Redimensionner l'humain

Notre culture, déjà planétaire, nous a fait voir notre monde comme une entité comportant trois dimensions. A. Einstein avec sa théorie de la relativité, a réuni le temps et l'espace comme une quatrième. Pour eux, la troisième dimension est expliquée par le fait que l'espace évolue en trois aspects : haut, bas et cotés. Cela leur sert de support pour expliquer la matérialité qui remplit un espace donné. Si nous voyons la création comme un système d'information et celle-ci circule par des médiums différents ; alors la spatialité (x, y, z) ne détermine en rien le fondement de celle - ci. Elle est simplement le fond de quelque chose que nous n'avons vraiment pas compris, la matière. Elle est matérielle (l'information) car manifesté pour nous ; mais en dehors du filtre qui nous rends l'information matérielle, d'autres donnés circulent laissant les coordonnés x, y, z sans incidence. Je défends la thèse que la matière, c'est de l'information devenue particule (comme la lumière) après avoir été une onde (voir l'univers intelligible e sensible de Platon) . Si nous imaginons l'information comme un flux universel qui se manifeste en :

 

1° information

 

2° énergie

 

3° lumière

 

4° son

 

Que ces éléments évoluent en un conduit fermé appelé dimension. Celle-ci est donc un conteneur et ne pas une direction vectorielle. L'information peut être immatérielle et par conséquence ne pas être soumise à la spatialité. Mais comme organiser l'information devenue particule, donc visible et soumise a la spatialité. Nous allons imaginer maintenant que le conteneur de cette entité (information particule) est un champ de force qui la rend cohérente. Ainsi, nous pouvons imaginer notre planète sous un angle nouveau en allant chercher des vecteurs qui contiennent cette information devenue particule de manière cohérente. L'eau, l'air, la terre, conteneurs ou l'information (le vivant) évolue d'une manière cohérente et se perpétuer formant des sous-conteneurs appelés écosystèmes. Si nous mélangeons ces trois dimensions en une seule (eau, air, terre) nous allons obtenir des informations de nature différente sous une même influence. Des informations qui se côtoient et que vont constituer ce que je vais appelle conscience. Elle est le savoir qui sait que sait. Elle est donc de l'intrication des donnée pour exister dans un milieu nouveau.        

 

 

Ci-dessus, trois supports des dimensions citées (eau, air, terre). À l'intérieur d'eux, l'intrication des informations devient con-science. Cette quatrième instance, je vais l'appeler la quatrième dimension. Champs infinis de circulations de données. Union de ce qu'est le manifesté et l'information ondulatoire, l'essence de tout dans la création. Pour expliquer ce qu'est le passage d'information d'une dimension a une autre, je vais le faire avec le phénomène de la pluie. Les nuages, contenant de l'eau (dimension 1 par exemple) par l'interaction avec le vent (dimension 2 par exemple) partagent des données qui vont se manifester dans un autre état de l'information qu'est l'énergie. Celle-ci est éjectée de ces deux premiers supports vers la terre (dimension 3 par exemple). La foudre est donc l'énergie et lumière qu'est une autre manifestation de l'information. Cela veut dire que la coexistence de dimension ensemble produit de l'énergie (lumière, chaleur, son, motricité, etc.).

 

De quelle façon notre quatrième dimension (conscience) est capable de transformer l'information ondulatoire en particule, depuis l'univers intelligible vers l'univers sensible. Le mot qui me vient a l'esprit, c'est l'empathie. Je dirais que c'est le pont entre deux consciences qui se cherchent à être dans la même nature ou consistance. Il y a donc la nature, extension merveilleuse de beauté ou les consciences jouent à l'unisson la symphonie de l'empathie. Endroit où nous sommes censés participer et ne pas apporter la dissonance. Une experience que beaucoup d entre vous connaissent peut etre, c est le travail de masaru Emoto:

 

"Titulaire d'un Doctorat de l'Université de Yokohama en Médecine Alternative (eh oui, au Japon ça existe), Masaru Emoto a pu mettre au point avec son équipe une méthode d'observation des cristaux d'eau gelés par la photographie. Il y travaille depuis presque 20 ans et parcourt à présent le monde pour partager les enseignements de ses découvertes, avec une attention pédagogique particulière pour les enfants. Ce qu'il a pu mettre sous l'œil d'un objectif offre à tous un aperçu concret de ce qui nous était déjà transmis par les anciens peuples de la Terre et ceux dits 'primitifs', et qui est également redécouvert à travers les avancées de la physique quantique : la pensée est puissamment créatrice, instantanément.

