MADE IN USA ou le vrai Israël

Cet article a ete inspiré de là une lecture du document que vous trouverez ci-dessous. Pour construire le terrain mondial de expansion du NOM, il a fallu convertir les sociétés à la sensibilité qui rend possible l'acceptation du destin dont les écritures sont la base. l'interprétation de la prophétie judéo-centrique, ainsi que la tradition judéo-centrique de l'herméneutique biblique en général. (phrase prise de l'article en question). Les racines du sionisme chrétien américain sont la base de mon travail d'aujourd'hui. Maintenant nous allons partir de quelques injonctions faites par les écritures, qui seront les bases de l'analyse.

 

"Vous (les Juifs) avez fait de moi, Jahveh , le seul vrai seigneur du monde. Je ferai de toi le seul dirigeant du monde. "Qui veut être intelligent doit s'occuper de questions d'argent, parce qu'il n'y a pas de piliers de coin dans le Thora qui sont plus importants, parce qu'ils sont comme une fontaine étincelante." (Talmud IV / 3 / 173b)

 

"Les Juifs doivent toujours essayer de tromper les Non-Juifs." (Zohar I, 168ª)

 

"Si deux Juifs ont trompé un Non-Juif, ils doivent partager le profit." (Choschen Ham 183, 7)

 

"Chaque Juif est autorisé à utiliser des mensonges et des parjures pour amener un Non-Juif à la ruine." (Babha Kama 113ª).

 

"Les non-Juifs ont été créés pour servir les Juifs comme esclaves." (Midrasch Talpioth 225)

 

En partant de ces phrases et en cherchant leur application dans le monde qui "est le nôtre", nous devons inverser leur stratégie pour dénicher le vrais du faux. On va inverser ce qui est dit et accepter par ce que cela cache. Nous allons donc trouver le mensonge. Je vais commencer par L état d'Israël. On va le traiter comme un épouvantail ; l'objet où se placerait la raison et la menace. Le point à partir duquel, le reste serait construit sans que cela soit visible. Si nous prenons : parce qu'il n'y a pas de piliers de coin dans le Thora qui sont plus importants ; nous verrons que le but recherché par ceux qui se disent le peuple élu, l'avènement du Messie après avoir déclenché les conditions qui le précèdent, est l'éparpillement du plus grand tribut qui puisse être, l argent. 

 

Les racines du sionisme chrétien américain

 

26 mai 2018 

https://katehon.com/article/roots-american-christian-zionism-part-i

 

Bien avant que John Locke ne commence à écrire ses œuvres à la fin du XVIIe siècle qui ont jeté les bases du libéralisme politique dans le monde anglo-saxon (et l'Occident), il existait déjà les opinions religieuses profondément enracinées de Martin Luther et Jean Calvin. Les œuvres de ces deux pères fondateurs du protestantisme ont beaucoup influencé la Weltanschauung spirituelle, culturelle, politique, sociale et économique des Américains, beaucoup plus que tout écrit de Locke ou de l'un des autres philosophes du contrat social des Lumières (par exemple Hobbes, Rousseau, Kant, etc). Cette vision américaine unique du monde, ou plus spécifiquement de sa culture-âme, apparue sur les côtes rocheuses de la Nouvelle Angleterre durant la première moitié du XVIIe siècle, peut en effet être qualifiée de « calviniste » car elle présente de nombreux traits calvinistes tels que l'Éthique protestante, l'individualisme acharné, une obsession pour le concept du peuple élu de Dieu, la croyance en l'exceptionnalisme, une mission mondiale universelle, etc.

 

Cependant, il existe un catalyseur idéologique spécifique au sein du calvinisme, qui a jeté les bases de la tradition du sionisme chrétien − une tradition qui a fleuri en Amérique du Nord pendant les 400 dernières années et qui prospère aujourd'hui comme jamais auparavant parmi les chrétiens évangéliques, les néoconservateurs et une variété d'autres groupes. Le catalyseur idéologique auquel il est fait allusion est l'interprétation de la prophétie judéo-centrique. Sans ce catalyseur idéologique fondamental fermement implanté (tel qu'il l'était dans la théologie protestante primitive), il est hautement douteux que la doctrine subséquente du sionisme chrétien soit jamais apparue − une doctrine qui a eu une énorme influence non seulement sur la religion et la politique mais aussi sur la culture et l'identité américaines.

 

Sans aucun doute, les plus ardents défenseurs du sionisme chrétien aux États-Unis aujourd'hui sont des chrétiens évangéliques. Ici, il est important de comprendre que les évangéliques ne sont pas seulement un groupe religieux, mais qu'ils sont un bloc politique très mobilisé qui jouit d'un énorme soutien national (surtout dans le Sud et le Midwest), et qu'ils exercent donc une grande puissance politique. Le trait caractéristique des chrétiens évangéliques n'est pas leur croyance en Jésus (qui ne les rendrait pas différents des autres groupes chrétiens nominaux) mais plutôt leur soutien inconditionnel à l'État terroriste moderne d'Israël. En effet, c'est leur fanatisme sioniste sans bornes qui a amené beaucoup à désigner les évangéliques comme des « sionistes chrétiens » − et, de l'avis de l'auteur, ces deux termes (« évangélique » et « sioniste chrétien ») sont synonymes.

 

Comprendre les deux faits imbriqués que (1) les sionistes chrétiens possèdent beaucoup de pouvoir aux États-Unis et (2) ils sont absolument fanatiques quand il s'agit de soutenir Israël, aide aussi à comprendre pourquoi une organisation de lobbying pro-juive comme l'AIPAC (le American Israel Public Affairs Committee) a tellement d'influence politique aux États-Unis.

 

Mais alors se posent naturellement les questions suivantes : pourquoi y a-t-il tous ces chrétiens sionistes ? D'où viennent-ils ? Pourquoi le sionisme chrétien est-il si répandu en Amérique, etc. ? Pour répondre à ces questions, nous devons étudier à la fois les bases historiques et idéologiques de l'interprétation de la prophétie judéo-centrique, ainsi que la tradition judéo-centrique de l'herméneutique biblique en général. Nous devons donc commencer notre étude à l'endroit le plus évident : la Réforme protestante et Martin Luther.

 

La chose importante à savoir sur Luther en ce qui concerne l'interprétation de la prophétie judéo-centrique est son insistance absolue sur le littéralisme biblique − c'est-à-dire son insistance sur l'idée que quand on lit et interprète la Bible, elle doit être prise littéralement. Luther a inauguré cette vision manifestement protestante qui, il faut le dire, diffère fondamentalement de l'herméneutique médiévale. Par exemple, les théologiens médiévaux ont essayé d'embrasser autant d'approches que possible en interprétant des textes bibliques − ils étaient littéralement catholiques (c'est-à-dire universels) dans ce sens. Ils ont interprété la Bible métaphoriquement, allégoriquement, anagogiquement − d'autant de façons qu'il était possible afin d'extraire chaque goutte de « jus » biblique ou de signification du texte. Mais Luther est allé dans une direction très différente. Il a insisté sur le littéralisme. Ainsi, Luther a insisté pour interpréter toute l'histoire à travers une lentille biblique étroite. En d'autres termes, il a insisté sur la recherche d'événements historiques pour obtenir des confirmations et des indices sur les prophéties passées et futures.

 

En tant que fondateur sans équivoque (ou « premier père ») du protestantisme, Luther avait manifestement choisi comme ennemis préférentiels le Pape et toute l'Église catholique en tant qu'institution religieuse et politique. En conséquence, Luther dirigea ses attaques les plus passionnées contre le catholicisme. Néanmoins, il y avait une autre force politico-religieuse très puissante que Luther dénonçait fréquemment : l'Empire ottoman. Ainsi, dans son interprétation de la prophétie biblique, Luther considérait l'Antéchrist comme une entité démoniaque à deux têtes, c'est-à-dire un Antéchrist « turco-catholique ». Les musulmans et les catholiques étaient considérés comme les deux faces de la même pièce satanique, pour ainsi dire.

 

En ce qui concerne les juifs, il est bien connu que Luther est devenu notoirement anti-juif plus tard dans la vie, allant jusqu'à publier en 1543 un ouvrage intitulé Sur les juifs et leurs mensonges. Néanmoins, Luther fut le premier théologien à faire avancer la notion de conversion nationale juive − une croyance qui persiste encore chez certains sionistes chrétiens. Ceux qui souscrivent à la doctrine de la conversion nationale juive croient essentiellement que, précédant le retour du Christ, il y aura une conversion massive des juifs au christianisme, et que cette conversion précipitera réellement la seconde venue du Christ. Il faut souligner que Jean Calvin croyait aussi à l'idée d'une conversion nationale juive, en plus de toutes les autres idées avancées par Luther et tirées de son littéralisme biblique.

 

Bon nombre des partisans anglais de Luther et de Calvin étaient alors absolument fascinés par la perspective d'une conversion nationale juive − et c'est précisément en Angleterre que le sionisme chrétien a pris son envol en tant que force religieuse populaire. C'est à cause du plaidoyer pro-juif et de l'influence intellectuelle d'un certain nombre de sionistes chrétiens anglais qu'Oliver Cromwell fut persuadé de renverser l'interdiction séculaire des juifs d'entrer en Angleterre, interdiction qui avait été promulguée en 1290 par le roi Édouard Ier. Aussi, en 1657, les juifs ont de nouveau été autorisés (et même encouragés) à s'installer en Angleterre.

