LE GRAND ISRAËL A L'Œuvre

D'après le dessein messianique d'Israël et ses complices, un pas de plus va être donné à l'assemblée pour égaliser les peuples en vu d imposer la nouvelle religion mondiale. Le mot RACE DOIT DISPARAÎTRE DE LA CONSTITUTION en France. 

 

28 juin 2018

 

La France est dans état lamentable, mais il est plus important de faire supprimer le mot "race" de la Constitution

 

https://echelledejacob.blogspot.com/2018/06/la-france-est-dans-etat-lamentable-mais.html

 

 

Réunis pour débattre du volet constitutionnel de la réforme des institutions, des députés de tous bords ont voté la modification de l'article 1er de notre norme suprême. Elle doit encore être adoptée en séance publique au palais Bourbon.

 

Les députés ont franchi une première étape dans la modification du texte de notre Constitution. Réunis en commission des lois, des élus de tous bords ont défendu ce mercredi la suppression du mot «race» - ainsi que l'inclusion du mot «sexe» - dans l'article 1er de la norme suprême. «La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction de sexe, d'origine ou de religion», lit la nouvelle version de l'alinéa adoptée à main levée.Cette nouvelle rédaction des premiers mots de la Constitution de 1958 doit encore être avalisée par un vote en séance publique, prévu pour le mois de juillet, lorsque sera débattu l'ensemble du projet de révision. Quoi qu'il en soit, il s'agit d'une réécriture conforme, sur le fond, à une promesse formulée par François Hollande durant sa campagne présidentielle de 2012, restée lettre morte malgré l'insistance du Parti socialiste durant le précédent quinquennat. Un point qu'a d'ailleurs souligné l'ancienne députée PS Delphine Batho durant les débats, affirmant que «cette suppression du mot "race", elle est attendue depuis plusieurs années (par qui ?), donc il n'y a plus d'hésitations à avoir».

 

«Supprimer le mot ne supprime pas le discours»

 

Des députés issus aussi bien de la majorité que de l'opposition ont déposé des amendements convergents à cet effet. À commencer par Hélène Vainqueur-Christophe, élue Nouvelle Gauche de Guadeloupe. «Ce terme utilisé pour signifier la différence entre les groupes humains s'attache à des caractères apparents, le plus souvent visibles. (...) Le concept biologique de race n'est pas opérant pour l'espèce humaine, comme le reconnaît l'ensemble des scientifiques», a-t-elle argumenté dans son propos liminaire.

 

La députée ultramarine a ensuite expliqué que «supprimer le support qu'est le mot» ne supprimerait «évidemment pas» le discours raciste, «mais la légitimité qu'il pourrait puiser dans la loi fondamentale». Dans son amendement, elle demande également à ce que le mot «origine», qui existait déjà dans la version de 1958, soit muni d'un pluriel. Cette modification-là n'a, pour l'heure, pas été votée.

 

Unanimité relative

 

De part et d'autre, les avis favorables à l'amendement se sont succédé. Après le plaidoyer enflammé du patron des députés communistes, André Chassaigne, ce fut au tour du rapporteur général du projet de loi de réforme constitutionnelle, Richard Ferrand. Lequel a salué les «combats» du PCF en la matière, citant notamment un rapport défendu en 2013 par l'ex-député martiniquais Alfred Marie-Jeanne. «Aujourd'hui, nous aboutissons à un consensus unanime pour se réapproprier cette idée qui nous paraît comme une évidence, c'est que ce mot "race" n'a plus à figurer à l'article 1er de notre Constitution», a déclaré le président du groupe La République en marche.

 

Du côté de l'UDI, Jean-Christophe Lagarde a évoqué le souvenir de la réforme constitutionnelle de 2008, qui n'a pas inclus de suppression du mot «race» en raison de la présence du terme dans de nombreuses dispositions du code pénal. «Je ne suis pas du tout pour qu'on attende encore 10 ans. Adoptons-le dans la Constitution, mais que tout le monde, et la majorité notamment, s'engage à faire disparaître ce mot de partout. (...) Il faut que ce boulot soit fait sur le reste de la loi», a-t-il prévenu. Plusieurs élus se sont immédiatement réjouis de cette adoption. «Je n'ai jamais été aussi fière d'être députée», a écrit sur Twitter la députée LaREM de Paris Laetitia Avia.

