de leur foi, nous, les juifs, nous remplissions les rues de l'Allemagne avec nos vociférations. Nous fournissions à sa presse des articles sur le sujet de ses festivités de Noël et de Pâques et gérions ses croyances religieuses de la manière que nous jugion s appropriée. Nous ridiculisions les idéaux les plus élevés de la nation allemande et profanions les questions qu'elle tenait pour sacrées.L'exode juif planifié depuis lřAllemagne avait déjà commencé en 1933.Par le Contrat de Haavara (25 août 1933), les Nationaux-Socialistes et les sionistes ont collaboré pour faciliter une émigration vers la Palestine. Le Contrat de Rublee-Wohlthat, peu connu, est arrivé beaucoup plus tard,en février 1939, à l'appui de l'émigration générale des juifs d'Allemagne,sous l'égide de la Reichszentrale für jüdische Auswanderung, créée par Göring le 11 février 1939 (en réponse à la suggestion de Heydrich après les Évènements du 9 novembre 1938), pour accélérer l'expatriation juive.

 

Rublee était un avocat américain et le directeur d'un comité international créé pour organiser et financer l'émigration juive lors de la conférence dřÉvian (juillet 1938). La Rhodésie et la Guyane britannique étaient parmi les destinations proposées. Rublee a négocié cet accord avec Hjalmar Schacht de la Reichsbank et le secrétaire d'État de HermannGöring, Helmut Wohlthat. L'arrivée de la guerre a limité ses effets et conduit au transport des juifs vers les territoires occupés de lřEst, où ils ont été installés dans des camps pour travailler pour l'industrie de l'armement.Le dernier effort dřHitler pour résoudre les problèmes des juifs allemands de manière civilisée eut lieu au printemps 1939. Il envoya Hjalmar Schacht, président de la Reichsbank et architecte du rétablissement allemand, en Angleterre pour négocier un grand prêt qui permettrait à l'Allemagne de laisser les 250.000 juifs restants émigrer avec leurs biens et les moyens financiers nécessaires pour assurer les besoins des visas d'immigration. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Montagu Norman, ainsi que de nombreux parlementaires, ont accepté ce projet, mais il fut immédiatement torpillé par Chaim Weizmann et les bellicistes autour de Churchill, qui était devenu un fidèle serviteur de la hiérarchie bancaire juive après quřils lřaient sauvé de la faillite suite à la perte de sa fortune dans le crash de 1929. Il fut, auparavant, un fervent anti-juif. (HeinzWeichardt, Under Two Flags, op. cit.).Le premier chef sioniste, Théodore Herzl, a décrit Madagascar comme une possible terre d'émigration (Altneuland, roman, 1902), se basant peut être sur une suggestion de 1885 du savant allemand Paul de Lagarde. 

 

Le plan de Madagascar était aussi une proposition polonaise que les Allemands envisageaient. Herzl avait soutenu un plan au début des années 1900 pour donner une partie de l'Afrique orientale britannique(Ouganda) comme patrie au peuple juif.Alors qu'il était en train de théoriser à propos de quelles vastes portions de la terre d'autres peuples conviendraient le mieux aux juifs,Herzl avait également envisagé comme patrie potentielle, la Patagonie.Ŗ Que choisirons-nous, la Palestine ou l'Argentine ? L'Argentine est, par nature, l'un des pays les plus riches de la Terre, avec un territoire immense, une population rare et un climat modéré. La République argentine aurait le plus grand intérêt à nous céder une partie de son territoire.ŗ (Herzl, ŖPalestine or Argentineŗ, The Jewish State, D. Nutt,Londres, 1896). Il y a des rapports ces jours-ci de soldats israéliens qui prospectent la terre :Dirigé par le Mouvement sioniste international, cette prise de contrôle tranquille de la Patagonie a progressé de façon spectaculaire ces dernières années ; non pas par la guerre et l'invasion, mais par des acquisitions territoriales, des infiltrations économiques, des cinquièmes colonnes militaires israéliennes, un soutien médiatique mondial et un positionnement géopolitique. Pendant des décennies,de jeunes officiers militaires israéliens camouflés en randonneurs et en routards ont surveillé, cartographié et fureté dans cette région vaste,riche et peu peuplée ; complotant, planifiant... préparant leur avenir ?... il ne fait aucun doute qu'il y a des Israéliens dans toute la Patagonie. 

 

Ils se déplacent en groupes, ils sont jeunes, parlent en hébreu entre eux ; beaucoup parmi eux viennent de l'armée. Ils ontjuste enlevé leur uniforme de lřarmée israélienne ; ce sont des jeunesdřune vingtaine dřannées qui prennent leurs vacances après avoir quitté l'armée israélienne... (Adrian Salbuchi, 1er juillet 2011).La guerre des Malouines a toujours été justifiée en premier lieu,comme un acte de défense envers les citoyens, lointains mais patriotiques,de la Grande-Bretagne, ceux-ci étant menacés par un puissant ennemi continental ; en second lieu, comme un marqueur géographique vital dans les revendications territoriales britanniques sur les îles subantarctiques,une partie de l'Antarctique et les minéraux locaux. Si un troisième facteur est ajouté sous la forme d'objectifs coloniaux sionistes en Patagonie,l'Argentine et sa dette nationale entrent dans un foyer historique plus ciblé.Le rapport Slattery (département américain de l'intérieur, 1938)concernait une proposition visant à installer les réfugiés juifs dans certaines parties de l'Alaska.L'ambassadeur polonais Lipski a assuré à Hitler (20 septembre 1938)qu'un monument commémoratif lui serait érigé à Varsovie s'il réussissait à résoudre le problème juif. (S. Zerko, Stosunki polsko-niemieckie 1938-1939,Instytut Zachodni, Poznan 1998).Le 9 décembre 1938, le ministre français des Affaires étrangères,Georges Bonnet, a informé le ministre allemand des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop que, pour débarrasser la France de 10.000 réfugiés juifs, il faudrait les expédier ailleurs. À cette époque, le régime nazi considérait l'émigration de masse comme laŘsolution finaleř au Řproblème juifř. 