 

Les puritains anglais étaient, il va sans dire, très heureux de voir les juifs revenir. Ils ont interprété cet événement historique de la même manière que Luther ou Calvin − comme un signe clair de Dieu qui marquait le retour imminent du Christ. Et ainsi ils ont immédiatement commencé à essayer de convertir autant de juifs au protestantisme que possible, seulement pour trouver (à leur grande contrariété) qu'ils n'en convertissaient en fait aucun. Les puritains ont bientôt découvert que la conversion d'un seul juif était quelque chose d'extrêmement rare. De plus, ils se sont vite rendu compte que les juifs voulaient seulement rester dans leur propre communauté, maintenir leur propre culture et leurs propres traditions, mener leurs affaires et mener leur vie à bien. En d'autres termes, les juifs voulaient rester juifs. Ce fait a grandement déçu les puritains anglais parce que, de toute évidence, leurs espoirs apocalyptiques « chevauchaient » un résultat différent (pour ainsi dire) et n'étaient donc pas atteignables de manière littérale. Ainsi, leur interprétation herméneutique est passée d'un fort accent littéral à une interprétation plus allégorique du prétérisme. (La théologie prétériste soutient que les prophéties décrites dans la Bible ne sont pas vraiment des prophéties mais des ensembles d'allégories pour des événements qui se sont déjà produits).

 

Ainsi, les interprétations prétéristes ont commencé à apparaître parmi les puritains en Angleterre, et la philologie a commencé à être utilisée dans l'herméneutique par les principaux philosophes européens comme Hobbes, Grotius, Spinoza et d'autres. Il est important de souligner, à ce stade, qu'en raison de l'isolement relatif des colonies américaines par rapport aux événements qui se déroulaient en Angleterre, le détournement du littéralisme dans l'herméneutique ne s'est pas installé en Amérique. Au contraire, les idées entremêlées de littéralisme biblique et de sentiment pro-juif ne feront que croître et se renforcer pour devenir un élément essentiel de la religion américaine, la distinguant ainsi grandement de son homologue britannique.

 

Dans son fameux discours « City on a Hill » de 1630, John Winthrop (le premier gouverneur de la colonie de Massachusetts Bay) comparait ses colons puritains aux juifs de l'Ancien Testament. Winthrop a déclaré que, comme les juifs, les puritains ont été expulsés de leurs maisons en Angleterre ; comme les juifs, ils étaient persécutés ; et comme les juifs, ils avaient une alliance spéciale avec Dieu, c'est-à-dire que les puritains croyaient avoir reçu une mission spéciale de Dieu et qu'ils avaient un rôle spécial ou « exceptionnel » à jouer dans l'Histoire. Ce discours de Winthrop en 1630 − qui n'était en fait qu'une partie de son sermon, intitulé « un modèle de charité chrétienne » − constituait le début de ce qui allait émerger pour créer non seulement le sionisme chrétien mais aussi un éthos général en Amérique autour de l'idée de l'exceptionnalisme américain.

 

La grande figure « américaine » suivante à mentionner après le gouverneur John Winthrop est le révérend John Cotton (1585-1652). À partir de 1639, Cotton prononça un certain nombre de discours millénaristes et judéo-centriques qui prônaient aussi l'idée que les gens des colonies de la Nouvelle-Angleterre étaient un peuple spécial qui possédait une mission spéciale ordonnée par Dieu − qu'ils étaient « choisis », tout comme les israélites de l'Ancien Testament avaient été « élus ». Cette ligne de pensée a été approfondie par le travail de l'un des amis et associés proches de Cotton (qui possédait aussi un prénom plutôt étrange) : le Révérend Increase Mather (1639-1723).

 

En 1669, Mather a publié un livre intitulé Le mystère du salut d'Israël. Dans ce travail, Mather a insisté sur une interprétation littéraliste de la prophétie biblique et de toute la Bible en général. Homme d'une érudition considérable, Increase Mather était parfaitement conscient que les tendances anti-littéralistes (prétéristes) gagnaient du terrain en Angleterre (tendances avec lesquelles il était fortement en désaccord), et il s'engagea donc à défendre le littéralisme biblique contre toutes les autres tendances. Mather croyait fermement que si l'on n'interprétait pas littéralement la Bible − si les gens se laissaient prendre dans la métaphore et l'allégorie − alors le concept de foi religieuse finirait par perdre toute sa signification. Mather a également repris dans son travail plusieurs des mêmes thèmes de ses prédécesseurs sionistes chrétiens, allant jusqu'à Calvin et Luther. Des thèmes tels que la conversion nationale juive ouvrant la voie au retour du Christ, la destruction de l'Église catholique, le retour des juifs en Palestine et la destruction concomitante de l'islam qui accompagnerait le retour, etc.

 

Pendant ce temps, en Angleterre, non seulement une poussée croissante de l'anti-littéralisme prenait racine, mais il y avait aussi une indifférence croissante envers le destin global (spirituel ou autre) des colons de Nouvelle-Angleterre eux-mêmes. Par exemple, en 1634, l'érudit biblique anglais bien connu Joseph Mede (1586-1639), lorsqu'on lui demanda son opinion sur les colons de la Nouvelle-Angleterre, dit fondamentalement qu'il souhaitait bonne chance aux colons mais qu'il ne pensait pas que les colonies − et plus spécifiquement, celles d'Amérique du Nord − avaient une importance quelconque dans un sens eschatologique. Mede alla même jusqu'à dire qu'il croyait que l'Amérique était la terre sur laquelle Satan et ses armées avaient fui à un moment donné dans le passé lointain, parce que le message du Christ (qui avait été répandu dans le reste du monde connu) n'avait pas été reçu par les peuples autochtones avant l'arrivée des Européens. Donc selon la logique embarrassante et simpliste de Mede, Satan s'était retiré dans le vaste désert américain afin d'empêcher les Indiens de venir au Christ − et ceci expliquerait alors le fait que les Indiens n'avaient aucune idée de qui était le Christ ou le christianisme.

 

Ici, il faut comprendre qu'à cette époque de l'histoire, lorsque Mede a porté son jugement sur l'Amérique du Nord, il existait déjà une spéculation répandue parmi les colons chrétiens quant aux origines bibliques des Indiens américains − parce qu'à ce moment-là, la plupart des chrétiens croyaient que l'origine de chaque race, tribu et peuple sur la terre pouvait être trouvée dans les pages du livre de la Genèse. La « découverte » des peuples indigènes non blancs dans le Nouveau Monde a présenté aux théologiens chrétiens une grande énigme. Il ne suffisait pas de dire simplement que les peuples autochtones avaient toujours vécu en Amérique du Nord ; une explication formelle était requise. Ainsi, beaucoup ont commencé à supposer que les Indiens pouvaient avoir été les descendants des dix tribus perdues d'Israël. Cependant, les spéculations à ce sujet se sont finalement éteintes après que d'innombrables tentatives pour convertir les Indiens eurent complètement échoué. Avec le temps, la vision négative de Joseph Mede de l'Amérique du Nord et de sa population indigène a finalement trouvé une base de soutien significative en Angleterre. Certaines personnes ont commencé à croire que le Nouveau Monde était en fait la tanière de Satan et que les Indiens n'étaient rien de plus que des païens « cananéens » réincarnés, c'est-à-dire des sauvages, des pions adorateurs idolâtres de Satan.

 

Ce n'est qu'après la mort de Joseph Mede, un demi-siècle plus tard, que quelques colons de la Nouvelle-Angleterre commencèrent à répondre (dans les années 1690) à ce qu'il avait dit à propos de l'Amérique pendant toutes ces décennies. Le juge Samuel Sewall (1652-1730) était l'un deux en Nouvelle-Angleterre. Sewall déclara dans sa réponse qu'il n'était pas seulement en désaccord avec le point de vue de feu Joseph Mede selon lequel l'Amérique n'aurait pas sa place dans le Millénium (le règne millénaire de Christ), mais Sewall alla jusqu'à dire que l'Amérique serait l'hôte physique de la future Nouvelle Jérusalem. Être d'accord avec cette affirmation était une expression sans équivoque du patriotisme colonial, tout comme Sewall a été indiscutablement offensé par les déclarations de Mede. Un autre personnage de la Nouvelle-Angleterre, qui a lui aussi répondu, était le célèbre prédicateur colonial et polymathe Cotton Mather (1663-1728) − le fils d'Increase Mather et petit-fils de John Cotton. Dans sa réponse à Mede, Cotton Mather n'a pas montré autant de patriotisme que Sewall. Par exemple, il n'a pas osé épouser le point de vue non orthodoxe selon lequel le futur siège du Royaume du Christ sur terre serait situé en Amérique. Néanmoins, Mather a déclaré qu'il était déraisonnable de croire que, lors du retour du Christ, l'Amérique n'aurait aucun rôle à jouer dans le prochain millénium.

 

Globalement, dans ces réponses, on pouvait clairement détecter un nationalisme américain naissant et émergent se mêlant à une tradition puritaine plus ancienne de l'interprétation de la prophétie judéo-centrique. En effet, le patriotisme américain et le judéo-centrisme fusionnèrent pour créer une religion civique indubitable dans ce qui allait devenir les États-Unis.

 

La personne de Cotton Mather devrait être discutée ici un peu plus loin car, en toute honnêteté, il a été une figure historique assez intéressante et peut-être sous-estimée dans sa contribution à l'élaboration de l'identité américaine. En tant qu'auteur prolifique et philosophe confirmé, Cotton Mather était intéressé et connaissait une grande variété de sujets, et l'un de ces sujets était l'islam. Il était très intéressé par la culture islamique, son histoire, l'Empire ottoman, etc. Il faut dire qu'à cette époque de l'histoire coloniale il était très populaire de lire les récits de ceux qui avaient été enlevés et retenus captifs par les diverses tribus amérindiennes. Ainsi, d'une manière similaire (en raison de sa grande connaissance des cultures musulmanes), Mather a produit un certain nombre d'histoires populaires sur les expériences des marins anglo-américains qui avaient été capturés par les infâmes pirates barbares.

 

Par conséquent, l'écriture de Cotton Mather a contribué de manière significative à la formation du nationalisme américain. Par exemple, il écrivait sur les diverses épreuves et dégradations subies par les captifs américains, et sur le grand besoin pour eux de persévérer et de conserver leur foi chrétienne. Ces histoires ont donc servi à confirmer et à consolider l'identité nationale américaine et à favoriser un sentiment de patriotisme croissant dans les colonies.

