LE PEUPLE ÉLU ou la blague qui tue

Le peuple errant, on l'appele. Sans véritable nation ou une unité territoriale depuis toujours. Son exceptionnalisme est comme un cadeau empoisonné qui l'oblie as extirper des endroits ou il commence à prendre racine. Sa mission, conduire des sociétés sous humaines, c'est peut-être plus un châtiment q autre chose. Que dire pour ceux qui doivent accepter cette identité d'individus sans âme, sans condition nécessaire pour être intégrés aux bienfaits de l'existence. Entre ceux qui ont accepté la blague, en la constituant comme essence dans leurs existences, et les autres, qui doivent accepter infra leur humanité sans ciler, il y a nécessairement des heurts. Petit conglomérat humain, à se coltiner toute une planète des déshérités par leurs dieux ; l'affaire est bien ficelée pour rendre les uns pacifiques et bienveillants, et les autres, avec des consignes datant des âges des cavernes ou pire, d'autres mondes ou la prédation a été bien mise au point. Combien de fois dans leur histoire, le people élu a dû jouer le même rôle qu'actuellement en Palestine. Nous vivons peut-être le même scénario que dans leurs multiples périples tout au long de la géographie mondiale. Mais cette fois-ci, tout se passe devant nos yeux, et les conséquences de cela peuvent attendre ce qu'auparavant était impossible, la planète entière. Le blagueur a pu maintenir sa blague en la perpétuant dans son cahier à blagues qui tuent. Pour beaucoup, les caractères noirs sur des pages écrites par des pensées fragiles, peuvent ne pas avoir de l'importance ; se croire athée ou suiveur d'une croyance gentille peut rassurer et laisser voir toujours de l'espoir devant soi. Mais la blague qui tue a été prise trop au sérieux ; elle fait rigoler surement pour ceux connaissent toutes les ficelées; mais pour les autres, qui ne comprennent pas le courant interne qui donne vie à ces écrits, c'est autre chose.

 

 

Les exemples de la blague qui tue sont multiples; lorsque la vérité est demandée lorsque la blague est trop suspecte, on vous réponde: c'est une blague ou quoi! Nous vivons dans un scénario où  l'artiste principale est experte en humour noir. Les consignes du peuple aux blagues qui tuent sont tellement sorties du contexte du commun des mortels, que les blagueurs doivent inventer des histoires à coucher debout: démocratie, égalité, fraternité, progrès, paix. Seul dans cet esprit de choses les blagues qui tuent passent par des blagues. Une autre blague qui tue s'est passé à Paris.

 

 

 

La blague de basse était la liberté d'expression; mais comme le blagueur doit cacher le fait que ses blagues sont mortelles, ils ont commis un acte symbolique: il a effacé un endroit supposé abriter la liberté d'expression. 11 journalistes symboles de cette liberté ont ete blagué définitivement. Une autre blague a été mise en place lors de cet acte, la protection du peuple Français. Cela a permis de développer d'autres sous blagues qui permettent que le jeu mortel ne soit pas discerné. Cela a contraignent les Français à ne pas se poser des questions; nous sommes tous Charlie. Nous sommes tous morts donc et notre liberté d'expression aussi. Des gens courageux ont voulu ne pas se contenter d'être Charlie bêtement, et se sont mis à dire leurs désaccords. Le blagueur a compartimenté l'espace public d'expression en posant des murs intellectuels de façon à emprisonner la parole libre. Nous trouvons des parias  du verbe et de la sensibilité à se voir relégué dans les coins les plus obscures de la culpabilité et du rejet social. La même blague qui tue est sorti comme seul moyen d'arriver à ses fins: antisémite! Parole magique, même harry potter n'aurait fait mieux a l'aide de sa baguette magique.

 

 

Il arrive le moment ou la blague tue dans tous les sens. Le blaguer maître s'arrange toujours pour paraître comme la victime principale et ses méfaits sont toujours attribués au perdant. Les perdants laissent un héritage qui est d'une importance capitale de cacher à tout le monde. Le perdant a toujours tort; ce qu'il aurait pu dire en sa défense est avec lui dans son tombeau. Le blagueur Hitler a été trahi par son maitre des maitres; le banquier. Le peuple élu éparpille ses blagues un peu partout; l'économie en est une et elle est très tueuse. L'exemple que nous venons de voir est très parlé. Suis la lutte pour la liberté des peuples ou la blague planétaire, la démocratie.

 

Des blagueurs professionnels pratiquent la blague noire, saignante, puent et sans vergogne; une fois de plus, la blague de basse multifonctionnelle, permet tous les abus devant tout le monde. Un de ces deux blagueurs de targe d'être d'une des familles les plus anciennes du judaïsme. Il doit savoir alors que les vrais juifs ont été chassés de la “terre sainte” par ses aieux. 

 

 

Le blagueur à blagues qui tuent à dans son cartable des blagues très juteuses; celle-ci dessus va faire rigoler 6 500 000 000 des gens d ici peu. On se demande comment, dans ses manches il cache des sous-blagues qui prépareront la blague principale. Des parias ont poussé à force de courage et les blagueurs n'ont plus que la blague définitive pour les faire taire, voici quelques-uns qui traitent les blagues avec beaucoup d'humour.

 

La vie est donc une blague dangereuse; celui qui veut montrer la non risibilité de cela s'expose aux plus grands dangers. Coluche transforme les blagues crases en vérités risibles qui faisaient pleurer. La seule facón d'enlever le côté immangeable, supportables des vérités, c'est en le plaçant sur l'axe de l'humour. La vérité est un plat qui se mange avec des couverts qui déchirent la bouche. L'humour noir demande beaucoup d'intelligence; faire rigoler de la misère humaine nous rend s peut être l'humanité que les blagueurs veulent nous enlever. Une autre blague très actuelle c'est l'armée la plus humaine au monde.

Le peuple élu, la blague qui tue, est bien à l'ouvrir dans cette partie du monde. Comme d habitude, le criminel, accuse sa victime de tous les malheurs du monde. Cela ne vous fait pas penser à nos élus que de blague en blague( la république, le bien commun, la loi) produisent le contraire de ce pour quoi ils sont là. À se demander si le peuple élu ce n'est pas celui qui choisit nos dirigeants aussi. Vous imaginez nous tous dans les mains de ces gens; aurions-nous besoin d'être guidées par des énergumènes pareils. Comme si nos vies avaient besoin d être pire de ce qu'elles sont. Nous devons dire à Yahvé: Ta blague, tu te la garde pour toi. S'il y a des malades qui se laissent entraîner par ton humour de merde, nous préférons la vie, la vrai. Mais Yhave a du courage comme son peuple d'élection a de la compassion. Yahvé a dû trouver un monde tout neuf, frais et lumineux pour décharger sur lui toute sa jalousie et méchanceté. Son idée d'être une star la démangeait surement pendant qu il essaye d'échapper à l'enfer. Il lui fallait des fans crédules à se ronger les dents pour ensuite mettre en pratique l'abomination héritée. Voilà mes prières à ce dieu jaloux; l'humiliation n'est peut-être que sa seule façon de résilience. Pendant que ses disciples lui remercient les milliards et les fontaines d ors qu'ils font couler partout au dépend des non-humains, je lui disent les 4 vérités; amènes-toi, la chose, voir ce que tu as dans le caleçon.

 

Miyoceleste, 2018-05-30