 

Ils pensaient à l'île française de Madagascar. (Bibliothèque virtuelle juive).* * *Les juifs auraient pu avoir l'Ouganda, Madagascar et d'autres endroits pour l'établissement d'une patrie juive, mais ils ne voulaient absolument rien, sauf la Palestine, non pas parce que l'eau de la Mer Morte par évaporation peut produire cinq billions de dollars de métalloïdes et de métaux en poudre ; non pas parce que le sous-sol de la Palestine contient vingt fois plus de pétrole que toutes les réserves combinées des deux Amériques ; mais parce que la Palestine est le carrefour de l'Europe, de l'Asie et de l'Afrique, parce que la Palestine Constitue le véritable centre du pouvoir politique mondial, le centre stratégique pour le contrôle mondial. (Nahum Goldmann, président,Congrès juif mondial, Montréal 1947, L'Unité Nationale, Montréal,numéro 41, 1953, cité par Anwarul Haque Haqqi, West Asia Since Camp David, Mittal Publications, Delhi, Inde, 1988, p. 14).Le 13 mai 1939, un navire (MS St. Louis) appartenant à l'organisation Kraft durch Freude a transporté environ 900 juifs à New York, où lřentréeaux États-Unis leur fut refusée. Ils n'étaient pas les bienvenus à Cuba ou au Canada. Ils sont finalement retournés en Europe et ont débarqué à Anvers.Pour ceux qui prétendent que le National-Socialisme était une idéologie raciste, il convient de mentionner, accessoirement, que le racisme scientifique du 19ème siècle était commun dans tout le monde occidental et un certain nombre d'auteurs populaires discutaient de ce qui était alors une doctrine à la mode. 

 

Outre le comte de Gobineau (crédité comme le père de la démographie raciale moderne ; ses oeuvres sont aujourd'hui considérées comme des exemples très précoces de racisme scientifique), Disraeli lui-même expliquait dans deux romans :Tout est dans la race ; il n'y a pas d'autre vérité. Et toutes les races qui font subir négligemment un mélange à leur sang doivent disparaître. (B. Disraeli, dans Coningsby, Tauchnitz, Leipzig, 1844,selon Houston Stewart Chamberlain, Les fondations du dix-neuvième siècle,Volume 1, John Lane, Londres/New York, 1911, p. 271, bien que jenřaie pu localiser cette citation dans Coningsby, ce qui suit est tout aussi pertinent.)* * *Pourtant, les juifs, Coningsby, sont essentiellement Tories... Et Chaque génération doit devenir plus puissante et plus dangereuse pour la société qui leur est hostile... Le fait est quřon ne peut pas détruire une race pure... Les races mixtes persécutées disparaissent, les races pures persécutées restent. Et en ce moment, malgré les siècles, des dizaines de siècles, de dégradation, l'esprit juif exerce une grande influence sur les affaires de l'Europe. (B. Disraeli, Ibid., p. 232).* * *Personne ne traitera avec indifférence le principe de la race. C'est La clé de l'histoire, et la raison pour laquelle l'histoire est souvent confuse, c'est qu'elle a été écrite par des hommes qui ignorent ce principe et toutes les connaissances qu'il implique... La langue et la religion ne font pas la race. Il n'y a qu'une chose qui fait une race, et c'est le sang. (B. Disraeli (compte de Beaconsfield), Endymion,Longmans & Green, Londres, 1880, vol. 2, pp. 202, 205).* * *

 

En outre, le racisme est lui-même une doctrine centrale du judaïsme traditionnel et de l'histoire culturelle juive. La Bible hébraïque est manifestement raciste, avec toutes les discussions sur lasemence d'Abraham, du peuple élu et d'Israël comme lumière pour les autres nations. Dans leurs prières du matin, les juifs orthodoxes remercient encore Dieu quotidiennement de nřavoir pas fait les juifsŘcomme les autres peuples de la terreř. Si ça ce n'est pas du racisme,difficile d'envisager ce qui lřest. Ce livre médiéval très apprécié, Kuzaride Judah Halevi, est manifestement raciste. Halevi ne permet même pas qu'une personne convertie au judaïsme soit lřégale d'un juif naturel. (Norman Cantor, The Sacred Chain: A History of the Jews,HarperCollins, New York 1994).Bonjour le racisme.Quant aux accusations de pratique de l'eugénisme et de l'euthanasie,Wikipédia contient lřinformation suivante sous ŖInfluence sur l'Allemagne nazieŗ :Une fois bien établi aux États-Unis, le mouvement de lřeugénismes'est ensuite répandu en Allemagne. Les eugénistes de la Californie ont commencé à produire de la littérature qui faisait la promotion de l'eugénisme et de la stérilisation et à l'envoyer à l'étranger [y compris]aux scientifiques et aux professionnels de la médecine allemands. En 1933, la Californie avait soumis plus de personnes à une stérilisation vigoureuse que tous les autres états américains combinés. Le programme de stérilisation forcée conçu par les Nazis était en partie inspiré par la Californie. La Fondation Rockefeller a aidé à développer et à financer divers programmes allemands d'eugénisme, y compris celui sur lequel Josef Mengele a travaillé avant de se rendre à Auschwitz. 