 

https://echelledejacob.blogspot.com/2018/06/race-definition-du-dictionnaire-de.html

 

RACE n. f. XVe siècle, rasse. Emprunté de l'italien razza, de même sens, lui-même probablement issu, par aphérèse, du latin generatio, « génération, reproduction ».

 

En parlant des êtres humains :

 

1. Lignée, ensemble des ascendants et descendants d'une même personne, d'une même famille. La race d'Abraham, de David. Il vient d'une race illustre, d'une race ancienne. Être de race noble, de race royale. Une race éteinte. Spécialt. HIST. Chacune des différentes familles royales qui ont tour à tour occupé le trône de France. La première race, les Mérovingiens. La deuxième race, la troisième race, les Carolingiens, les Capétiens. Loc. adj. Péj. Fin de race, se dit d'une personne qui, dans ses manières ou son apparence, donne une impression d'affaiblissement des caractères héréditaires. Litt. Pour désigner un ensemble de personnes descendant d'une même origine. La race humaine, la race mortelle, les hommes. Les races futures, les races à venir. Par anal. Catégorie particulière d'individus apparentés par des qualités, des inclinations, des habitudes communes. Il est de la race des grands conquérants, de la race des seigneurs. Souvent en mauvaise part. La race des pédants est insupportable. ÉCRITURE SAINTE. Race de vipères, expression par laquelle le Christ désigne les pharisiens dans l'Évangile de saint Matthieu.

 

2. Chacun des grands groupes entre lesquels on répartit superficiellement l'espèce humaine d'après les caractères physiques distinctifs qui se sont maintenus ou sont apparus chez les uns et les autres, du fait de leur isolement géographique pendant des périodes prolongées. Un homme de race noire, de race blanche, de race jaune. Le mélange, le métissage des races. S'emploie, abusivement, dans le sens d'Ethnie. Titres célèbres : Essai sur l'inégalité des races humaines, d'Arthur de Gobineau (1853) ; Race et histoire, de Claude Lévi-Strauss (1952).

 

"La race d'Abraham, de David. Il vient d'une race illustre, d'une race ancienne. Être de race noble, de race royale".

 

Il faut noter, que pour les plans des sionistes, seulement les peuples non juifs doivent s'adapter a leurs plans. Et comme le texte explicite, "La race d'Abraham, de David. Il vient d'une race illustre, d'une race ancienne. Être de race noble, de race royale". Il y aura donc des non-humains qui n appartiendront a aucune référence historique et la richesse de chaque conglomérat humain será effacé. Cela s'appelle un génocide culturel; les intellectuels français (parlement-assemblée) continuent a prendre le peuple par de cons. 0.001 est le pourcentage de la population juive en france. Dans les dernières élections a peu près 20 000 000 de citoyens ont voté et c'est le 0.001 qui bénéficie de décisions importantes. Un bon coup d'état commence a se faire nécessaire dans ce pays. Bon, vu l ampleur de l influence de sionistes en France et dans le monde, on peut se dire que cela ne résoudrait rien. Dan ce pays, la seule liberté d expresión, c'est l'obligation que des personnes inculpées(antisémitisme-révisionnisme) ont ou sont obligées de pratiquer parce que lá, ils sont obligés de dire la vérité. Mais , lorsque par soucis de comprendre, les gens non-conformes Font leur travail de recherche, la vérité ne sert plus. Je vous dis, les atrocités fait par les juifs sionistes pendant la deuxième guerre mondiale, doivent être cachés a jamais.

 

Maintenant vous savez vers ou se dirige votre pays, plusieures sources l'affirment. Une autre chose je voulais vous dire; ne cherchez pas des références historiques sur des faits graves qui puissent mettre en question l histoire officielle. Cela n'a pas surement écrit, et si l a ete, leurs auteurs effacés comme le systeme a l habitude. La boîte de pandore juive est ouverte; ils n'ont que la violence et le meurtre pour se défendre. Sacré peuple élu; la blague qui tue a duré très longtemps.

 

Bienvenue dans la nouvelle religion mondiale

26 NOVEMBRE 2015 

 

Tous ceux qui étudient la stratégie des sociétés secrètes, à commencer par la franc-maçonnerie, en vue d'établir un Nouvel Ordre Mondial, savent que celui-ci se bâtira à partir d'un gouvernement mondial, d'une monnaie mondiale et d'une religion mondiale.