 

Au fur et à mesure que Cotton Mather vieillissait, il s'est familiarisé avec les tendances non littéralistes et l'herméneutique qui faisait son retour en Angleterre. Et il a vu que beaucoup de gens avaient été systématiquement déçus par les interprétations littéralistes de divers ministres − ce qui veut dire que beaucoup avaient fini déçus par ces ministres qui, selon leurs propres interprétations littérales du texte biblique, avaient prédit que le Millénium arriverait à telle ou telle date. Par exemple, certains pasteurs ont prédit que le millénium viendrait en 1697, d'autres ont dit qu'il viendrait en 1716, etc. Inutile de dire qu'ils ont tous été contredits. À ce moment-là, après avoir vu les « grandes déceptions » des masses religieuses à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle, Cotton Mather commença à se demander si une approche purement littérale dejl'interprétation de la prophétie biblique était correcte. Ainsi, Mather a essayé d'établir une approche hybride. Vers la fin de sa vie, cependant, il devint un pré-millénariste convaincu comme Joseph Mede, ce qui signifie que Mather ne croyait plus que les Juifs devaient être convertis comme condition préalable au retour du Christ, et que la seule chose qui empêche les événements de l'Apocalypse d'être mis en mouvement était la Volonté de Dieu. En d'autres termes, le Christ pourrait revenir à tout moment sans conditions préalables essentielles pour sa Seconde Venue.

 

En tout cas, au milieu du XVIIIe siècle, après plus d'un siècle d'endoctrinement judéo-centrique et de propagande basée sur la chaire, les colons anglais d'Amérique du Nord (et surtout ceux de Nouvelle-Angleterre) commencèrent à se considérer comme juifs, c'est-à-dire ils ont commencé à s'identifier fortement comme un deuxième Israël. Cette conviction est particulièrement forte dans les années qui ont précédé la guerre d'Indépendance américaine − pour former ce que l'historien Nathan Hatch appelle le millénarisme civil. Ce que Hatch entend par « millénarisme civil », c'est que l'idée de devoir civique ou patriotique et d'engagement politique a finalement coagulé avec la prophétie millénariste pour créer un système de croyance civique dans lequel l'identité politique et nationale se combine avec ses croyances religieuses. Et en effet, c'était un phénomène qui s'est produit énormément en Nouvelle-Angleterre et, par extension, dans toutes les autres colonies. Par rapport à toutes les autres colonies, la Nouvelle-Angleterre dominait en termes d'influence intellectuelle. Il est donc important que le lecteur comprenne que pratiquement toutes ces idées et ces premières œuvres « américaines » ont leur origine dans les esprits des zélateurs religieux les plus importants de la Nouvelle-Angleterre, depuis longtemps décédés.

 

Ainsi, alors que nous entrons dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, lorsque le gouvernement britannique a intensifié sa « tyrannie » contre les coloniaux libres et très prospères (via la loi sur le timbre, la loi sur le thé, etc.), la tradition de l'interprétation de la prophétie judéo-centrique (ainsi que la croyance ancestrale dans l'Antéchrist « turco-catholique ») était facilement combinée avec le millénarisme civil américain de manière à dépeindre le gouvernement britannique − et l'incarnation de ce gouvernement, le Roi George III − comme étant l'Antéchrist ou Satan incarné. Naturellement alors, la guerre éventuelle contre la Grande-Bretagne est apparue à beaucoup de ceux qui descendaient de la race puritaine comme une grande lutte cosmique et apocalyptique entre les forces du Bien et du Mal.

 

Bien sûr, beaucoup d'historiens américains traditionnels aiment souligner l'opinion dominante selon laquelle les fondateurs des États-Unis étaient de grands admirateurs et adeptes des idées de John Locke, et qu'ils croyaient tous fermement aux principes « libertariens » qui incluent la tolérance religieuse entre autres points de vue éclairés tels que la liberté d'expression ; les droits civils ; le gouvernement limité ; les droits de propriété, etc. Cependant, cette opinion dominante n'est pas du tout exacte. La vérité est que l'influence du puritanisme millénariste (alias le judéo-centrisme alias le sionisme chrétien) sur les fondements idéologiques des États-Unis est grossièrement sous-estimée et sous-représentée dans l'historiographie de l'expérience américaine. C'est une tradition qui nie fondamentalement la tolérance religieuse, nie les droits des minorités et nie la liberté d'expression. Et c'est la tradition sur laquelle les États-Unis sont véritablement fondés.

 

En fait, c'est le millénarisme civil, en particulier, qui a été le moteur idéologique de la « révolution » américaine (guerre d'indépendance). Puis, à l'Indépendance, l'idée millénariste civile s'est intégrée dans l'identité et la conscience nationales américaines. En d'autres termes, elle est devenue une partie de ce que signifie être « américain ». Ainsi, de plus en plus d'Américains, après l'indépendance, se sont vus comme le Nouvel Israël, le Nouveau Peuple élu, les détenteurs d'une autre alliance avec Dieu, la nation rédemptrice, le dernier bastion de la liberté sur terre, etc., etc. La « boule de neige » a commencé à dévaler la pente, pour ainsi dire. Il ne faut donc pas de grands efforts pour voir comment ce genre de système de croyances millénaristes a conduit à la religion civique moderne de l'exceptionalisme américain et à la vision manifestement fausse et hypocrite selon laquelle l'Amérique est synonyme « de liberté et de démocratie » dans le monde.

 

26.01.2018

 

NOUS

 

Christopher Pisarenko

 

Au cours du dix-neuvième siècle, deux mouvements religieux typiquement américains ont vu le jour: le mormonisme et l'adventisme du septième jour (aka Millerism). Une des choses qui ressort vraiment du mormonisme, en particulier dans le contexte de l'interprétation de la prophétie judéocentrique, est que les premiers mormons (Joseph Smith, Orson Hyde et autres) croyaient fermement qu'il y avait deux «peuples élus»: les Juifs et les Américains (ou les «Second Israélites»). De même, selon le fondateur de Mormonism Joseph Smith (1805-1844), il y a deux Jerusalems: la Jérusalem biblique originale située en Palestine, et une Nouvelle Jérusalem qui serait un jour établie en Amérique du Nord. Selon Smith, chaque ville abriterait l'un des deux peuples élus de Dieu; les Juifs recevraient la vieille Jérusalem et les Américains hériteraient du nouveau. Les Juifs recevraient le royaume terrestre de Dieu en Palestine, et les chrétiens (c'est-à-dire les protestants, et plus spécifiquementMormons ) hériterait du royaume spirituel. C'est ainsi que les Mormons et leur marque distincte de théologie protestante ont réellement commencé à développer une division théologique bien articulée entre Juifs et Américains , contrairement à la division millénariste antérieure entre juifs et chrétiens.

 

Comme mentionné ci-dessus, l'autre mouvement religieux «américain» par excellence est l'adventisme du septième jour fondé par William Miller (1782-1849). Miller était quelqu'un qui s'intéressait énormément à l'interprétation de la prophétie judéocentrique, et il a en fait «emprunté» le travail de plusieurs écrivains anglais - et même le système de calendrier des Juifs karaïstes - afin de faire avancer ses opinions religieuses et, en particulier, de déterminer la date précise de la Seconde Venue qui devait alors inaugurer le règne millénaire de Christ sur terre. Il a particulièrement incorporé plusieurs des écrits du célèbre "Père de la physique classique" Sir Isaac Newton, qui a lui-même dépensé une quantité prodigieuse d'énergie intellectuelle pour examiner et interpréter les prophéties bibliques afin de déterminer la date exacte de la "fin du monde". "

 

Selon Miller, le retour du Christ se produirait entre le 21 mars 1843 et le 21 mars 1844, soit au cours de cette période d'un an entre les équinoxes de printemps. Quand la date limite est venue, comme cela a inévitablement été le cas, Miller a donné l'excuse qu'il s'était trompé dans ses «calculs». Il a donc recalculé et trouvé une nouvelle date: le 22 octobre 1844. De Bien sûr, cette date est allée et venue et rien ne s'est passé - mais c'était vraiment triste pour ses fidèles partisans, car, en préparation du «grand événement», ils avaient vendu toutes leurs possessions et propriétés terrestres au point où ils avaient devenir sans le sou. Cela a naturellement amené les disciples de Miller à entrer dans une profonde dépression, connue historiquement sous le nom de Grande Déception.

 

Quoi qu'il en soit, il est important de noter que la façon dont William Miller diffère de presque tous les autres chefs religieux protestants est qu'il n'était pas judéocentrique du tout. Au lieu de cela, il était un «supersessionniste», signifiant qu'il croyait que l'alliance que les Juifs avaient autrefois avec Dieu était maintenant tenue par les chrétiens, c'est-à-dire la vraie Église chrétienne. Par conséquent, selon la croyance supersessioniste, Dieu ne devait plus rien aux Juifs. Comme Miller lui-même l'a dit un jour, «le Juif a eu sa journée». Encore une fois, Miller n'était pas du tout judéocentrique. Et parce qu'il avait une opinion plus négative à propos des Juifs, Miller fut sévèrement critiqué et même condamné par de nombreuses personnalités protestantes américaines.

 

Nous arrivons maintenant à la personne qui est considérée comme le père de l'évangélisme: John Nelson Darby (1800-1882). À l'origine, Darby était un prêtre anglican en Irlande qui était fermement opposé à l'église catholique et très intéressé par l'eschatologie et l'interprétation prophétique. Finalement, Darby est venu répudier l'Église anglicane d'Irlande et toutes les églises partout. Darby a alors commencé à conseiller à ses disciples de se couper du monde (ou des «affaires du monde») - de ne pas participer à la vie politique ni à la vie d'église et de se préparer pleinement au retour du Christ. Comme les mormons, Darby établissait une distinction nette entre les vrais chrétiens (c.-à-d. Les protestants), qu'il considérait collectivement comme «l'épouse spirituelle du Christ», et les juifs qui composaient «l'épouse terrestre». "Darby a promu l'idée que les Juifs recevraient un héritage terrestre (Israël) et que les chrétiens seraient enlevés au ciel pour être avec Christ. Tous ceux qui sont restés sur terre devraient beaucoup souffrir sous l'Antichrist à cause de tout le chaos et la destruction générés à travers lui.