 

Après 1945, cependant, les historiens ont commencé à tenter de décrire le mouvement de l'eugénisme américain comme distinct et éloigné de l'eugénisme nazi. Le plaidoyer sur lřeuthanasie a de nouveau connu un pic aux États-Unis au cours des années 1930 et a considérablement diminué pendant et après la Seconde Guerre mondiale. (Wikipédia).Les membres récalcitrants de l'opposition politique ont-ils été placés   dans des camps de concentration ? Certainement ; les urgences nécessitent des solutions extrêmes.Ici, je dois parler du changement sociétal en Allemagne, provoqué par le régime du NSDAP : après la République de Weimar, peu aimée,vécue par la plupart des Allemands comme un temps difficile et   sombre, dans laquelle régnait la politique du chacun pour soi,lřobjectif le plus important du NSDAP fut de placer le principe de laŘcommunauté nationale', au coeur de sa politique. ŘLe bien commun passe  avant le bien personnel' ou ŘUn pour vous, tous pour unř étaient alors les mots d'ordre, qui ont introduit le ŘFührerstaat'. En pratique, cela signifiait que toutes les organisations précédentes furent transformées sans concertation avec leurs membres. Quiconque s'opposait activement et ouvertement à cela était envoyé dans un camp de concentration afindřêtre Řéduquéř. Il restait là pendant une semaine, un mois, un an ou plus, jusqu'à ce qu'il ait saisi Řl'esprit de la communauté nationale'. 

 

De  nombreux anciens communistes et membres de l'opposition politique adoptèrent très rapidement le nouveau système sans éprouverdřinconvénients vis-à-vis de leur allégeance antérieure. (Döring-Ernst von Gottberg, Eine Jugend in Hitlers Reich, livres à la demande,Norderstedt 2013, p. 16)...Bien que cela ait pu être difficile dans les camps de concentration à l'époque, je doute que les gens y aient été battus ou torturés,puisquřon voulait rallier ces gens-là aussi à la communauté nationale. Ils travaillaient huit heures par jour sur un projet pour la communauté nationale et le soir ils étaient éduqués afin de pouvoirsřadapter aux temps nouveaux. Pour autant que je sache, c'était la routine quotidienne. Lors de sa libération, chaque prisonnier devait déclarer par écrit qu'il ne raconterait rien de son séjour dans le camp de concentration. Ainsi, lřintérimaire de lřépoque revenait sur son lieu de travail bronzé et avec des cals sur les mains, résultant officiellementdřune nouvelle formation. Il savait comment s'insérer ! C'est ce que mon père m'a dit plus tard...Le système de la communauté nationale touchait tous les Allemands. Le ŘBlockwart' était le grade le plus bas parmi les dirigeants politiques. On lui assignait un quartier résidentiel de plusieurs centaines d'habitants, dans lequel il devait assurer l'ordre et les  conditions sociales. Si, par exemple, des personnes âgées avaient du mal à aller chercher du charbon dans la cave, il [Blockwart] informait la  jeunesse hitlérienne locale, qui demandait à quelques jeunes hitlériens d'aider ces personnes âgées (tous les jours, une bonne action).  

 

Si des personnes âgées avaient besoin d'aide pour faire les courses, alors laŘLigue des filles allemandesř en serait informée et irait aider.Ensuite, il y avait la Ligue des femmes N.S. et les Services sociaux des N.S . qui aidaient les adultes égarés pour mauvaise conduite. La majorité de la population percevait ces Řtemps nouveauxř comme quelque chose de positif et était satisfaite de son développement personnel...Les salaires et les ajustements de revenu étaient fixés par le Front  du travail allemand au nom du gouvernement, ceci, sans grève et donc  sans perte financière générale pour les entreprises et sans perturbation  pour la population. Chaque cas qui ne pouvait pas être réglé de  manière satisfaisante par les lois et les ordonnances généralement émises trouvait souvent une solution confortable à travers le Parti...(Ibid., p. 17).Nous chantions les chansons de l'ancien Bündischer Jugend après 1918 et du mouvement Boy Scout avant 1914. Tout comme à l'époque, nous érigions des campements de tentes, faisions des feux de camp, lisions à haute voix, participions à des activités de plein air,faisions du sport et des jeux, et puis il y avait le ŘChaque jour, une bonne action.ř Cela peut sembler Řbanalř aujourd'hui, mais c'était alors notre monde. Nous, les jeunes, nous nous sentions bien d'être considérés et de faire partie de cette Řnouvelle ère du Mouvement nationalsocialisteř.Nous avons grandi à une époque où pour nous, les jeunes,la profession, le mariage et la famille faisaient partie des objectifs évidemment souhaitables dans la vie... les jeunes avaient également tourné le dos à la frustration et à lřerrance dans les rues ou dans les arrière-cours, loin de la drogue ou de l'alcool, du tabagisme  ou des actes criminels. Ils étaient incorporés dans une communauté du même âge. 