 

Car il y a un plan. Un plan qui en réalité comporte deux parties : une partie profane et une partie secrète. La partie profane est celle que nous connaissons tous, elle est délibérément dévoilée par ces sociétés secrètes. L'aspect secret du plan correspond à la réalisation effective du programme, lequel peut paraître surprenant au premier abord.

 

Tout simplement parce qu'il semble, en apparence, ne pas correspondre exactement avec les objectifs dévoilés, mais aussi parce qu'on omet souvent d'en étudier l'aspect mystique.

 

C'est pourquoi le gouvernement mondial n'est pas encore chose faite ; mais l'ONU, organisation supra-nationale qui vient de fêter ses 70 ans, est déjà en quelque sorte une esquisse de ce gouvernement.

 

Il en va de même pour la monnaie mondiale : ce n'est pas le plus important ni le plus urgent ; elle viendra probablement en dernier, et attendant le dollar joue déjà ce rôle.

 

Reste la religion mondiale. Elle est essentielle car elle conditionne en réalité les deux premiers points. Si tous les hommes communient dans la même vénération, ils effaceront les barrières qui les séparent et se rapprocheront sur les thèmes qui les unissent.

 

Ils parviendront alors à une gouvernance globale.

 

La religion mondiale est la condition préalable à l'unité politique et économique.

 

Or pour la première fois au monde, nous assistons à une convergence globale et absolue de toute nation, de toute tribu, de tout peuple et de toute langue (Apoc. 7, 9) sur un seul thème : le climat.

 

Aussi incroyable que cela paraisse mais la préservation de la planète réunit un consensus global des Etats, des peuples et des religions.

 

L'aboutissement du mondialisme et l'unité mondiale se font là où ne l'attendait pas, et il faut admettre qu'il y a derrière cela une subtilité mystique qui nous laisse pantois.

 

Un mystère que nous allons ici décortiquer et surtout démasquer.

 

Une stratégie pourtant très simple, que le tribun Messala explique dans le film Ben-Hur : « Tu veux savoir comment on combat une idée ? Avec une autre idée. »

 

En l'occurrence, ici, le but de Satan est de se faire adorer en lieu et place du vrai Dieu, vieux rêve qui lui est récurrent.

 

Mais comment remplace-t-on le seul vrai Dieu, UN et TRINE, par un autre, ou par d'autres ?

 

Nous ne sommes plus dans le contexte de l'antiquité, où le diable avait multiplié les faux dieux, « des dieux d'or et d'argent, de bronze et de fer, de bois et de pierre » (Daniel 5) car entre-temps, il y a eu un fait majeur : la venue sur terre de Dieu le Fils, Jésus-Christ, venu enseigner les hommes et leur montrer le chemin du salut. Il confiera le soin à son Eglise de perpétuer cet enseignement et de dispenser aux hommes les grâces nécessaires, via les sacrements, pour résister aux tentations et combattre le péché.

 

Le christianisme est donc l'ennemi juré de Satan car il vient contrer directement ses œuvres.

 

Même s'il multiplie les fausses religions (islamisme, judaïsme, hindouisme, bouddhisme...), les persécutions (de Néron à la Chine communiste, l'histoire fut jalonnée en permanence de persécutions sanglantes) et tente de dévoyer par tous les moyens le christianisme (hérésies : arianisme, cathares, vaudois, protestantisme..., ou schismes : orthodoxes/catholiques), Satan n'a jamais réussi à stopper la progression de l'Eglise de Dieu.

 

C'est pourquoi l'étape ultime, la troisième guerre mondiale, est une guerre spirituelle.

 

Le communisme, pilier de la guerre spirituelle

 

La Sainte Vierge est venue plusieurs fois nous prévenir du danger, en le nommant (presque) clairement. Le 13 juillet 1917 à Fatima, au milieu des deux révolutions russes, elle avertissait que si on ne lui consacrait pas la Russie, celle-ci répandrait ses erreurs. Il est évident, surtout avec le recul, que le mot « Russie » désignait l'idéologie communiste qui allait prendre le pouvoir dans ce pays et s'en servir comme base centrale pour la propagation de son idéologie dans le monde entier.

 

Ceci fait écho à une première indication de la Sainte Vierge dans son message de la Salette :

 

« En l'année 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l'enfer : ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ».