 

Masaru Emoto

 

C'est au fil de ses travaux sur les fluctuations ondulatoires de l'eau que M. Emoto a découvert « la richesse avec laquelle l'eau peut s'exprimer ». Pour obtenir sa cristallisation, des échantillons d'eau sont congelés dans des boîtes de Pétri à -20° durant trois heures. A la suite de quoi des gouttelettes de glace se sont formées à la surface, sur la couronne desquelles apparaît le cristal sous une projection de lumière. La photographie est alors prise à vitesse rapide.

 

Tout de suite, l'équipe d'Emoto a découvert que les cristaux étaient très différents selon la provenance de l'eau. Les eaux pures et vives formant de beaux cristaux harmonieux là où les eaux stagnantes, ou pire les eaux usées, ne formaient pas de cristaux ou encore des cristaux très incomplets ou disharmonieux.

 

L'étude de la riche panoplie des cristaux d'eau présents dans l'eau naturelle - richesse inexistante dans l'eau du robinet en raison de la présence de chlore - a donné l'idée à un chercheur de l'équipe de mettre de la musique pour voir ce qui se passerait. Ce fut le début d'une autre dimension de l'aventure qui a permis de découvrir la grande sensibilité de l'eau à l'énergie émise par la pensée, la parole, l'image, la musique... Par la vibration qu'ils émettent, même de simples mots écrits sur un papier comme 'haine' ou 'amour' présentés à de l'eau modifie avec une signature spécifique la forme de ses cristaux. Comme le dit M.Emoto, « ces cristaux sont remplis de leçons à tirer concernant la façon dont nous devrions et devons vivre ».

 

https://www.urantia-gaia.info/2011/07/01/les-extraordinaires-decouvertes-de-masaru-emoto/

 

L'eau et la conscience (Nature) Par Thierry LEDRU

 

« L'eau participe forcément à l'apparition de notre conscience », révèle Marc Henry, professeur de chimie à l'université de Strasbourg et chercheur associé au CNRS. La vie est née dans l'eau et celle-ci est bien plus qu'un simple liquide corporel. Composante majoritaire et intime de notre être, elle fait non seulement 70 % de notre poids - soit les 3/4 de notre corps - mais« elle compte pour 99 % du nombre de molécules qui composent nos cellules », souligne ce spécialiste de l'eau. Plus petites en taille, écrasantes en nombre, les molécules d'eau sont notre matière première fondamentale.

 

Pourtant, nos modèles de compréhension du vivant sont souvent envisagés de manière anhydre. Nous représentons par exemple l' ADN sans les millions de molécules d'eau qui la structurent - et sans lesquelles son fonctionnement est altéré. « Il faut non seulement remettre l'eau au cœur du vivant mais au centre du débat sur la conscience. Si nous sommes faits essentiellement d'eau, celle-ci joue forcément un rôle dans l'émergence de nos capacités psychiques », appuie Marc Henry.

 

H2O fait des vagues

 

Fuyant la solitude, H2O cherche constamment à tisser des liens. Zoomer sur une goutte d'eau est comme regarder une ruche au moment de son activité la plus intense. Ca grouille de connections qui se font, se défont, se refont toutes les 10-12 secondes. C'est d'une rapidité extrême. Et c'est là que l'énigme affleure. Au cœur de cette plasticité relationnelle incroyable, apparaissent des phénomènes de synchronisation déconcertants. Tels les poissons d'un banc agissant à l'unisson, les oiseaux d'une volée homogène, ou les supporters de foot performant une Olà sur les gradins, nos molécules d'eau vont parfois opérer de manière coordonnée. En un instant, elles se mettent toutes à s'orienter dans la même direction et à avoir le même comportement. « En physique quantique des champs, cela s'appelle une cohérence de phase : un nombre de molécules d'eau, impossible a compter car fluctuant, se comporte comme un groupe cohérent pendant un certain temps », détaille le Pr Henry. Nos molécules d'eau semblent surfer sur des vagues invisibles.