 

Bien sûr, l'idée la plus célèbre dans tout le travail de Darby est cette idée du «ravissement» - un concept théologique qui est certainement très populaire aujourd'hui parmi les évangéliques aux États-Unis. Cependant, à la différence de beaucoup de ses contemporains et de ses prédécesseurs, Darby ne croyait pas que les Juifs devraient être convertis au protestantisme afin d'inaugurer l'apocalypse. En d'autres termes, Darby était un prémillénariste convaincu; il croyait que lorsque le moment venu viendrait, Christ reviendrait simplement. Puis, à son retour, le Christ ravirait les élus (l'épouse spirituelle) et ils disparaîtraient de la surface de la terre. Les Juifs (l'épouse terrestre) retourneraient ensuite en Palestine pour exterminer tous les musulmans et ainsi hériter de la Terre Sainte. Alors l'Antéchrist émergera pour inaugurer la Tribulation - un temps de grande terreur et de destruction, où toutes les personnes restant sur terre seraient grandement punies. Selon Darby, cette punition serait infligée par Dieu aux non-chrétiens en général, mais plus spécifiquement aux Juifs pour leur responsabilité, comme il le voyait, pour la crucifixion du Christ.

 

Ainsi, Darby est souvent décrit comme un anti-supersession(contrairement aux Adventistes du Septième Jour) parce que, dans un certain sens, il croit que les Juifs sont toujours le peuple de Dieu. Même ainsi, ce n'est qu'une sorte d'antisessionnisme ornemental, car Darby croyait toujours que les Juifs devraient souffrir pendant la Tribulation (comme tout le monde qui restait sur terre) et que seuls les vrais chrétiens échapperaient à l'horreur de l'apocalypse. Il faut en outre savoir que Darby était en fait assez sévère dans ses remarques sur les Juifs et, en effet, il a enseigné à ses disciples d'avoir cette même attitude méprisable à leur égard (en contraste frappant avec les sionistes chrétiens modernes). Selon Darby, le peuple juif n'était rien de plus que des éléments dans l'accomplissement de la prophétie biblique; Les Juifs n'étaient pas des personnes en soi, mais seulement des pièces d'échecs dans l'accomplissement d'un grand drame cosmique.

 

Comme déjà mentionné, John Nelson Darby était fortement anti-politique. Il a déclaré ouvertement (se référant à lui-même et à ses partisans): «Nous ne nous mêlons pas de politique; nous ne sommes pas du monde: nous ne votons pas. »C'est une autre façon dont les évangéliques de Darby diffèrent de leurs homologues modernes politiquement mobilisés en Amérique. Et en parlant de l'Amérique, Darby visita le pays à plusieurs reprises, et il eut beaucoup d'influence sur divers prédicateurs américains, en particulier celui du nom de Dwight L. Moody (1837-1899). Ce fut essentiellement Moody qui commença à répandre la doctrine de Darby à travers les États-Unis - une variante de l'interprétation biblique appelée «dispensationalisme», parce que Darby et Moody croyaient que la Parole de Dieu était révélée à l'humanité par des «dispensations». "

 

Et bien que le message anti-politique de John Nelson Darby ait eu une certaine résonance chez certains évangéliques américains du dix-neuvième siècle, en fin de compte c'était un message qui a échoué. C'est parce que les Américains ont une longue tradition de millénarisme civil (de mélanger leur religion dans la politique), qui est fondamentalement enracinée dans l'idée puritaine de la Nouvelle Angleterre que les Américains sont le Nouveau Peuple Choisi et l'Amérique est le Nouvel Israël. Ainsi, comme on peut le constater d'après un certain nombre de ses commentaires sur l'Amérique, Darby était plutôt consterné par ce qu'il observait parmi ces Américains qui prétendaient suivre ses idées. Il est important de le souligner car, encore une fois, le sionisme chrétien moderne est extrêmementEn revanche, la théologie darbyite préconisait un retrait complet du monde, non seulement de la politique mais aussi des églises organisées - et bien sûr, cette dernière position de Darby lui valut beaucoup de mépris et critique de beaucoup de ses contemporains.

 

William E. Blackstone (1841-1935) est peut-être le personnage historique le plus important qui a jeté les bases du sionisme chrétien moderne, c'est-à-dire celui qui a contribué à donner une dimension politique puissante au sionisme chrétien. Blackstone était un homme d'affaires qui a trouvé le succès tôt dans la vie. Quelque temps après avoir fait fortune, Blackstone décida de se retirer du monde des affaires et se consacra aux questions religieuses, en particulier à l'interprétation de la prophétie judéocentrique. Ici, il croyait (contrairement à Darby) à une implication politique active avec la mission explicite d'aider les juifs (oui les juifs , pas les chrétiens) autant que possible. Blackstone a publié son premier livre sur ce sujet en 1878 intitulé Jesus Is Coming. Il y mettait en évidence divers «signes» qui, pensait-il, démontraient de façon concluante que la fin de l'âge était proche. Il est important de noter que, à cette époque de l'histoire du monde, la publication de l'œuvre de Blackstone coïncida à peu près avec l'émergence du sionisme politique parmi les Juifs d'Europe.

 

En ce qui concerne les «signes» prophétiques, William Blackstone considérait le sionisme comme un signe très encourageant et faisait tout ce qu'il pouvait pour aider Theodor Herzl et d'autres membres influents du Congrès sioniste mondial. Et en effet, Blackstone était un ami majeur des sionistes. De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, Blackstone écrivait à un président des États-Unis après l'autre, leur demandant d'amener le plus de juifs d'Europe de l'Est possible dans le pays et d'aider les dirigeants sionistes à créer un État juif. Palestine. Cela était dû en grande partie aux nouvelles que Blackstone avait lues sur les divers pogroms anti-juifs qui se seraient produits en Russie à l'époque. Et donc, Blackstone a écrit d'abord au président Harrison sur cette question, plaider pour que des millions de Juifs d'Europe de l'Est viennent en Amérique. Inutile de dire que ses appels n'ont pas été couronnés de succès immédiatement. Mais Blackstone était un activiste politique obstiné. Il continuerait à écrire à d'autres présidents et politiciens sur la question juive et a particulièrement réussi à passer à Woodrow Wilson. Ses lettres au président Wilson étaient très intéressantes car il rappelait à plusieurs reprises que si Wilson aidait les Juifs et les efforts sionistes pour établir un Etat juif en Palestine, alors Wilson entrerait lui-même dans l'histoire comme l'un des plus grands leaders mondiaux. de tous les temps, sur les lignes de Cyrus le Grand. Les historiens savent très bien qu'au cours de sa carrière politique, Wilson a développé un complexe messianique profondément ancré, de sorte que le «tact» de Blackstone face à Wilson (c.-à-d.

 

Il faut dire qu'il y a un peu d'ironie dans la carrière de William Blackstone en tant que militant politique, parce que malgré le fait qu'il était quelqu'un qui voulait expulser des millions d'Arabes de leurs terres ancestrales au Moyen-Orient, et malgré le fait que il est considéré comme un «père fondateur» du sionisme chrétien d'extrême droite, Blackstone était vraimentun «gospel social» progressiste / de gauche chrétien. Par exemple, l'une des institutions qu'il était chargé d'aider à établir était la Cour internationale de Justice. Et sans aucun doute, il s'agit de l'un des nombreux organismes mondiaux «humanitaires» que les sionistes chrétiens d'aujourd'hui dénigrent régulièrement en raison du fait que la CIJ arrive aussi à condamner régulièrement Israël. Il est donc ironique que cet homme (Blackstone), dont les sionistes chrétiens peuvent retracer leur lignée philosophique, ait été un fervent défenseur de la Cour internationale de justice.

 

Lorsque, au début du XXe siècle, les États-Unis assistèrent à la formation politique de l'État juif naissant par la déclaration Balfour de 1917, une philosophie millénariste distincte se manifesta de nouveau. Les dirigeants évangéliques sont devenus de plus en plus fermes dans leur soutien au peuple juif pour conquérir la Palestine et pour déposséder et même exterminerTous comparés à tous les musulmans parce qu'ils soutenaient que les Juifs étaient le «peuple élu» de Dieu. Des comparaisons étaient faciles à faire (car de plus en plus de «colons» juifs immigraient en Palestine) entre ce que les Juifs faisaient aux Arabes et les colons américains. à la population autochtone de l'Amérique du Nord. C'est dire qu'il y a eu un effort conscient - parmi les élites religieuses, culturelles et politiques - pour associer la conquête juive en cours de la Palestine à l'idée «héroïque» du Destin Manifeste Américain. L'extermination totale des Palestiniens a été considérée sous un jour positif, non seulement par les dirigeants sionistes chrétiens mais aussi par les grands médias américains. Les Américains et les Juifs ont été dépeints comme étant venus ensemble, en tant que Peuple de Dieu, afin de mener à bien la mission que Dieu leur avait donnée d'étendre la civilisation judéo-chrétienne aussi loin que possible.

 

Il faut aussi comprendre que, à mesure que le sionisme gagnait en influence politique, à la fin du XIXe siècle, la mentalité impérialiste émergeait aussi en Amérique. La guerre cataclysmique Entre les États (1861-1865), dans laquelle près d'un million d'Américains ont perdu la vie, était encore un souvenir récent pour la plupart, et la grande majorité voulait oublier d'une façon ou d'une autre toutes les douleurs causées par cet internecine particulièrement cruel. guerre. Les Nordistes et les Sudistes ont désespérément besoin d'un semblant d'unité patriotique. La guerre hispano-américaine fournirait une telle démonstration de patriotisme et d'unité nationale.