 

Tout le programme est là : Marie nous donne la date de départ des tribulations (1864), leur principal objectif (abolir la foi) et une cible prioritaire : les prêtres, donc l'Eglise catholique.

 

Une fois en possession de cette information, il n'est pas très difficile de faire le lien avec un autre fait, le 28 septembre 1864 : création de la première Internationale à Londres !

 

Il y a là trois éléments majeurs dont il faut être conscient afin de bien distinguer notre période de toute autre :

 

L'objectif d'universalité du communisme

 

Il est curieux de constater que le communisme et le catholicisme partagent tous deux une mystique d'universalité. Le mot catholique veut dire universel, car il correspond aux directives du Christ, envoyant ses apôtres prêcher le monde entier. D'où l'universalité nécessaire de son Eglise. Nous observerons d'ailleurs que les émanations chrétiennes issues de schismes (Orthodoxes, anglicans) ou d'hérésies (protestantisme...) n'ont pas (ou peu) cette prétention universelle.

 

Il en va de même pour les autres religions. Chacune reste circonscrite à une région, un peuple ou une culture ; même l'Islam ne s'est développée qu'à coup de conquêtes faites par des musulmans, imposant par la force leur religion aux peuples conquis. Le phénomène du missionnaire allant convertir pacifiquement les populations du monde entier n'existe que dans l'Eglise catholique.

 

Or pour la première fois, un mouvement politique se veut universel : dès le début, les communistes ont des ambitions qui dépassent le cadre d'un pays ou même d'un continent, d'où l'essence même du mouvement : constituer une Internationale. On voit bien ici l'influence conjuguée de la franc-maçonnerie et de la Synagogue de Satan, qui ont toutes deux une vocation internationale et apatride.

 

Une mystique qui remplace une autre mystique

 

Derrière la prise du pouvoir par la violence (la révolution chère au communisme), il y a une idéologie puissante basée sur l'athéisme matérialiste. Georges Barbarin écrira en 1951 que « ce culte de la matière et du mental constitue une mystique nouvelle, sectaire et implacable. (...) Le communisme est une mystique réelle, avec une religion sans prêtres et une divinité sans autels. La foi dans le parti n'est pas, chez ces nouveaux croyants, relative mais absolue. On y adore les mystères sans pouvoir les discuter. Le communisme a ses saints et ses martyrs, il est essentiellement prosélytique. » (1)

 

La charité chrétienne est remplacée par un humanisme athée où l'homme occupe le centre et prend la place de Dieu. Le piège dans lequel est tombée l'Eglise catholique post-Vatican II sera d'adopter cette idéologie, et de passer elle aussi, progressivement, à la religion de l'homme.

 

L'universalité (réussie) du socialisme et sa fusion avec le capitalisme

 

Georges Barbarin, déjà cité, écrit en 1951 ( !) que « Staline et son entourage ont tout à gagner par des méthodes pacifiques (...) leur logique exigerait, pour la victoire définitive du communisme dans le monde, un demi-siècle de paix. » (2)

 

Eh bien c'est exactement ça !

 

Le socialisme, qui se considère comme un communisme modéré, s'est imposé dans le monde entier grâce à ces cinquante années de paix. L'Etat-providence, la démocratie, les droits de l'homme, les mœurs permissives et surtout le matérialisme athée, se sont étendus et imposés au monde entier, y compris dans les grandes puissances occidentales.

 

Aujourd'hui, nous constatons pour la première fois dans le monde à une réelle unification politique, économique et culturelle sous les traits du socialisme, du matérialisme et de l'humanisme athées, tous trois enfants du communisme.

 

Il s'agit tout simplement de la réalisation du plan, dont la stratégie nous est connue :

 

« L'analyse des écrits de Pike et de Lénine confirme que le mondialisme est la synthèse des sociétés capitaliste et communiste. » (3)

 

Cette universalité est sans précédent dans l'histoire du monde.

 

Elle est bien l'aboutissement d'un processus savamment et patiemment mis en place : il n'y a aucun hasard derrière un tel résultat mais bien une volonté secrète et implacable.

 

Gouvernement mondial et religion mondiale sont étroitement liés

 

Pour comprendre comment le plan a progressé, il est nécessaire de connaître les objectifs réels de l'élite mondiale.