 

Bascule. Invitation à ne plus focaliser sur les corpuscules en eux-mêmes, mais sur le vide dont ils semblent recevoir des informations. Comment du « vide » peut-il être à l'origine de quelque chose ? « Nous constatons que le vide est capable de propager une onde électromagnétique. Ce qui veut dire que le vide a une impédance : une résistance électrique. La raison pour laquelle le vide peut avoir une impédance reste un grand mystère. Mais cela implique qu'il n'est pas vide. En mécanique quantique, nous apprenons que le vide est plein de particules et d antiparticules. Nous sommes donc loin de ce qu'on appelle le néant », explique le chercheur. Avec sa capacité à extraire des photons du vide et à les faire circuler dans son réseau flexible de liaisons hydrogènes, l'eau serait un réceptacle de choix d'informations provenant de cet invisible. 99% de nos molécules sont-elles constamment branchées sur le vide quantique ? Allô le point zéro ?

 

Une information vivante

 

Pour le Pr Henry, la capacité de fluctuation des molécules d'eau serait fondamentale. Elle permettrait l'apparition d'un type d'information bien spécifique. « Stocker des données sur des solides, comme nous le faisons dans un livre, ou avec la technologie informatique actuelle, aboutit pour moi sur de l'information morte. Ca donne une quantité fixe et maîtrisée d'indications, transmises via des objets matériels déterminés. Alors que là où il y a fluctuation, c'est à dire cohérence quantique, émerge une information vivante. La vie, la nature, et probablement la conscience, procèdent de la sorte. Elles utilisent des composants dynamiques innombrables parce que toujours en train de varier, et codent l'information sur la phase. Ce ne sont donc pas les composants, les solides, qui sont importants, mais l'onde qui les traverse. C'est une nouvelle façon de concevoir l'information, qui reste vivante et connectée au vide », renseigne Marc Henry.

 

Ainsi, notre eau serait capable de recueillir de l'information électromagnétique provenant d'une vacuité énigmatique. Une fois reçue, celle-ci se transmettrait à notre ADN, nos protéines, et par répercussion à toute notre physiologie. L'être humain serait ainsi un système ouvert constamment traversé d'informations quantiques. « Etant plein d'excitations virtuelles et contenant tous les possibles, le vide quantique est un bel endroit pour mettre la conscience. De plus, à partir du moment où nous sommes en communication avec le vide, nous sommes en lien avec tout l'univers, puisqu'il relie tout », énonce Marc Henry. Tel le vent dans les feuilles d'un arbre, une onde dans la mer, une forme de conscience vivante pourrait nous être insufflée via nos molécules d'eau. S'appuyant sur les travaux du Pr Roger Penrose, grand physicien d'une science de la conscience, le Pr Henry avance que les microtubules de nos neurones - pleines d'eau - pourraient être un lieu de réception privilégié de ces informations quantiques. « C'est pour cela que pour moi, le rêve de transférer nos consciences sur un support matériel solide est une impasse. Pour reproduire la conscience, il faudrait bâtir des machines d'une flexibilité extrême. Elles devraient être constituées de composants capables de réceptionner une information vivante et de fluctuer aux rythmes du vide quantique. Nos cellules, grâce à l'eau, savent lire ce type d'information. Elles sont toujours en train de varier et nous ne sommes jamais les mêmes. La vie et la conscience possèdent cet art de mémoriser des informations sur de la fluctuation », conclut le Pr Henry.

 

https://la-haut.e-monsite.com/blog/l-eau-et-la-conscience.html

 

Les cassiopéens ont apporté la notion de densité pour comprendre l'architecture du cosmos. Il est essentiellement composé de 7 avec ses infinies dimensions. Pour eux, la première densité est les roches et minéraux, la deuxième, les plantes et la troisième le royaume animal. Nous occupons la troisième densité et nous avons vu l'incidence de chaque dimension (eau, air, terre) sur les autres créant ainsi la conscience par l'interaction de ses informations respectives. L'interaction de M. Masaru Emoto avec l'eau a mis en lumière le pouvoir ou la synergie des consciences dans la nature. Il paraît que ces consciences s'accouplent très bien lorsqu'il s'agit de fluides comme l'eau et la lumière. L'expérience des fentes de Young est aussi un témoignage d'intrication homme energie. La lumière employée pour cette expérience s'est donné en forme ondulatoire et corpusculaire suivant l'intention de M. Young.