 

La période de 20 ans entre la guerre hispano-américaine (1898) et la fin de la Première Guerre mondiale (1918) a connu une résurgence profonde du patriotisme américain qui a galvanisé la nation comme jamais auparavant. Il se trouve que ces deux décennies charnières ont également vu l'afflux de millions d'immigrants juifs (le plus important afflux de Juifs dans l'histoire américaine). En outre, le système de la Réserve Fédérale fut également établi à cette époque (par l'adoption de la Federal Reserve Act en 1913) et, pour la première fois dans l'histoire, le pouvoir politique et économique juif commença véritablement à se consolider en Amérique du Nord. Donc, tous ces facteurs ont commencé à se coaliser. Ce n'est pas par hasard que la croyance puritaine selon laquelle les Américains sont le peuple élu de Dieu a été ensuite projetée sur les sionistes. Effectivement, de plus en plus d'Américains en vinrent à considérer les Juifs comme un peuple spécial, semblable à eux-mêmes. Il est donc facile de voir comment faire partie intégrante de la culture américaine pour être pro-juif - cela a été vrai, historiquement, depuis les premiers jours de colonisation, bien avant l'établissement officiel de l'Etat d'Israël en 1948. Aujourd'hui , il est même très douteux qu'une véritable identité américaine puisse exister sans qu'il y ait une éthique ferme et pro-juive en place, malgré ce que le nombre toujours décroissant de paléoconservateurs a à dire. Tout cela remonte à la tradition millénariste civile née d'une source religieuse puritaine au 17 depuis les débuts de la colonisation, bien avant l'établissement officiel de l'État d'Israël en 1948. Aujourd'hui, il est même très douteux qu'une véritable identité américaine puisse exister sans qu'il y ait un esprit ferme et pro-juif, malgré les nombre toujours décroissant de paléoconservateurs ont à dire. Tout cela remonte à la tradition millénariste civile née d'une source religieuse puritaine au 17 depuis les débuts de la colonisation, bien avant l'établissement officiel de l'État d'Israël en 1948. Aujourd'hui, il est même très douteux qu'une véritable identité américaine puisse exister sans qu'il y ait un esprit ferme et pro-juif, malgré les nombre toujours décroissant de paléoconservateurs ont à dire. Tout cela remonte à la tradition millénariste civile née d'une source religieuse puritaine au 17e siècle et ensuite mélangé avec une fin du 19 e vision du monde impérialiste du siècle.

 

D'où le soutien fanatique pour Israël parmi les évangéliques (alias chrétiens sionistes) aux États-Unis. La croyance évangélique en l'enlèvement et l'interprétation de la prophétie judéocentrique, en plus du rôle central que les Juifs et l'État d'Israël jouent dans le système global de croyances des évangéliques - tous ces piliers fondamentaux de la vision du monde sioniste chrétien signifient que les évangéliques (et Sionistes chrétiens en général) doiventsoutenir Israël et le lobby juif en Amérique. C'est littéralement une partie de leur religion - et j'ose dire le principe numéro un de leur Weltanschauung entière - d'être pro-Israël. Leur soutien à Israël est si important, en fait, que si Israël cessait d'exister, leur religion se révélerait fausse. Donc, les évangélistes / chrétiens sionistes doivent faire tout ce qu'ils peuvent pour soutenir Israël de toutes les manières possibles.

 

Maintenant, en plus des sionistes chrétiens, il y a un autre groupe de personnes que l'on peut certainement dire héritier de la tradition pro-juive / pro-israélienne - et ce groupe est la faction néoconservatrice. Si les néocons ne sont pas des millénaires modernes, alors je (l'auteur) ne sais pas qui est! Jetez un coup d'œil au livre de Francis Fukuyama, The End of History(1992). Dans ce travail (le plus célèbre), Fukuyama déclare qu'avec la chute de l'Union soviétique, la démocratie libérale a essentiellement triomphé de tous les autres systèmes politiques du monde. Et comme beaucoup d'autres néocons, Fukuyama croit que l'Amérique a le droit et le devoir moral d'aller de l'avant et de répandre sa marque spéciale de «liberté et de démocratie» à travers le monde. Encore une fois, on voit cette idée puritaine de l'Amérique étant un second Israël favorisé par Dieu - le même grand «bastion de la liberté» auquel les puritains croyaient depuis leur arrivée initiale à Plymouth Rock jusqu'à l'ère révolutionnaire. Et bien sûr, cela rejoint aussi l'aspect millénariste - l'idée du millénaire démocratique, que la démocratie a conquis le monde et que la dictature a disparu pour toujours. Si le livre de Fukuyama n'est pas un travail ouvertement millénariste, alors (encore, de l'avis de l'auteur) rien n'est! Ensuite, il y a des groupes de néocons comme celui qui a poussé avec véhémence la guerre en Irak - le projet pour le nouveau siècle américain. J'ai le sentiment que la seule raison pour laquelle ils ne se sont pas appelés le «Projet pour un nouveau millénaire américain» était parce que ce titre semblait trop grandiose, et peut-être aussi leur couverture!

 

Ce qui est ironique chez les historiens néoconservateurs, c'est qu'ils tendent à minimiser l'effet de la religion sur la culture américaine et sur la fondation des États-Unis. Ils prétendent que les fondateurs étaient tous des laïques et que le nationalisme religieux des Puritains n'était pas une force influente dans la fondation du pays. Cette prémisse est bien sûr erronée à 100%. Néanmoins, les néocons sont définitivement un groupe qui a hérité de la tradition millénariste, et cela explique assez bien pourquoi les néocons ont tendance à s'accorder sur tant de points avec les chrétiens évangéliques, surtout en ce qui concerne leur soutien commun à l'Etat d'Israël et aux Juifs américains. hall.

 

En effet, le lobby pro-israélien aux États-Unis est très influent, mais n'était pas la longue tradition de former l'identité américaine autour des lignes judéocentriques et millénaristes, il est très douteux de suggérer que le lobby israélien aurait un pouvoir aux États-Unis. Etats quoi que ce soit. Comme déjà mentionné, c'est simplement une partie de la culture américaine d'être pro-juif . Ce fait est ce qui finit par habiliter le lobby israélien et c'est la source ultime du soutien américain à l'Etat d'Israël, en dépit du fait qu'Israël n'offre aucun avantage stratégique au gouvernement américain, et malgré le fait qu'Israël ne partage aucun prétendu " valeurs démocratiques "avec les États-Unis ou l'Occident dans son ensemble.

 

Dans son livre Knowing Too Much (2012), Norman Finkelstein, érudit juif américain, prédit que le soutien américain à Israël prendra fin au fur et à mesure que les atrocités d'Israël se répandront dans les médias et que les Juifs américains apprendront de plus en plus la véritable nature de l'agression israélienne. (étant donné qu'ils ont tendance à être cérébrale et alphabète). Les Juifs américains concluront donc que le soutien d'Israël s'oppose à leurs propres croyances majoritairement libérales. Et ainsi, au fil du temps, alors que cette tension devient de plus en plus forte, les Juifs américains cesseront de soutenir Israël avec autant de ferveur qu'ils l'ont déjà été, ce qui mènera à la fin du soutien américain à Israël en général. C'est la revendication de Finkelstein, et elle est finalement imparfaite. Parce que, ne vous méprenez pas:Le soutien américain à Israël ne prendra pas fin .

 

Même si les Juifs américains cessent de soutenir Israël demain, il y a encore plusieurs dizaines de millions d'évangéliques qui soutiennent l'Etat juif. Il y a encore tout un contexte culturel de pro-judaïsme qui fait partie de l'identité américaine et de la croyance (qui remonte à l'époque des Puritains) que les Américains sont les Nouveaux Israélites. Cet ethos pro-juif profondément enraciné (enraciné dans la psyché de dizaines de millions d'Américains) est quelque chose qui serait beaucoup plus difficile à déraciner et à éliminer que les vues pro-israéliennes de la minorité juive américaine (qui sont elles-mêmes divisées sur le problème).

 

Si nous considérons les évangéliques, le soutien à Israël est le principe central de leur religion - ce n'est pas Jésus ou Dieu ou le Saint-Esprit, et ce n'est certainement pas l'un des enseignements du Sermon de Jésus sur la montagne. Le soutien à Israël est l'idée la plus fondamentale derrière le christianisme évangélique ou ce que l'on pourrait aussi appeler le sionisme chrétien. Et les évangéliques continueront leur soutien à Israël, quelles que soient les atrocités odieuses que cet État terroriste illégal continue de perpétrer contre les peuples autochtones non juifs de la région. Les évangéliques et les sionistes chrétiens en général s'en fichent tout simplement. Ils évaluent la justice ou l'injustice de quelqu'un par le degré auquel cette personne soutient Israël. Ce genre de soutien fanatique ne va pas disparaître de sitôt. Donc, ce problème est beaucoup plus grave que Finkelstein ne le croit, et (d'ailleurs) c'est beaucoup plus sérieux que le méprisable juif-baiter David Duke se rend compte - un homme qui est commis à blâmer juifs et juifs seuls pour tous les nombreux maux dans ce monde. Ne vous y trompez pas: le problème sioniste ne vient pas du soutien juif américain à Israël. Au contraire, il est entièrement enraciné dans la culture pro-juive, l'histoire, la politique, l'identité et les traditions religieuses deAméricains païens - un bloc religieux, culturel, politique et national qui constitue le principal soutien des actes ignobles d'Israël, et sans lequel l'État sioniste d'Israël n'aurait jamais vu le jour."

 

 

Entre les sionistes chrétiens et les sionistes juifs il y a un pacte; étant l'argent la principale motivation pour arriver à la même destination. Le vrai Israël s'est construit a forcé des révolutions, des traités commerciaux, des guerres pour la matière première. Les trois révolutions majeures, russe, américaine et française, furent l'œuvre juive par l'intermédiaire du sionisme. Leur meilleure réussite, fut d'amener toutes ces sociétés vers l'économie libérale, élément clef pour implanter le plus grand outil de domination, les banques. 