 

Le texte ci-après est une bonne synthèse des buts poursuivis :

 

« Du 27 septembre au 1er octobre 1995, Mikhaël Gorbatchev organisa à San Francisco, Etats-Unis, un forum sur l'état du monde. La conférence avait pour but de lancer la transition vers un Nouvel Ordre Mondial, et elle réunit une impressionnante élite d'invités que Gorbatchev lui-même qualifia de citoyens du monde.

 

En effet, on pouvait relever la présence de 141 chefs d'Etats en fonction et plus de 59 anciens chefs d'Etat ou de gouvernement. Gorbatchev annonça aux éminents participants que cette réunion historique donnera le coup d'envoi à un processus de plusieurs années culminant en l'an 2000, lequel se propose d'articuler les priorités fondamentales, les valeurs et les actions nécessaires pour modeler d'une façon constructive notre futur commun. Il affirma ensuite que la convergence entre les pays de marché libre et les pays socialistes allait produire une nouvelle civilisation, un Nouvel Ordre Mondial. La quête d'un nouveau modèle pour le monde doit être une synthèse des choses qui unissent les peuples, les pays et les nations, plutôt que des choses qui les divisent.

 

La déclaration finale adoptée par la conférence se termine ainsi : nous sommes en train d'assister à la naissance de la première civilisation globale.

 

Dans cet état d'esprit, les personnalités qui se sont exprimées et qui sont appelées le conseil des sages ont fait deux propositions majeures : qu'une religion mondiale immanente remplace le christianisme, et que les souverainetés nationales soient abolies. S'agissant de cette religion mondiale, les élites qui se sont exprimées exigent un nouveau modèle de valeurs universelles immanentes. » (4)

 

A la lecture de ce document vieux de 20 ans, on constate aujourd'hui le chemin parcouru. Ce qui était caché se révèle maintenant : ce qui unit tous les peuples et les pays (unité politique et économique) dans une même vénération (unité religieuse), constituant de fait une nouvelle religion, c'est la défense de la terre à travers la lutte contre le réchauffement climatique.

 

Ils ont avancé à pas masqués mais bien réels. L'engagement politique doit trouver son accomplissement (son apothéose) à la conférence COP21, mais il est en réalité déjà réalisé.

 

Le 25 septembre 2015, plus de 144 chefs d'Etats, après le discours du pape à l'ONU (une bénédiction ?) ont signé très discrètement l'agenda 2030, c'est-à-dire un plan d'action pour un monde unifié.

 

Il s'agit bien d'accomplir concrètement ce qui avait été décidé lors de cette réunion avec Gorbatchev, car les objectifs (signés !) dépassent de loin la seule lutte contre les changements climatiques. Voici ce à quoi se sont engagés les dirigeants des trois quarts de la planète :

 

Fin de la pauvreté sous toutes ses formes et partout

 

La fin de la faim, assurer la sécurité alimentaire et l'amélioration de la nutrition, promouvoir l'agriculture durable

 

Assurer une vie saine et promouvoir le bien-être pour tous à tous les âges

 

Assurer une éducation de qualité, équitable pour tous, promouvoir les possibilités de formation continue pour tous

 

Assurer l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes et des filles

 

Assurer la disponibilité et la gestion durable de l'eau et de l'assainissement pour tous

 

Assurer l'accès à une énergie abordable, fiable, durable et moderne pour tous

 

Promouvoir une croissance économique durable pour tous, le plein emploi productif et un travail décent pour tous

 

Bâtir une infrastructure résiliente, promouvoir l'industrialisation durable pour tous et favoriser l'innovation

 

Réduire les inégalités dans et entre les pays

 

Assurer pour tous des villes et des colonies humaines, sûres, résilientes et durables

 

Assurer des modes de consommation et de production durables

 

Prendre des mesures urgentes pour lutter contre le changement climatique et ses impacts

 

Conserver et utiliser durablement les océans, les mers et les ressources marines pour le développement durable

 

Protéger, restaurer et promouvoir l'utilisation durable des écosystèmes terrestres, la gestion durable des forêts, la lutte contre la désertification, stopper et inverser la dégradation des terres et la perte de la biodiversité

 

Promouvoir des sociétés pacifiques pour tous pour un développement durable, fournir un accès à la justice pour tous et bâtir des institutions efficaces, responsables pour tous et à tous les niveaux

 

Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour un développement mondial.