 

Pourrions nous dire alors que l'intention est un genre d'empathie et qu'elle agit à niveau quantique sur les éléments constitutifs de la "matière". Est elle aussi solide que ce que nous croyons. Dans le film Matrix, lorsque Néo se trouve dans l'appartement de l'Oracle, il est devant un petit nombre d'enfants ou, un d'entre eux, tient une cuillère a la main.

 

 

Ce petit-enfant a pu intriquer sa pensée avec l'onde quantique qu'est la cuillère. Intention sur l'information corpusculaire ; altération des limites ontologiques pour être un avec l'autre. L'enfant dit a Néo: "ce n'est pas la cuillere qui se plie, mais ton reflet". Devrions nous penser que son reflet est son doublé, celui dont Garnier Malet parle dans sa theorie du dedoublement du temps. Nous faisons un lien avec une pensée scientifique qui nous avertit de son existence au delà du temps perceptible.

 

La Théorie du Dédoublement de l'Espace et du Temps

 

https://www.garnier-malet.com/dedoublement-espace-temps/

 

POURQUOI UN DÉDOUBLEMENT?

 

"Caractérisé par un mouvement, une curieuse vitesse et une équation universelle, le dédoublement de l'espace et du temps explique à la fois l'infiniment petit de nos particules, l'infiniment grand de l'univers... et nous, perdus sur une terre immense, planète d'un tout petit système solaire dont les dimensions nous semblent infinies.

 

Il nous suffit d'admettre qu'il puisse exister des temps imperceptibles, coincés entre deux temps perceptibles.

 

Le temps entre une question (un obstacle quelconque) et sa réponse (franchissement de l'obstacle) définit un temps d'adaptation pour une particule, qui utilise ce temps dans son espace défini et limité par son horizon. Une accélération de l'écoulement du temps dans un horizon imperceptible, dédoublé du premier horizon, permet à une particule, dédoublée de la particule initiale, évoluant de la même façon, d'obtenir la réponse avant la particule initiale.

 

L'accélération du temps peut être telle que la particule initiale « n'a pas le temps » d'utiliser un « instant » de son temps pendant que la particule dédoublée « a tout le temps » d'obtenir la réponse à sa question « dans ce même instant ». Cela nécessite la possibilité d'accélérer le temps tout en dédoublant la particule initiale dans des temps imperceptibles que j'ai appelés « ouvertures temporelles ».

 

Or le temps est observable et mesurable par le mouvement d'un espace par rapport à un autre. Il est de ce fait continu. Différencier le temps dans des « ouvertures temporelles » revient à différencier l'observation d'un mouvement, donc la perception de l'observateur lui-même, qui est à la fois horizon de particules et particule dans son horizon.

 

Le dédoublement implique un observateur dédoublé, évoluant dans les ouvertures temporelles de l'observateur initial. Du fait d'une différence de perception, l'observateur dédoublé évolue rapidement dans un temps accéléré qu'il considère comme normal.

 

Il ignore alors l'observateur initial puisqu'il ignore son temps d'évolution qui lui semble figé.

 

Il peut se considérer comme un observateur initial qui a son tour se dédouble. Un 3ème observateur répond donc aux questions du 2ème en se posant lui aussi d'autres questions.

 

Par des échanges d'information dans des « ouvertures temporelles » imperceptibles, le 1er observateur peut obtenir des réponses à des questions qu'il n'a pas eu le temps de se poser. Cela lui permet de connaître les réponses du 3ème avant le 2ème qu'il peut donc guider en lui suggérant de nouvelles questions qui modifient sa mémoire instantanément.