 

Il y avait beaucoup dřactivités sportives, beaucoup dřactivitésextérieures, de l'artisanat durant notre temps libre, nous nous aidions mutuellement pour les travaux scolaires, et si les devoirs étaient trop difficiles, nous demandions conseil à un ancien leader de la jeunesse hitlérienne. On pourrait critiquer cela aujourd'hui ou dénoncer cela comme une influence politique, mais il nřy avait guère de jeunes qui voulaient rester en dehors de ça et qui n'y ont pas participé avec leurs amis et camarades dřécole. (Ibid., p. 20).* * *Les tribunaux criminels nřavaient jamais eu si peu de choses à faire et les prisons nřavaient jamais eu si peu d'occupants. C'est un plaisir d'observer l'aptitude physique de la jeunesse allemande... (Sir Arnold Wilson, M.P., selon John Toland, Adolf Hitler, Doubleday, Garden City, N.Y., 1976, p. 405).La méfiance d'Hitler envers les juifs n'était pas monolithique mais large. Il appréciait Emil Maurice, son chauffeur, et le docteur Bloch, le médecin de famille à Linz, mais il comprenait la force étrangère et démoniaque qui cherche à dominer le monde. Le docteur Bloch avait conservé une carte postale, sur laquelle Hitler l'avait remercié de sřêtreoccupé de sa mère souffrante, commentant, devenu vieux, qu'il considérait cela comme un beau geste d'un fils dévoué : ŖMaintenant, ce jeune étudiant est devenu l'une des personnalités les plus importantes de l'histoire.ŗ(W. Bräuninger, Feldherrnhalle, Regin, Kiel, 2012, p. 93).

 

À propos du docteur Bloch, j'espère quřon me pardonnera cette citation favorable lue sur un blog Internet :Gérard Menuhin est le genre de personne que le Führer qualifiait de Řnoble juifř. Le docteur Bloch, son médecin de famille, en était un,par exemple. Il a dit à propos de lui : ŘSi tous les juifs étaient comme lui, il n'y aurait pas de question juiveř. Non seulement jřaccepte le concept de juif noble, mais jřapplique aussi cette citation à Menuhin (et à son père béni). Si tous les juifs étaient comme les Menuhin, il n'y aurait pas de question juive et PAS DřANTI-JUDAISME ! Malheureusement, deux ou 1.000 vertueux [juifs] ne sont pas suffisants pour réparer les dommages causés quotidiennement par des millions de juifs dans le monde de la finance internationale. On ne peut donc pas disculper les juifs, mais ces quelques juifs nobles, oui. (ŖLeseratteŗ, 03.03.2015,07:30, goo.gl/QYBvo9, en référence à ma lettre au frère du prisonnierpolitique Horst Mahler; goo.gl/vp9KY8).Les objectifs d'Hitler étaient d'établir un gouvernement stable et compétent qui ne pouvait être renversé à chaque session parlementaire ;afin dřatteindre le plein emploi et assurer nourriture, abri et vêtements en quantités suffisantes pour l'ensemble de la population ; de créer un peuple ayant un sens de l'identité nationale, tout en rejetant les ennemis de la patrie et ceux aux tendances perfides; libérer l'Allemagne de toutes les déprédations du traité de Versailles, qui limitaient la souveraineté du peuple et de l'État ; dřéduquer les jeunes pour quřils soient libres,confiants et responsables envers l'ensemble du peuple ; dřassurerl'existence et l'appartenance de l'Allemagne par des traités de commerce et d'amitié avec les États voisins, et par un pacte d'amitié et d'intérêts communs avec la Grande-Bretagne.

 

La présomption et la préservation de l'homogénéité ethnique et culturelle étaient le socle sur lequel il fondait ses ambitions.L'autosuffisance pour une population diversifiée, menacée de l'intérieur et de l'extérieur par le capitalisme prédateur et le communisme despotique,les facettes pseudo-idéologiques jumelles de la subversion juive, était impossible.Les deux Internationales de la Finance et de la Révolution travaillent avec ardeur ; elles sont les deux visages de l'Internationale juive. Il y a une conspiration juive contre toutes les nations. (René Groos, Le Nouveau Mercure, Paris, mai 1927).Ses ambitions pouvaient être réalisées en se déplaçant vers l'Est, pour re prendre le territoire confisqué à lřAllemagne et incorporé à la Pologne et à la Tchécoslovaquie après la Première Guerre mondiale. Il espéraitquřun pouvoir discrétionnaire lui serait accordé, en échange de la protection de toutes ces nations qui faisaient face au communisme.Beaucoup de gens en Asie considéraient que le véritable ennemi dans la lutte étaient le communisme et l'Union soviétique. Pour cette raison, de nombreux Asiatiques de différents pays sont allés en Europe pour rejoindre l'armée du Troisième Reich. Le bataillon 43 de la Wehrmacht se composait exclusivement dřAsiatiques de l'Est de laChine, du Japon, de la Corée et de la Mongolie. Une petite partie était également composée de troupes de Thaïlande et dřIndonésie.(Métapédia).En tout, Ŗenviron 25 nationalités européennes différentes étaient membres de la Waffen-SS: Albanais, Arméniens, Belges, Bulgares,Bosniaques, Croates, Tchécoslovaques, Danois, Estoniens, Finnois,Français, Grecs, Hongrois, Hollandais, Anglais, Estoniens, Italiens,Lettons, Lituaniens, Norvégiens, Roumains, Russes, Espagnols, Suédois et Ukrainiens. Six sur dix membres des Waffen-SS étaient étrangers.Cependant, la Wehrmacht comptait des volontaires d'autres races non européennes telles que les Africains, les Indiens (dont les Hindous, les Sikhs, les Musulmans, les Chrétiens et même les Bouddhistes), les Arabes,les Chinois, les Japonais, les Coréens, les Turkmènes, etc. Il y a aussi des soldats juifs qui ont volontairement servi l'Armée allemande. Certains servaient dans le Judenrat ou la police juive, qui aidait les commandants allemands à contrôler les ghettos au début, puis ils furent gardes dans les camps de concentration.ŗ (Métapédia)Des unités des nations suivantes ont rejoint l'armée régulière ou la Wehrmacht :- Italie (jusqu'à la chute de Mussolini ; après Waffen-SS italienne jusqu'en 1945) ;- Finlande (jusqu'en février 1944), dont 350 Américains d'ascendance finlandaise ;- Roumanie (jusqu'au 23 août 1944, légionnaires bénévoles dans la Garde de fer) ;- Hongrie (jusqu'à la fin 1944, jusqu'en février 1945 dans la bataille d'Ofen-Pest) ;- Slovaquie (jusqu'au début de 1945) ;- Bulgarie (jusqu'en septembre 1944) ;- Croatie (jusqu'au début de 1945) ;- L'Union soviétique, environ 4 à 600.000 hommes, entre autres unités, dans l'Armée de Russie Libre, la Légion de l'Est, la police et d'autres groupes spéciaux (secondaient la Wehrmacht en matière opérationnelle) ;- Espagne (volontaires, après la bataille pour Leningrad en 1942, la Division bleue) ;- Allemands ethniques, environ 600.000 auxiliaires, entre autres soldats de l'Armée rouge et minorités ethniques en Union soviétique ;- Inde (Légion ŖInde libreŗ) ;- Proche-Orient (Légion de ŖArabie libreŗ) ;- Suède, rien que pendant l'hiver 1941/42, 8.760 volontaires duŖSvenska Friviligenkarenŗ et au moins 900 bénévoles du BataillonŖSvenska Frivilligbataljonenŗ se sont joints à la Wehrmacht, puis viennent les Danois, les Norvégiens et les Estoniens. (Métapedia). 