 

10 PHRASES DU ROTHSCHILD

 

10- "Qui contrôle l'émission d'argent, contrôle le gouvernement" Nathan Meyer Rothschild

 

9- "Nous possédons toutes les banques centrales du monde" Jacob Rothschild

 

8- "L'homme qui contrôle la question de l'argent en Grande-Bretagne contrôle l'Empire britannique, et je contrôle l'émission de monnaie britannique" Nathan Meyer Rothschild

 

7- "Ma famille vaut 500 milliards de dollars" Jacob Rothschild

 

6- "Je me fous si la marionnette est assise sur le trône d'Angleterre" Nathan Meyer Rothschild

 

5- "Nous possédons leurs nouvelles, leur pétrole, les médias et leurs gouvernements" Jacob Rothschild

 

4- "Nous sommes comme le mécanisme d'une horloge, chaque partie est essentielle" Nathan Meyer Rothschild

 

3- "Nous avons financé les deux côtés de chaque guerre depuis l'époque de Napoléon" Jacob Rothschild

 

2- "Les rares qui comprennent comment notre système fonctionne ou sera intéressé à recevoir des bénéfices ou dépendront tellement de nos actions que nous n'aurons pas d'opposition" Mayer Amschel Rothschild

 

1- "Donnez-moi le contrôle sur l'argent d'une nation et je ne me soucierai pas de savoir qui a écrit ses lois" Mayer Amschel Rothschild

 

 

Le petit État d'Israël n'est donc pas le vrai État juif; le véritable Israël est imposé par L oncle Sam avec sa super puissante machine de guerre et ses méthodes crapuleuses. L'israël planétaire se construit petit à petit au fur et à mesure que ses dignitaires convertissent les lois démocratiques et constitutions à leur avantage. À continuation je vous inclue une vidéo d'un écrivain français soumis à la législation française, terrain de prédilection des instances juives pour ligoter la parole qui pourrait eclaircire tant des zones d'ombre.

 

RESISTEZ !

 

 

Evo Morales libère la Bolivie de la banque Rothschild

https://reseauinternational.net/evo-morales-libere-la-bolivie-de-la-banque-rothschild/

 

Avant le 11 septembre 2001, seuls sept pays du monde disposaient d'une banque centrale qui n'était pas contrôlée par l'empire Rothschild :

 

l'Afghanistan, l'Irak, le Soudan, la Libye, Cuba, la Corée du Nord et l'Iran. Cependant, en 2003, l'Afghanistan et l'Irak ont été engloutis par la pieuvre Rothschild alors qu'en 2011, le Soudan et la Libye l'ont également été, suite au déclenchement d'une guerre opportune instaurant une pseudo-démocratie.

 

En Libye, une banque Rothschild a même été créée à Benghazi alors que le pays était encore en guerre.

 

À l'exception de la Corée du Nord, Cuba et la République Islamique d'Iran, la banque fondée par Nathan Mayer Rothschild maîtrise l'ensemble des établissements financiers émetteurs de monnaie de la planète, par l'intermédiaire de ses participations financières et patrimoniales.

 

Cependant, un nouveau pays a décidé de reprendre en main son destin bancaire. Il s'agit de la Bolivie, qui, après la Russie et la Hongrie, a déclaré en novembre 2016, par la voix de son président, Evo Morales, s'être libérée du joug du FMI et de la banque Rothschild :

 

« Hier, pour obtenir un crédit de la part du FMI, nous étions forcés de donner une part de notre pays. Mais aujourd'hui nous nous sommes libérés économiquement et politiquement et nous ne sommes plus dépendants d'autres pays ou institutions ! »

 

Avant son arrivée à la tête de l'état, le pays était le plus pauvre du continent sud-américain car soumis à la pression du FMI et des Rothschild qui dirigeaient la banque centrale bolivienne.

 

Mais en moins de 10 ans, il a réussi à faire de la Bolivie l'un des pays à la plus forte croissance du continent.

 

En effet, grâce à un impôt de 84% sur les bénéfices des grandes entreprises gazières et pétrolières du pays, il a créé de nombreux programmes d'aides aux nécessiteux et a ainsi réduit la pauvreté. De plus, il consacre désormais 14% du budget de l'état à l'Éducation nationale (alors que les États-Unis n'y consacrent que 1,7% !).

 

Le Parti Anti Sioniste félicite le président et le peuple boliviens pour cette indépendance durement acquise et leur souhaite un avenir radieux.

 

Il formule aussi le vœu pieu que le futur dirigeant de la France soit capable de libérer notre nation de la mainmise des lobbys, à la manière d'un Evo Morales..."

 

 

 

Influence maçonnique sur la Constitution américaine n°1.

2 Août 2011

 

Publié par Démocratie Royale

 

https://www.democratie-royale.org/article-influence-ma-onnique-sur-la-constitution-americaine-n-1-80681607.html

 

[...] Excepté par certains de ses termes et de ses figures de style, la Déclaration d'indépendance, par exemple, ne pourrait être qualifiée de document maçonnique.

 

La Constitution des États-Unis, en revanche, pourrait être défini comme telle dans un sens très réel. Lorsque la Convention se réunit pour l'élaborer, les influences maçonniques étaient nettement prédominantes. D'autres organisations, tels les "Fils de la liberté", avaient été dissoutes après avoir rempli leur rôle. Même l'armée continentale avait été licenciée. À l'époque de la Convention constitutionnelle, la maçonnerie n'était pas seulement la seule organisation à être restée "dans la course". C'était aussi le seul appareil fonctionnant au-delà des frontières des États, dans toutes les colonies nouvellement indépendantes.

 

Bien entendu, sous sa forme définitive, la Constitution fut le produit des mains et d'esprits nombreux, dont tous n'étaient pas liés à la maçonnerie (mais le principe de majorité suffit pour l'emporter). Le texte du document était de Thomas Jefferson et, contrairement à ce que l'on affirme parfois, il n'était sans doute pas franc-maçon. Cinq hommes avaient été fondamentalement l'âme de la Constitution : Washington, Franklin, Randolph, Jefferson et John Adams. Or les trois premiers étaient non seulement des francs-maçons actifs, mais des hommes qui prenaient la franc-maçonnerie au sérieux, des hommes qui souscrivaient avec ferveur à ses idéaux, dont toute l'orientation avait été modelée et conditionnée par elle.

 

Et la position d'Adams, bien que, pour autant que l'on sache, il n'ait pas été maçon, était quasiment identique à la leur. De plus quand il accéda à la présidence des États-Unis, il nomma un maçon éminent, John Marshall qui, par la suite mit le judiciaire sur un pied d'égalité avec le Congrès et la présidence.

 

Dans les débats et les discussions qui aboutirent à la Constitution, Adams - bien que sa présence ne fût pas effective à l'époque - était en accord avec Washington, Franklin et Randolph. Seul Jefferson n'était pas de leur bord. Et ce fut finalement Jefferson qui céda, s'alignant sur la position des francs-maçons. La nouvelle république, naissant en même temps que la Constitution, était conforme à l'image qu'il se représentaient, et cette image reflétait les idéaux de la franc-maçonnerie.

 

Influence maçonnique dans le gouvernement de Washington.

 

Le 17 septembre 1787, le projet de Constitution fut accepté, approuvé et signé par trente-neuf des quarante-deux délégués présents. Entre le 7 décembre et le 25 juin de l'année suivante, chacun des États le ratifia individuellement. Le Maryland céda 160 kilomètres carrés de territoire au Congrès, comme le stipulait la Constitution, et ce terrain - le district de Columbia - devint le site de la nouvelle capitale fédérale.

 

Le 4 février 1789, Georges Washington fût élu premier président des États-Uni, et John Adams vice-président. L'intronisation eut lieu le 30 avril. Ce fut Robert Livingston, Grand Maître de la Grande Loge de New York et beau-père du défunt général Richard Montgomery, qui lui fit prêter serment. Le maître des cérémonies fut un autre maçon, le général Jacob Morton. Un autre encore, le général Morgan Lewis, escortait Washington. La Bible utilisée pour la prêtation du serment fut celle de la Loge Saint-John n°1 de New York. Washington était lui-même, à l'époque, Maître de la Loge n°22 d'Alexandria, dans l'État de Virginie.

 

Treize jours (13) plus tôt Franklin était mort, et la motié de Philadelphie était sortie dans la rue pour assister à ses funérailles. Cinq jour après l'investiture, les États-Généraux français se rencontrèrent à Versailles, et formèrent le 17 juin une Assemblée nationale, se déclarant, eux et non le roi, les véritables représentants du peuple français. Le 14 juillet, une émeute "révolutionnaire", "prit d'assaut" la Bastille, (en réalité ouverte sur ordre de son Gouverneur).

 

Le 14 décembre, Alexander Hamilton soumit ses propositions en vue de l'établissement d'une Banque Nationale. Jefferson s'y opposa mais Washington les signa. Le "Grand Sceau" des États-Unis fut imprimé sur le dollar américain. Il est indubitablement maçonnique - un oeil qui voit tout dans un triangle surmontant une pyramide maçonnique à quatre côtés et treize degrés, sous laquelle une banderole proclame l'avènement d'un "nouvel ordre séculier" - un des rêves de longue date de la franc-maçonnerie.

 

Le 18 septembre 1793, la première pierre du Capitole fut officiellement posée. La Grande Loge du Maryland présida à la cérémonie et l'on demanda à Washington de remplir le rôle Maître. Les loges affiliées dépendant de la juridiction du Maryland étaient présentes, ainsi que la propre loge de Washington, Alexandria, venue de l'État de Virginie.

 

Il y eut une immense procession, qui incluait une compagnie d'artillerie. Puis vint un orchestre, suivi par Washington en personne, escorté de tous les officiers et les membres des loges, arborant les décors maçonniques au complet.

 

Quand il atteignit l'excavation où était posée la pierre qui marquait l'angle sud-est, Washington se vit remettre une plaque en argent commémorant l'événement et portant le nom des loges présentes. L'artillerie tira une salve d'honneur. Puis Washington descendit dans l'excavation et déposa la plaque sur la pierre. Autour de celle-ci, il disposa des récipients renfermant du blé, du vin et de l'huile - emblèmes symboliques traditionnels du rite maçonnique. Toute l'assistance se joignit à lui dans une prière et un chant maçonnique, et l'artillerie tira une nouvelle salve.