 

Autrement dit, le 2ème observateur évolue dans son présent. Il répond aux questions du 1er qui lui semble provenir du passé. Il se pose des questions auxquelles le 3ème répond à son tour. Ces réponses semblent être dans son futur. Par les échanges d'information instantanés dans les ouvertures temporelles, il est donc, en même temps, observateur dans trois temps différents : passé, présent, futur. La théorie du dédoublement donne une équation qui permet d'exprimer de façon rigoureuse le changement de perception entre deux observateurs dédoublés dans deux temps différents.

 

Cette équation est la base fondamentale de la théorie du dédoublement. Par un changement d'échelle d'espace et de temps, elle réunit l'infiniment grand d'un observateur initial et l'infiniment petit de l'observateur dédoublé".

 

Dans cette perspective ce qui est intéressant pour moi, c'est qu'il y a un lien entre notre horizon matériel et un aspect de nous que je peux définir comme notre moi quantique. Onde d'information qui nous constitue, mais qui reste dans sa qualité ondulatoire. Puisqu il est dans cette position, c'est à lui d'agir sur l'onde quantique de la cuillère pour l'intrication de l'intention. Ici, la conscience va jouer un rôle très important, si nous ne sommes pas conscients de cette possibilité de notre projection quantique, le lien ne se fait pas. De la, l'importance de se connaître ; d'accepter que nous sommes plus qu'un corps pour l'habiller et l'embellir. Savoir que nous sommes un ensemble de dimensions plus qu'une organisation d'organes. Qu elles sont là, en accord vraiment avec le flux informationnel du cosmos, fait qui pourrait enlever le pouvoir de la matrice sur nous.

 

 

Si les trois composantes matérielles eau, air et terre se côtoient pour former notre troisième densité, il y a une information très intéressante que les cassiopéens ont donné a laura Knight dans son projet des communications cassiopéennes. Ils ont dit que le climat est le résultat de l'incidence de la quatrième densité sur la troisième. Ici, je vais introduire le titre d'un film qui fait référence indirect a cette affirmation ; l'atlas des nuages (Cloud Atlas) des sueurs Lana et Andy Wachowski. Ce film est un atlas à lui-même. La, ou je fais le lien entre les cassiopéens et les Wachowski, c'est que les dernières donnent forme à l'affirmation des premiers. Si les nuages de nos cieux sont une limite entre des lignes temporelles (univers) alors le film l'illustre très bien, car il traite des lignes temporelles se déroulant en même temps, avec les mêmes êtres dans des espaces-temps alternes.

 

 

Nous ne pouvons pas accepter la spatialité comme définition des dimensions. L'espace est un saut entre des choses à définir ; la linéarité de la perception et du temps est pour beaucoup dans la nature de celui-ci. Si l'information ondulatoire (non-matérielle) s'étale dans l'espace en devenant corpusculaire, en le créant, alors celui-ci, est le support d'une apparence (apparaître) ou la perception est un stade. Pour le saut dont je parle, je vais utiliser un procédé des salles de cinéma. Lorsque la pellicule contenant les images roule en laissant la lumière la traverser, entre chaque image, il y a un vide. La succession d'images forment le mouvement sur l'écran et cela devient réel. Dans le cas de l'espace nous entourant, l'espace dans les images de la pellicule, est l'information nous arrivant dans une logique de conscience rétréci. C'est comme si ces petites doses de données étaient sur une pellicule aussi. Cette pellicule définit ainsi notre linéarité de la perception. La spatialité est un décor qui étale le peu d'information de façon a le rendre indétectable. L'illusion est là, c'est comme être dans une pièce de théâtre ou des miroirs sont placés pour faire semblant de multitude avec un seul acteur.

 

Vous vous souvenez de l'idée que nous faisons tous partie d'une seule âme plus grande. Ici pouvons nous trouver une explication à la nécessité de fabriquer l'illusion de l'espace. Découper une entité et séparer ses parties pour créer une histoire. Les Mayas avaient une manière de saluer : IN LAK'ECH (tu es mon autre moi.). Si celui qui est place devant nous est une autre instance de nous-mêmes, il faudrait que nous nous pencherons sur la question de savoir pourquoi. Si nous imaginons que la matrice est la prolongation de notre ego ; qu'elle communique entre les corps (vous, le voisin, le collègue, etc.) qui la constituent. Alors cela fait de nous des antennes de réception des donnée qui ne viennent pas de nous, mais vers nous. Ici on comprends mieux ce que dit Marielalero sur la conscience physique.