 

D'autres ont rejoint la Kriegsmarine ou la Luftwaffe.Du coup, lorsque le pacte de non-agression Molotov-Ribbentrop du 23 août 1939, avec son protocole secret pour le partage de la Pologne fut signé, ce fut une désagréable surprise pour la plupart des membres du NSDAP. Mais, dans l'esprit des deux dictateurs, ce n'était qu'une étape préliminaire pour gagner du temps. L'Allemagne espérait assurer la paix avec la Grande-Bretagne, lui permettant de se déplacer vers l'Est, tandis que la Russie conservait ses options ouvertes, dans l'espoir que la guerre avec la Grande-Bretagne affaiblirait l'Allemagne et faciliterait ses propres plans pour se déplacer vers l'Ouest. En 1941, le temps sřétait écoulé.L'Allemagne était confrontée à une intensification militaire russe à ses frontières et entreprit une frappe préventive le 22 juin.L'Union soviétique avait prévu d'attaquer l'Allemagne le 6 juillet, sous le nom de code ŖOperation Thunderŗ.ŖLe commandement nazi est parvenu à faire littéralement obstacle à nos troupes deux semaines avant le début de la guerre.ŗ (Général S.P. Ivanov, Chef de l'Académie générale des Forces armées de l'URSS, 1974).Dans son nouveau livre The Day M (Der Tag M, Klett-Cotta, 1995),Viktor Suvorov écrit sur les conséquences du 19 août : ŘC'était une mobilisation secrète. La direction soviétique avait préparé l'Armée rouge et toute la nation pour la conquête de l'Allemagne et de toute l'Europe occidentale.  

 

La conquête de l'Europe occidentale était la principale raison pour laquelle l'Union soviétique avait déchaîné la Seconde Guerre mondiale. Staline a pris la décision finale de commencer la guerre le 19 août 1939.ř (Wolfgang Strauss: ŖDer zweiteWeltkrieg a commencé le 19 août 1939,ŗ Staatsbriefe, vol. 7, nos 2-3,1996, pp. 6-11).La Russie nřa donc jamais combattu dans une ŖGrande Guerrepatriotiqueŗ.L'ingénieur américain John Scott, qui travaillait lui-même en Union soviétique, décrit la militarisation russe avant la guerre comme suit :ŘLe budget de la défense russe doublait presque chaque année. Des réserves infinies de matériel de guerre, de machines, de carburants, de nourriture et de fournitures étaient amassées. L'Armée rouge est passée de deux millions d'hommes en 1939 à 6,5 millions au printemps 1941.ř (Métapédia).* * *Lřobjectif d'Hitler dans l'attaque de l'Union soviétique découle d'une situation concrète. En juin 1940, les Soviétiques ont annexé la Bessarabie et la Bukovine du Nord. Leur présence toute proche représentait donc une menace pour les puits de pétrole roumains,auprès desquels l'Allemagne, dans une grande mesure, se fournissait.À l'époque, 6 divisions allemandes, à la frontière entre la Pologne et l'Union soviétique, faisaient face à 170 divisions russes. Hitler a réagi.En juillet 1940, il a donné des instructions pour la première fois au Haut Commandement des Forces armées et de l'armée pour explorer la possibilité d'une attaque contre l'Union soviétique. (Simultanément,Staline à Moscou donnait les mêmes instructions pour une attaque contre l'Allemagne).Lorsque le gouvernement allemand tenta, en septembre 1940,d'intégrer l'Union soviétique dans la triple alliance créée récemment entre l'Allemagne, le Japon et l'Italie, le ministre soviétique des Affaires étrangères Molotov fut invité en Allemagne. 