 

Washington et son entourage se placèrent ensuite à l'est de la pierre angulaire, où le président, d'une tribune à trois degrés typiquement maçonnique, délivra un discours. De nouveaux chants maçonniques suivirent, et une ultime salve d'artillerie.

 

Le maillet, la truelle d'argent, l'équerre et le niveau utilisés par Washington pour la cérémonie sont aujourd'hui en la possession de la Loge Potomac n°5 du district de Columbia. Le tablier et la ceinture qu'il porta sont conservés dans sa propre loge, la Loge n°22 d'Alexandria.

 

Par la suite, le Capitole et la Maison Blanche deviendraient les points focaux d'une géométrie régissant le tracé de la capitale de la nation. Cette géométrie, conçue à l'origine par l'architecte Pierre l'Enfant, fut plus tard modifiée par Washington et Jefferson afin de produire des motifs (entre autres équerres et pentagrammes) octogonaux intégrant la croix particulière que les Templiers maçonniques avaient pour emblème.

 

Six ans et trois mois plus tard, en décembre 1799, Washington rendit l'âme. Il fut enseveli dans son domaine du mont Vermon, avec tous les honneurs maçonniques, par la Loge n°22 d'alexandria, dont les membres tenaient les cordons du poêle."

 

Michael Baigent & Richard Leigh, « Des Templiers aux francs-maçons ».

 

 

Votre banque est-elle détenue par les Rothschild? Voici la liste complète

August 14, 2017

 

 

Dr.Mo7oG

 

https://www.drmo7og.com/single-post/2017/08/14/Votre-banque-est-elle-d%C3%A9tenue-par-les-Rothschild-Voici-la-liste-compl%C3%A8te

Quelle est l'importance d'avoir une banque centrale dans un pays et pourquoi devriez-vous vous intéresser, votre famille et vos collègues?

Les banques centrales sont des banques PRIVÉES illégalement créées par la famille bancaire Rothschild.

La famille existe depuis plus de 230 ans et s'est glissée dans chaque pays sur cette planète, a menacé tous les leaders mondiaux et leurs gouvernements et cabinets avec la mort et la destruction physiques et économiques, puis ont placé leur propre peuple dans ces banques centrales pour Contrôler et gérer le portefeuille de chaque pays.

Pire encore, les Rothschild contrôlent également les machinations de chaque gouvernement au niveau macro, ne se préoccupant pas des vicissitudes quotidiennes de notre vie personnelle individuelle. Sauf lorsque nous serons trop loin de la ligne.

Le grand plan de The First Sphere of Influence est de créer une mononation mondiale. Ne confondez pas cela avec le terme de mondialisation. La mononation et la mondialisation ne peuvent pas être plus différentes dans le concept, la portée et le but. Mononation est un état. Il y a un gouvernement. Un ensemble de lois pour tous les citoyens ordinaires, pas de lois pour l'élite. La mondialisation se réfère à la communication, au commerce, à l'interaction, etc. entre des pays distincts, différents, indépendants et souverains.

Le grand plan de The First Sphere of Influence est de créer une mononation mondiale.

Notre propre Réserve fédérale est une banque privée placée illégalement directement responsable de la création de toutes les dépressions américaines, des récessions et de l'inflation et de la déflation de notre dollar. La Fed contrôle l'impression de notre propre devise, puis charge les intérêts du gouvernement américain sur ces prêts. L'intérêt augmente chaque année, ce qui rend difficile, sinon impossible pour notre gouvernement, de le payer. Comment payons-nous cet intérêt? Par l'impôt sur le revenu des particuliers des États-Unis. Cette taxe s'applique à la famille Rothschild.

Dans les mois à venir, alors que je continue à rassembler des informations et à écrire un livre sur The First Sphere of Influence, je partagerai de plus en plus. Pour l'instant, je vous prie de bien vouloir lire chacune des 165 lignes ci-dessous. Cent soixante-cinq raisons de croire à mes informations. Vous pouvez cliquer sur chaque banque et visiter son site Web. J'ai vu chacun. Ils sont réels. Et ils sont l'une des raisons pour lesquelles chaque pays est en dette aussi profonde envers cette famille insidieuse, les Rothschild.

Au fait, si vous êtes curieux de savoir ce qu'est la dette américaine envers la BRI, veuillez consulter le tableau à la fin de cet article, tiré des derniers résultats statistiques fournis par le Joint External Debt Hub, qui reçoit les données de la BRI , Le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et l'Organisation de coopération et de développement économiques.

Vous voulez savoir quelles banques elles possèdent réellement? Voici la liste complète:

Afghanistan: Bank of Afghanistan

Albania: Bank of Albania

Algeria: Bank of Algeria

Argentina: Central Bank of Argentina

Armenia: Central Bank of Armenia

Aruba: Central Bank of Aruba

Australia: Reserve Bank of Australia

Austria: Austrian National Bank

Azerbaijan: Central Bank of Azerbaijan Republic

Bahamas: Central Bank of The Bahamas

Bahrain: Central Bank of Bahrain

Bangladesh: Bangladesh Bank

Barbados: Central Bank of Barbados

Belarus: National Bank of the Republic of Belarus

Belgium: National Bank of Belgium

Belize: Central Bank of Belize

Benin: Central Bank of West African States (BCEAO)

Bermuda: Bermuda Monetary Authority

Bhutan: Royal Monetary Authority of Bhutan

Bolivia: Central Bank of Bolivia

Bosnia: Central Bank of Bosnia and Herzegovina

Botswana: Bank of Botswana

Brazil: Central Bank of Brazil

Bulgaria: Bulgarian National Bank

Burkina Faso: Central Bank of West African States (BCEAO)

Burundi: Bank of the Republic of Burundi

Cambodia: National Bank of Cambodia

Came Roon: Bank of Central African States

Canada: Bank of Canada – Banque du Canada

Cayman Islands: Cayman Islands Monetary Authority

Central African Republic: Bank of Central African States

Chad: Bank of Central African States

Chile: Central Bank of Chile

China: The People’s Bank of China

Colombia: Bank of the Republic

Comoros: Central Bank of Comoros

Congo: Bank of Central African States

Costa Rica: Central Bank of Costa Rica

Côte d’Ivoire: Central Bank of West African States (BCEAO)

Croatia: Croatian National Bank

Cuba: Central Bank of Cuba

Cyprus: Central Bank of Cyprus

Czech Republic: Czech National Bank

Denmark: National Bank of Denmark

Dominican Republic: Central Bank of the Dominican Republic

East Caribbean area: Eastern Caribbean Central Bank

Ecuador: Central Bank of Ecuador

Egypt: Central Bank of Egypt

El Salvador: Central Reserve Bank of El Salvador

Equatorial Guinea: Bank of Central African States

Estonia: Bank of Estonia

Ethiopia: National Bank of Ethiopia

European Union: European Central Bank

Fiji: Reserve Bank of Fiji

Finland: Bank of Finland

France: Banque de France

Gabon: Bank of Central African States

The Gambia: Central Bank of The Gambia

Georgia: National Bank of Georgia

Germany: Deutsche Bundesbank

Ghana: Bank of Ghana

Greece: Bank of Greece

Guatemala: Bank of Guatemala

Guinea Bissau: Central Bank of West African States (BCEAO)

Guyana: Bank of Guyana

Haiti: Central Bank of Haiti

Honduras: Central Bank of Honduras

Hong Kong: Hong Kong Monetary Authority

Hungary: Magyar Nemzeti Bank

Iceland: Central Bank of Iceland

India: Reserve Bank of India

Indonesia: Bank Indonesia

Iran: The Central Bank of the Islamic Republic of Iran

Iraq: Central Bank of Iraq

Ireland: Central Bank and Financial Services Authority of Ireland

Israel: Bank of Israel

Italy: Bank of Italy

Jamaica: Bank of Jamaica

Japan: Bank of Japan

Jordan: Central Bank of Jordan

Kazakhstan: National Bank of Kazakhstan

Kenya: Central Bank of Kenya

Korea: Bank of Korea

Kuwait: Central Bank of Kuwait

Kyrgyzstan: National Bank of the Kyrgyz Republic

Latvia: Bank of Latvia

Lebanon: Central Bank of Lebanon

Lesotho: Central Bank of Lesotho

Libya: Central Bank of Libya (Their most recent conquest)

Uruguay: Central Bank of Uruguay

Lithuania: Bank of Lithuania

Luxembourg: Central Bank of Luxembourg

Macao: Monetary Authority of Macao

Macedonia: National Bank of the Republic of Macedonia

Madagascar: Central Bank of Madagascar

Malawi: Reserve Bank of Malawi

Malaysia: Central Bank of Malaysia

Mali: Central Bank of West African States (BCEAO)

Malta: Central Bank of Malta

Mauritius: Bank of Mauritius

Mexico: Bank of Mexico

Moldova: National Bank of Moldova

Mongolia: Bank of Mongolia

Montenegro: Central Bank of Montenegro

Morocco: Bank of Morocco

Mozambique: Bank of Mozambique

Namibia: Bank of Namibia

Nepal: Central Bank of Nepal

Netherlands: Netherlands Bank

Netherlands Antilles: Bank of the Netherlands Antilles

New Zealand: Reserve Bank of New Zealand

Nicaragua: Central Bank of Nicaragua

Niger: Central Bank of West African States (BCEAO)

Nigeria: Central Bank of Nigeria

Norway: Central Bank of Norway

Oman: Central Bank of Oman

Pakistan: State Bank of Pakistan

Papua New Guinea: Bank of Papua New Guinea

Paraguay: Central Bank of Paraguay

Peru: Central Reserve Bank of Peru

Philip Pines: Bangko Sentral ng Pilipinas

Poland: National Bank of Poland

Portugal: Bank of Portugal

Qatar: Qatar Central Bank

Romania: National Bank of Romania

Russia: Central Bank of Russia

Rwanda: National Bank of Rwanda

San Marino: Central Bank of the Republic of San Marino

Samoa: Central Bank of Samoa

Saudi Arabia: Saudi Arabian Monetary Agency

Senegal: Central Bank of West African States (BCEAO)