 

Conscience Physique

 

Marielalero

 

"Quelle fonction remplissent les quatre blocs dans la conscience physique de l'humain 3D?

 

-Centrez l'humain 3D dans sa vérité et sa conviction.

 

-Gardez l'énergie des souvenirs intacts où l'humain 3D est physiquement et vibrationnellement affaibli.

 

-Contrôler le gène de la lumière et l'encapsuler autant que possible afin qu'il ne remplisse sa fonction électrochimique que pour l'avatar 3D.

 

-Générer des problèmes de communication et de compréhension entre la même race humaine 3D.

 

-Dominez télépathiquement l'humain 3D.

 

-Ne lui permettez pas de penser par lui - même , d'exercer librement son contrôle sur son plan concret.

 

-Conserver intacts les tabous culturels de l'organigramme global.

 

-Reprogrammez-les pendant leur cycle holographique planétaire.

 

-Vibrationnellement sécuriser l'humain 3D dans les domaines dimensionnels de la 3D.

 

-Accédez-y physiquement ou par télépathie à votre condition humaine 3D.

 

-Scellez votre évolution génétique avec les races extraterrestres et hyperréales.

 

-Faites-lui croire que son évolution est basée sur ce qu'il apprécie comme une vie planétaire.

 

-L'éloigner complètement du développement de sa génétique légère dans son plan conscient.

 

-Prévenez vibratoirement cela à côté des plans subtils Lumière et connaissez la vraie réalité qui se trouve autour.

 

-Ne pas faciliter son amplitude de la conscience et en échange de la conserver dans une conscience physique limitée et objective".

 

L'ego n'est pas simplement une charge que nous devons supporter à l'intérieur de nous-mêmes; il se déploie extérieurement pour compléter son travail de zapping de notre véritable conscience. La société de consommation a été conçue spécialement pour lui, car plus son terrain est élargie plus les attaques sont nombreux. La base du fonctionnement de l'ego, c'est la frustration; cela est le saut de notre expérience de vie entre la conscience physique (ego) et ce qu'il combat, nous. Il faudrait arrêter de voir la matrice comme quelque chose d'externe a nous. Lorsque vous allumez la télé, vous créez un passage direct entre l'ego extérieur et le vôtre; ici, la matrice se lèche les babines. À l'extérieur, tout est fait pour vaincre votre pouvoir; le monde intellectuel, le débat, les différentes positions sur les évènements d'actualité, etc., tout cela est fait comme un complexe sportif pour que les sensibilités se sentent dans leur aise et ainsi expérimenter leurs accomplissements. Le système fabricant le réel à partir des médias (même pas à partir des vrais évènements), construit le tissu sur lequel les réflexions doivent porter. Ainsi, ce que j'appelle l'ego extérieur se construit et perpétue par les contradictions des uns et des autres qui sont censés être la pratique de la démocratie. Etant dans une méta-réalité comme celle en France, les vrais sujets d'importance, ceux qui vont continuer a modeler la société dans la violence, ne se discutent pas. C est pourquoi est une méta-réalité; en ce moment la loi bénéficie ceux qui ont des déviations qui vont contra la nature même des principes qui l'ont fondé comme nation.

 

Ce que cache l'immonde Loi Schiappa

 

Publié par wikistrike.com sur 10 Août 2018, 08:01am

 

Catégories : #Politique intérieure

 

Cette loi ne « légalise pas » la pédophilie !!! c'est bien plus pervers et dégueulasse: elle supprime la notion de discernement chez l'enfant de plus 5 ans, faisant de cet "enfant de 5 ans" et de l'adolescent un jeune responsable de ses actes.

 

C'est la fin de la justice des mineurs telle qu'elle existait depuis la 1ère guerre mondiale! À l'époque (en 1912) le parlement français ayant jugé utile de créer une justice des mineurs, était dans la foulée créée la fonction de Juge pour Enfants : Henri Rollet devenant le 1er magistrat pour enfants.