 

Cependant, à la stupéfaction du côté allemand, il déclara à Hitler (12 novembre 1940)à Berlin que lřŘaccord secretř d'août 1939 sur la division des zones d'intérêt en Europe de l'Est était suranné et que de nouvelles limites devaient être négociées. À cette fin, il exigea les États et les accès maritimes suivants pour l'Union soviétique : la Finlande, le Danube, la Roumanie, la Hongrie, la Bulgarie et la Turquie, avec ouverture sur la mer Noire, l'Iran, la Grèce et la Yougoslavie, ouverture sur la Baltique et le Spitzberg.Comme les Soviétiques avaient entre-temps déjà annexé tous les États qui leur avaient été accordés selon leur sphère d'intérêt, du côté allemand on devait en déduire que l'Union soviétique avait maintenant l'intention de conquérir ces États cités. Cela aurait dépossédé l'Allemagne de ses fournisseurs de matières premières, de ses partenaires commerciaux en Europe du Sud-Est, supprimé sa liberté de mouvement dans la Baltique, et lřaurait contrainte dřaccepter le communisme aux frontières de l'Italie et de l'Allemagne. (Gerd Schultze-Rhonhof, Der Krieg, der viele Väter hatte, 6e éd., Olzog, Munich 2007, pp. 570 sq.).Comment Molotov a-t-il pu avoir l'assurance et l'impudence derevendiquer une telle position ?L'amirauté, par la présente, fait une déclaration de préparation concernant les accords conclus le 15 octobre 1939 pour faire la guerre, signés et remis par M. Staline le 28 janvier 1940, l'accord se lit comme suit :1. Aussitôt publiée lřoccupation de lřensemble de la Finlande, y compris ses baies, ses côtes et ses îles, par l'Union soviétique, le ministère maritime est prêt à envoyer des marines et d'autres forces au plus tard la nuit du 14 au 15 mai 1940 pour occuper dřimportantsobjectifs en Norvège. En outre, l'Angleterre occupera le Danemark.En coopération avec les troupes françaises, l'Angleterre occupera leGöteborg suédois ainsi que le Sud de la Suède. 

 

Dans le même temps,les forces navales britanniques contrôleront la mer du Nord et bloqueront l'accès de la mer Baltique aux navires et sous-marins allemands.2. Un accord a été conclu lors des négociations entre la France et l'Angleterre concernant l'assistance Řsouvent demandéeř par la Finlande dans sa lutte contre l'Union soviétique, que nos gouvernements avaient promise. Cette aide promise, que la Finlande avait demandée, sera redirigée vers la Suède et la Norvège, où elle sera mise en attente, même si ces pays se sont avérés disposés à autoriser le transit des troupes. La France a promis 50.000 à 100.000 soldats, qui stationneront en Suède pour se combiner aux forces suédoises, afin de permettre à l'Union soviétique d'occuper la Finlande et de contenir ses forces. Les forces anglaises stationneront en Norvège, environ 5.000 à 8.000 soldats atterriront à Göteborg, en Suède.3. Après l'occupation de la Finlande, de la Norvège, du Danemark et de la Suède, un accord peut être trouvé entre les forces anglaises et soviétiques quant à la répartition des troupes et à leurs cibles, ainsi quele moment de l'attaque contre l'Allemagne ; ceci en accord avec les plans déjà établis, de sorte que :Les troupes de la force d'expédition anglaise et française lanceront ensemble une attaque le long de la ligne Cherbourg-Rotterdam avec la ligne Siegfried, tandis que la Pologne et la Tchécoslovaquie seront attaquées par les forces soviétiques.Les forces de défense de la Hollande et de la Belgique ont accepté de rejoindre les troupes britanniques/françaises.Les forces navales françaises et anglaises fermeront la mer du Nord, ainsi que la Manche, à toute circulation navale de navires allemands jusqu'à ce que les forces allemandes soient vaincues et que l'Allemagne soit contrainte à un accord de paix.4. 

 

Pour l'attaque principale des pays baltes et de la péninsule scandinave, le plan d'approvisionnement des troupes sera élaboré dans un effort commun à Paris, au moment de votre choix, selon vos suggestions.5. Le comité mixte de l'Armée de l'air française-anglaise a accepté d'inviter immédiatement un représentant de l'armée de l'air soviétique à coopérer afin d'éliminer une fois pour toutes la force aérienne allemande, avant même quřune attaque par mer et par terre commence.6. L'assurance de l'assistance militaire à la Finlande, mentionnée à l'article 2, est basée sur les négociations de la Crimée entre le secrétaire général du Parti communiste soviétique et l'Angleterre de Winston Churchill, pour obtenir un accord de transit des troupes de la Suède,de la Norvège et du Danemark pour aider militairement la Finlande. Si ces pays nordiques acceptent ce transit de troupes, les troupes anglaises et françaises peuvent être transférées dans la péninsule scandinave sans rencontrer de résistance. L'occupation de la péninsule scandinave et l'internement de ses forces pourraient ainsi être réalisés en donnant lřimpression dřun tour de force sans effusion de sang.L'Union soviétique serait ainsi soulagée de l'inquiétude suscitée par les troupes anglaises et françaises. L'occupation de la péninsule scandinave aura lieu même si l'accord de transit pour les troupes de soutien n'est pas accordé. L'Union soviétique sera invitée à envoyer un expert militaire pour observer les opérations d'occupation de la Scandinavie, ainsi que la préparation de ces opérations. Il serait bénéfique que cet expert puisse arriver le plus tôt possible.7. 