Serbia: National Bank of Serbia

Seychelles: Central Bank of Seychelles

Sierra Leone: Bank of Sierra Leone

Singapore: Monetary Authority of Singapore

Slovakia: National Bank of Slovakia

Slovenia: Bank of Slovenia

Solomon Islands: Central Bank of Solomon Islands

South Africa: South African Reserve Bank

Spain: Bank of Spain

Sri Lanka: Central Bank of Sri Lanka

Sudan: Bank of Sudan

Surinam: Central Bank of Suriname

Swaziland: The Central Bank of Swaziland

Sweden: Sveriges Riksbank

Switzerland: Swiss National Bank

Tajikistan: National Bank of Tajikistan

Tanzania: Bank of Tanzania

Thailand: Bank of Thailand

Togo: Central Bank of West African States (BCEAO)

Tonga: National Reserve Bank of Tonga

Trinidad and Tobago: Central Bank of Trinidad and Tobago

Tunisia: Central Bank of Tunisia

Turkey: Central Bank of the Republic of Turkey

Uganda: Bank of Uganda

Ukraine: National Bank of Ukraine

United Arab Emirates: Central Bank of United Arab Emirates

United Kingdom: Bank of England

United States: Federal Reserve, Federal Reserve Bank of New York

Vanuatu: Reserve Bank of Vanuatu

Venezuela: Central Bank of Venezuela

Vietnam: The State Bank of Vietnam

Yemen: Central Bank of Yemen

Zambia: Bank of Zambia

Zimbabwe: Reserve Bank of Zimbabwe

Selon l'existence de l'humanité: pratiquement inconnu du grand public, le fait que la Réserve fédérale américaine est une entreprise privée, située sur son propre terrain, à l'abri des lois américaines.

Cette entreprise privée (contrôlée par les Rothschild, les Rockefellers et les Morgans) imprime de l'argent au gouvernement des États-Unis, ce qui leur paie des intérêts pour la «faveur». Cela signifie que si nous réinitialisons la dette du pays aujourd'hui et commencerons à réimprimer de l'argent, nous Serait en dette envers le FED du premier dollar prêté à notre gouvernement.

En outre, la plupart des personnes vivant aux États-Unis n'ont aucune idée que l'Internal Revenue Service (IRS) est une agence étrangère.

Pour être plus précis, l'IRS est une société privée étrangère du Fonds monétaire international (FMI) et est l'«armée» privée de la Réserve fédérale (Fed).

Son objectif principal est de s'assurer que les Américains paient leurs impôts et soient de bons esclaves.

En 1835, le président américain Andrew Jackson a déclaré son dédain pour les banquiers internationaux:

"Vous êtes un repaire de vipers. J'ai l'intention de vous expulser, et par le Dieu éternel, je vais vous expulser. Si les gens ne comprenaient que l'injustice de notre argent et de notre système bancaire, il y aurait une révolution avant le matin ".

Il a suivi une tentative d'assassinat (infructueuse) sur la vie du président Jackson. Jackson avait déclaré à son vice-président, Martin Van Buren:

"La banque, M. Van Buren, essaie de me tuer."

C'était le début d'un modèle d'intrigue qui affecterait la Maison Blanche elle-même au cours des prochaines décennies. Lincoln et JFK ont été assassinés pour avoir tenté de débarrasser le pays des banquiers.

 

Les Megabanks du monde

Il existe deux Megabanks qui offrent des prêts à tous les pays de la planète, à la Banque mondiale et au FMI. La première est détenue conjointement par les meilleures familles bancaires au monde, avec les Rothschild au sommet, tandis que la seconde est la propriété exclusive de Rothschild.

Ces deux Megabanks offrent des prêts aux «pays en développement» et utilisent leurs intérêts presque impossibles à rembourser pour obtenir la main sur la richesse réelle: la terre et les métaux précieux.

Mais ce n'est pas tout! Une partie importante de leur plan consiste à exploiter également les ressources naturelles d'un pays (comme l'essence ou le gaz) par l'entremise de leurs entreprises secrètement, les affiner et les vendre dans le même pays, ce qui fait un énorme profit.

Mais pour que ces entreprises puissent fonctionner de manière optimale, elles ont besoin d'une infrastructure solide, qui manque habituellement de soi-disant «pays en développement». Alors, avant même que les banques puissent offrir des prêts presque impossibles à rembourser, ils s'assurent que La plus grande partie de l'argent sera investi dans - vous l'avez deviné - l'infrastructure.

 

Ces «négociations» sont menées par les soi-disant «Hitman économiques», qui réussissent par gracieusement gratifiant (c'est-à-dire sous-courriers) ou menacent de mort ceux qui sont en mesure de vendre leur pays.

Pour plus d'informations sur le sujet, je suggère de lire les Confessions d'un Hitman économique.

La banque qui les règle tous, la «Banque pour l'établissement international», est - évidemment - contrôlée par les Rothschild et est surnommée la «Tour de Bâle».

Le vrai pouvoir des Rothschild va bien au-delà de l'empire bancaire

Si vous n'êtes pas encore émerveillé par le pouvoir des Rothschild (je sais que vous êtes), sachez qu'ils sont également derrière toutes les guerres depuis Napoléon. C'est alors qu'ils ont découvert à quel point il est rentable de financer les deux côtés d'une guerre et ils l'ont fait depuis.

En 1849, Guttle Schnapper, épouse de Mayer Amschel, déclara:

"Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n'y en aurait pas."

Donc, le monde est encore en guerre parce qu'il est très, très rentable pour les Rothschild et leurs lymphomes de parasites. Et tant que nous continuerons à utiliser l'argent, le monde ne connaîtra jamais la paix.

Il est choquant pour beaucoup de savoir que les États-Unis d'Amérique sont une société issue de l'étranger. Son nom d'origine était la Compagnie de Virginie et appartenait à la Couronne britannique (il ne faut pas confondre avec la Reine, qui fonctionne en grande partie uniquement dans une capacité de cérémonie).

La Couronne britannique a fait don de l'entreprise au Vatican, qui a remis les droits d'exploitation à la Couronne. Les présidents américains sont nommés PDG et leur entreprise consiste à faire de l'argent pour la Couronne britannique et le Vatican, qui prennent leur part des bénéfices chaque année.

La Couronne britannique règle secrètement le monde de l'État souverain indépendant de 677 acres, connu sous le nom de The City of London. Cette autre Couronne est composée d'un comité composé de 12 banques dirigées par la Banque d'Angleterre. Devinez qui contrôle la Banque d'Angleterre? Oui, les Rothschild!

En 1815, Nathan Mayer a fait la déclaration suivante:

"Je ne me préoccupe pas de ce que la marionnette est placée sur le trône d'Angleterre pour dominer l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L'homme qui contrôle l'offre monétaire de la Grande-Bretagne contrôle l'Empire britannique et je contrôle la trésorerie britannique ".

La Maison de Rothschild est vraiment au sommet de la pyramide du pouvoir. Ils sont derrière le Nouvel Ordre Mondial et la domination complète du programme mondial. Ils sont derrière l'Union européenne et l'euro et ils sont derrière l'idée d'une Union nord-américaine et de l'Amero. Ils contrôlent tous les services secrets du monde et leur armée privée est l'OTAN.

Traduit par Dr.Mo7oG

 

 

 

Le conflit  israélo-palestinien n'aura jamais de solution car stratégiquement c'est un point de déstabilisation terrain fertile aux fabricants d'armes(France-israël-usa)Cela met aussi ces peuples au bord de l'extinction si chère au Talmud et le messie. L'état israélien au moyen orient n'est que la mise en scène d'un plan plus machiavels ; faire penser que les Juifs et le sionisme sont a porté d'une guerre. Sans argent les armes nucléaires même ne servent à rien. La véritable arme de destruction massive c'est l'argent; il est partout, il est moralement nécessaire(il faut gagner sa vie): Ne plus l'avoir c'est comme recevoir une balle sur la tempe. La meilleure prévue nous pouvons la voir à l'oeuvre au Venezuela: La crise économique qui subit ce pays est orchestrée  de l'extérieur: On peut dire que M. Rothschild voudrait avoir une succursale pour que Jhavé vienne trinquer complètement en Amérique latine. La Colombie vient d'adhérer à son bras armé le plus meurtrier, L OTAN. Le terrain se prépare donc pour que daech et tous ses copains coupeurs de tetes viennent remplacer les mouvements de guérilla. Lorsque daech sera en Amérique latine, tous les pays de la région devraient augmenter leurs budgets militaires et acheter où? USA. Le prix nobel de Monsieur Santos c est encore de la poudre aux yeux, de même que Monsieur Obama. Ci dessus une vidéo sur le parlement juif qui tient place au parlement européen

 

PARLEMENT

 

Un parlement est une assemblée — généralement élue — qui assure la représentation du peuple dans les États ou les divisions administratives (intra-étatiques tel le Parlement de Paris ou supra-étatiques tel le Parlement européen), et à ce titre est le « destin de la démocratie » selon Hans Kelsen. Il a deux fonctions : faire et défaire les lois, ce qui en fait le détenteur du pouvoir législatif, et contrôler l'action du gouvernement du pays.

C'est un organe collégial qui peut avoir plusieurs rôles : un rôle de conseiller pour le pouvoir exécutif, un rôle de législateur, et enfin un rôle de représentant de la nation à l'étranger.

 

 

Cela ne serait pas une preuve de ce que j'avance? Nous allons  dire que ce parlement réuni les Juifs les plus influents de pays doux ils viennent. Cela peut donner des consignes planétaires maintenant bien coordonnées. Le gouvernement juif se met en place et ce n'est pas par hasard si cela se passe dans l'enceinte du parlement Européen

 

 

Miyoceleste, 2018-05-28