 

Vigoureusement opposé à la théorie du « criminel-né », de Lombroso, Henri Rollet inspira notamment deux lois :

 

-la loi du 24 juillet 1889 qui permet de séparer l'enfant de ses parents, lorsque ces derniers sont reconnus « indignes » ;

 

-la loi du 22 juillet 1912 qui fixe l'âge de la responsabilité pénale à treize ans et décide la création des tribunaux pour enfants.

 

Le travail d'Henri Rollet sera largement complété par l'Ordonnance de 1945 créant l'Education Surveillée (devenue Protection Judiciaire de la Jeunesse) comme partie intégrante du Ministère de la Justice, en en faisant une direction à part à l'intérieur de ce ministère au même titre que l'administration pénitentiaire, la magistrature, ...

 

13 ans donc, par cette loi de 1912, permet de définir l'âge de la responsabilité, donc l'âge de la capacité de "discernement" (pour ceux intéressés à une étude approfondie sur cette notion, voici un lien: https://www.prepa-isp.fr/wp-content/annales/5-commissaire/penal/2004.pdf ).

 

Le discernement, c'est la capacité à séparer le bien du mal, à conscientiser non seulement la gravité de ses propres actes mais aussi de ceux que les ont subis.

 

Tout le monde se souvient, j'espère, de cette phrase de Finkielkraut défendant son copain Roman Polanski, violeur et sodomiseur d'une gamine américaine de 13 ans et demi: "à 13 ans ce n'est plus une enfant". Effectivement, c'est choquant mais c'est un fait: à 13 ans passés elle était censée être en capacité de discerner, et donc de choisir.

 

Dites vous bien que désormais l'âge du discernement est "tombé" à 5 ans puisque l'enfant "victime" va devoir prouver qu'il était réellement victime et non pas consentant, complice, voire provocateur!!!

 

5 ANS ... dans certains pays une jeune fille est pré-mariée dès qu'elle a ses premières règles, mais 5 ans ...

 

Il ne reste plus qu'à supprimer la direction de la protection judiciaire de la jeunesse, étonnamment absente (écartée ?) dans ce débat sur la course en avant vers la reconnaissance de la pédophilie comme un acte normal, dès lors que l'enfant ne s'y oppose pas...

 

De fait nous pouvons désormais considérer que la « pédophilie » n'existe plus comme telle, il suffit désormais à Nordhal Lelandais de déclarer que la petite Maélys l'a provoqué, ce que ne manquera pas de défendre maitre Iakubovitch, pour que Lelandais soit « blanchi ». C'est immonde !!! C'est pour demain ...

 

Précision: je suis ancien directeur à la protection judiciaire de la jeunesse (23 ans d'expérience avec des victimes et des coupables) et je suis écoeuré par une telle remise en cause de toutes nos valeurs.

 

Gérard Luçon

 

Nous savons que les élites sont corrompues, car beaucoup de dossiers sur eux existent. Que la franc-maçonnerie est derrière les lois et toute l'impulsion donnée à la société française depuis les attentats du 07-01-2015. Cela se passe comme cela même avant la révolution française; l'année 1717, fut une date importante dans cette confrérie. À partir de là, toute élite a été infiltré pour nous donner le monde ou tenter contre l'innocence de nos enfants est voté dans les hémicycles. Qu elle, la meilleure preuve dont la démocratie est un leurre, les bavardages au parlement sont un "Ta gueule, t'a la chance déjà d'être là". Nous sommes à une période de l'histoire ou la rapacité de nos ennemis ne peut être combattue ni par les lois ni par des paroles, puis qu'ils les fabriquent pour se protéger de toute mise en cause. Le plan Attali fonctionne à merveille; on dit que son prochain président de la République française (une femme), serait Marion Maréchal. L'ingénierie sociale d'état prend son temps en attendant que Monsieur Micron fasse son travail de démolition.

 

Surfer sur la vague de l'actualité emploie tous les intellectuels a mouliner la matière première de la matrice. Du bla, bla de haute envergure pour créer le vent à faire pousser le voilier des oligarchies. Ils ont besoin que le mal ou l'injustice soit traité par des gens sensibles, mais qui sans les bénéfices de l statu quo, leurs existences se verraient menacés. Il en faut de tout pour faire un monde ; mais ce tout est bien choisit à l'insu des intéressés.

 

Miyoceleste, 2018-08-12