 

En ce qui concerne la demande de mise en place des champs de mines le long de la côte norvégienne par l'Union soviétique, une carte cinq (5) est jointe montrant le champ de mines comme convenu. Les forces navales anglaises développeront ce champ de mines et l'étendront à partir du 5 au 6 avril, conformément à la pièce jointe six(6). Les zones non déminées seront affichées à la pièce jointe 6.Les pièces jointes 5 et 6 n'ont pas été trouvées lorsque ce document a été copié les 19 et 21 janvier 1950.Importance et implications de cet accord Avec cet accord, Churchill et les puissances occidentales ont permis à l'Union soviétique de faire en sorte que tous les petits pays limitrophes soient sous son contrôle. Cela est allé bien au-delà de cequi était convenu dans le cadre du pacte Molotov-Ribben trop concernant les Řrégions d'intérêtř. En même temps, Churchill s'est accordé le droit d'interférer dans la souveraineté de nombreux pays neutres (Islande, les îles Féroé, Norvège, Suède, Grèce, etc.). (ErkkiHautamäki, Finland i stormens öga (Finland in the Eye of the Storm), CKM,Södertälje 2004, Chapitre 10, Inconvenient History Blog, 13 décembre2009 ; goo.gl/iUzY4f).* * *Hitler, dont l'intention via le récent pacte avec Staline avait effectivement été d'amener la Grande-Bretagne à accepter une offre répétée de paix, réalisa soudain quřil était exposé aux tenailles britannico-russes. Ses craintes à cet égard augmentèrent à partir de la fin de l'automne 1940 avec l'arrivée constante de nouveaux rapports sur de nouvelles concentrations de l'Armée rouge, quřil décrit lui même,lors d'une conversation avec le chef de lřÉtat roumain Antonescu comme Řle plus grand déploiement dans l'histoireř.Cřest en voyant ce nouveau danger que Hitler décida de l'attaque contre l'Union soviétique. 

 

La guerre en Union soviétique, plus tard menée avec tant de brutalité, est née de cette situation en novembre 1940. Depuis le début, la guerre contre l'Union soviétique n'a rien àvoir avec le concept dřespace habitable d'Hitler ou avec un ŘGrandplanř. (deutsche-zukunft.net/hintergrundwissen, traduction del'auteur).ŖLa menace d'une attaque russe ne permet pas d'autres hésitationsŗ(Im Kriegstagebuch des OKW in einer Kurznotiz (note brève dans les journaux de guerre du Haut Commandement allemand), 19 juin 1941. Percy E.Schramm (éd.). Kriegstagebuch Des OKW 1940-1941, Vol. I, Tome 2,Bernard & Graefe, Munich 1982, p. 406).ŖTout le monde écoutait attentivement pour déterminer si les Allemands étaient déjà en route.ŗ En juin et juillet 1941, ceux qui vivaient dans les régions de la Pologne orientale occupées par lřArmée rouge, - les agriculteurs polonais, la bourgeoisie, le clergé, les ex-soldats et intellectuels - tous attendaient l'invasion des troupes allemandes. Cette citation provient de l'historien juif polonais J. Gross, auteur du livre Neighbors: The Destruction of the Jewish Community in Jedwabne, Poland. Soljenitsyne explique pourquoi :ŘLes Polonais, les Lituaniens, les Lettons, les Ukrainiens, les Estoniens, les Biélorusses, les Bucovines et les Moldaves-Roumains pouvaient difficilement attendre que les Allemands envahissent.' (Cité par Wolfgang Strauss, The End of the Legends, op. cit.)* * *Les minorités en Pologne doivent disparaître, et elles ne doivent pas disparaître que sur papier selon la politique polonaise. Cette politique est poussée impitoyablement et sans la moindre considération pour l'opinion publique à l'étranger, pour les traités internationaux et pour la Société des Nations.

 

L'Ukraine sous la politique polonaise est un enfer. La Russie blanche est un enfer encore plus diabolique. Le but de la politique polonaise est la disparition des minorités nationales, aussi bien sur papier que dans les faits. (Manchester Guardian, 14 décembre 1931, rapport spécial de Varsovie).* * *Ce n'est que lorsque jřai senti de plus en plus, semaine après semaine, que la Russie voyait arriver le moment de sřen prendre à nous ; à un moment où nous n'avions que trois divisions en Prusse orientale, vingt-deux divisions russes s'y étaient regroupées ; quand j'ai soutenu petit à petit une position secondaire, alors qu'un aérodrome après lřautre s'établissait sur nos frontières, quand une division après l'autre se massait ici hors de cet énorme empire, cřest alors que jřaimoi-même dû me sentir concerné. Car il n'y a pas d'excuse dans l'histoire pour un oubli, pour le pardon qui consiste en une explication tardive : je ne l'ai pas remarqué, ou je ne l'ai pas cru. (Discours d'Hitler, 3 octobre 1941).* * *Comme un rempart pour l'Europe et donc pour le monde, dans la bataille héroïque sans pareille qui aura duré quatre ans, l'Allemagne mobilisa les énergies qui lui restaient contre lřinvasion rouge. Elle aurait pu défendre l'Europe contre le bolchevisme, si ses arrière savaient été protégés. (Comte Schwerin von Krosigk, émission de radioen tant que ministre des Affaires étrangères, 3 mai 1945).

 

En 1941, contrairement à cette foi dans la rectitude allemande, la bonne volonté et la décence - bref, dans le caractère allemand -dřinfluents juifs américains réclamaient le génocide des Allemands :L'Allemagne doit périr, de M. Théodore Kaufman, proposait l'extermination du peuple allemand au sens littéral de la loi Talmud Torah. M. Kaufman proposait que Řl'extinction allemandeř soit obtenue en stérilisant tous les Allemands en âge de procréer (hommes de moins de 60 ans, femmes de moins de 45 ans) dans un délai de trois ans après la fin de la guerre, l'Allemagne serait bouclée pendant le processus et puis son territoire serait partagé parmi dřautrespeuples, de sorte qu'elle devrait être rayée de la carte avec son peuple.M. Kaufman a calculé que grâce à lřarrêt des naissances via la stérilisation, le taux de mortalité normal anéantirait la race allemandedans les cinquante ou soixante ans. (Douglas Reed, The Controversy of Zion, op. cit. p. 481)."

 

Allons nous continuer a faire confiance a ceux qui ont écrit lhistoire; combien de capsules contenant des "preuves d armes de destruction massive" allons nous gober. Si nous avions eu l internet dans les annés 1930 les fakes news anglo-sionistes auraient éveillé la suspicion. Peut être que les 6 000 000 millions de morts exemplaires seraient a la traine devant les massacres perpétrées par eux depuis le dépopulation du continent africain, l'amérique précolombienne et tant d'autres sous la botte de colonisateurs. 6 000 000? de morts peuvent en cacher d'autres veritables. Trouver la vérité de la deuxième guerre mondiale et faire la lumière sur les véritables événements, libérerait d'abord la souffrance du peuple allemand, comme celle des autres peuples soumis à l'harcèlement de la shoah. Quelle maladie répandue par tout; même nos enfants devront perpétuer se porter garants de quelque comme une boîte de pandore que par leurs consentement restera fermée malgré sa pression puante à l'intérieur. Des montres il en faut pour les donneurs de leçons; A quand l'intronisation des Bush, des Tonis Bler, de Netanyahu, les Obamas comme les vrais remplaçants du diable. Ca viendra; les perdants d'autrefois vont se réveiller, par intermediar de personnes comme Gérard Menuhin,  et trouver dans les archives non brûlés, d'autres vérités plus en accord aux événements. Qu'allons nous faire de nos gentils sionistes; ils ont usurpé une identité mal comprise ou corrompue. 

 

Sémites

"Pour les linguistes, les Sémites seraient les locuteurs des langues sémitiques, branche de la famille chamito-sémitique (ou afro-asiatique), qui habitent principalement au Moyen-Orient, en Afrique du Nord et dans la Corne de l'Afrique.

 

Cette catégorie linguistique permet d'établir un lien anthropologique entre les différents locuteurs, la morphologie scripturale de leurs langues respectives étant formée d'expressions traduisant par leur apparence visuelle la ponctuation selon un standard cunéiforme.

 

Étymologie            

Le mot est forgé à partir du personnage biblique Sem (en hébreu שֵׁם,šem, en arabe سام « nom, renommée, prospérité »), un des fils1 de Noéet ancêtre d'Abraham. Créé dans le champ de la philologie pour désigner une famille de langues, le terme sémite a été utilisé à partir du xixe siècle pour imaginer les locuteurs de ces langues comme participants d'une race humaine particulière ; cette conception est aujourd'hui abandonnée par la communauté scientifique.

 

Les témoignages archéologiques montrent que des locuteurs de langues sémitiques étaient dispersés en Mésopotamie avant l'établissement d'une culture urbaine dans la région ; il existe une hypothèse que plusieurs vagues de nomades parlant des langues sémitiques ont traversé dès les temps préhistoriques les déserts arides de l'Est pour rejoindre le Croissant fertile.[réf. nécessaire]                 

 

 

Wikipedia

 

SÉMITES

 

L'adjectif « sémitique » a été forgé par l'orientaliste allemand A. L. Schlözel dans le tome VIII (1781) du Repertorium für biblische und morgenländische Literatur de J. G. Eichhorn, pour désigner des langues dont la parenté était perçue dès le Moyen Âge par les docteurs juifs : l'hébreu, l'araméen et l'arabe. L'appellation était choisie par référence au « tableau des peuples » de la Genèse (X) où Sem, fils de Noé, est donné comme le père d'Abram et l'ascendant d'Eber, éponyme des Hébreux, ainsi que de Yoqtan, ancêtre de diverses populations d'Arabie.

 

Cela est purement conventionnel, puisque le texte biblique range parmi les descendants de Sem les Élamites et les Lydiens, dont les langues n'étaient pas sémitiques, et, en revanche, fait des Cananéens des enfants de Cham, alors même que l'hébreu est défini ailleurs (Isaïe, XIX, 18) comme la « langue de Canaan ». Néanmoins, l'usage s'en est universellement répandu et le terme « Sémites » a été appliqué à tous les peuples parlant ou ayant parlé des langues sémitiques, peuples qui ont joué un grand rôle dans le Proche-Orient asiatique dès l'aube de l'histoire et auxquels le monde actuel est redevable de l'écriture alphabétique et des trois grandes religions monothéistes : le judaïsme, le christianisme et l'islam. Le critère linguistique est le seul qui permette de définir avec certitude une famille sémitique et de postuler une unité préhistorique des Sémites.

 

L'hypothèse d'une origine commune des peuples sémitiques est d'autant plus vraisemblable qu'à la différence des Indo-Européens ou des Ouraliens ils ont occupé une aire continue et bien délimitée comprenant la péninsule arabique, la steppe syro-arabe et ce que l'égyptologue américain J. H. Breasted a appelé le « Croissant fertile », à savoir la côte orientale de la Méditerranée depuis le Sinaï jusqu'au Taurus, la Syrie du Nord et la Mésopotamie.

 

le mot antisémite est utilisé comme un burladero en tauromachie:

 

 

Lorsque l'attaque est trop forte, cette petite place protégée, met à l'abri le torero pendant qu il reprenne ses esprits. le toro n ayant rien fait pour mériter sa peine, il est soumis a cet écartement  ou n'importe quel argument sera effacé. El burladero vient du mot BURLAR ( se moquer); s'en foutre de l'autre obéit a des pouvoirs que le toro ne peut pas comprendre. Il doit accepter son estocade comme faisant partie de sa destiné.

 

 

Miyoceleste, 2018-06-09