 

Vous avez bien lu. Bienvenue dans le monde idéal. Tout est durable, il n'y a plus de pauvreté, de faim, d'inégalités, d'injustices, de pauvres, de chômeurs... un monde totalement irréaliste et utopique, et pourtant les dirigeants mondiaux se sont engagés sur ce texte !

 

Il ne s'agit pas d'un catalogue de bonnes intentions mais d'un engagement ferme.

 

Autrement dit : bienvenue dans le monde de Satan, celui des promesses irréalisables mais tellement alléchantes !

 

Seulement voilà, pour l'obtenir, il va falloir adorer Satan.

 

Ce sera l'objet de la COP21.

 

Car derrière cette unification politique, économique et culturelle, il y a une unification religieuse : la nouvelle religion mondiale, la religion de l'humanité.

 

Les nouveaux dieux

 

Si Satan avait ressorti Jupiter ou le veau d'or, l'homme du XXème siècle aurait rigolé ; il lui fallait quelque chose de plus malin et de plus pernicieux. Une religion sans prêtres, et des divinités sans autels sont bien plus efficaces tout en parvenant au même but : l'homme s'incline devant des dieux sans nom mais bien réels.

 

La clé de compréhension nous est donnée par ces mots prononcés par les deux derniers descendants de David devant l'empereur Vespasien :

 

« Le royaume du Christ n'est pas un empire terrestre comme les empires de ce monde. C'est un empire spirituel et divin qui doit durer jusqu'à la fin des siècles. Alors le Christ, apparaissant dans l'éclat de sa gloire, jugera les vivants et les morts et rendra à chacun selon ses œuvres. » (5)

 

Un empire spirituel... par analogie, Satan va construire lui aussi un empire spirituel, basé sur l'exact contraire du christianisme, en complément de son empire terrestre. Car s'il règne spirituellement dans les cœurs, il y supplante le Christ et prend sa place.

 

Effectivement, les hommes vivent aujourd'hui prosternés devant la religion de l'humanité, commune à la quasi-totalité de la planète, elle-même subdivisée en plusieurs divinités dont voici les principales :

 

1) La déesse de la paix, très sollicitée en ce moment. C'est oublier que la seule paix valable est celle qui vient du Dieu vivant et vrai, Notre-Seigneur Jésus Christ. Donc les hommes aujourd'hui invoquent le diable pour avoir la paix, et ils ne récoltent que haines, guerres, divisions rancoeurs, jalousies, égoïsmes... logique.

 

2) La déesse de l'amour. Très appréciée elle aussi. La déesse des plaisirs de la chair, du dérèglement sexuel, de la vénération du corps humain, de l'amour sans freins, de la concupiscence, de l'impudicité, de la pornographie, du divorce, des familles recomposées, de l'avortement. Très efficace pour détourner l'être humain de son devoir, détruire la famille et le sens moral.

 

3) Les dieux du stade. Le phénomène des dieux du stade n'est pas nouveau, notre société prétendument évoluée n'a rien à envier à celle du pain et des jeux de la Rome antique. On peut classer dans cette catégorie les dieux de la scène(chanteurs, acteurs... ne les appelle-t-on pas des stars ?) qui font rêver les jeunes générations plus sûrement que nos grands saints. A chaque époque ses héros et ses modèles.

 

4) Le veau d'or. La divinité la plus appréciée des grandes nations occidentales et probablement une des plus vénérées par les autres puisque tout le monde veut accéder à notre standard de vie, où tout est basé sur l'argent. Cupidité, appât du gain, recherche du confort matériel sous toutes ses formes, société de consommation, organisation du monde du travail uniquement basée sur le gain... l'argent pervertit tout, à commencer par les esprits.

 

5) La déesse de la fraternité. Très efficace celle-là : elle a permis de rallier les catholiques à l'humanisme athée, car ils confondent la déesse de la fraternité avec la charité chrétienne. La fraternité s'occupe des problèmes matériels uniquement, sans se préoccuper des âmes, tout en véhiculant une idéologie mondialiste mortifère. Un excellent moyen pour justifier l'invasion des pays riches par les migrants, leur soutirer de l'argent, les culpabiliser et les exploiter par le bénévolat. On reconnaissait facilement un hôpital catholique sous l'Ancien Régime : le bâtiment que l'on voit en premier, c'est l'église. Quels sont les cathos engagés dans l'action humanitaire qui se préoccupent des âmes aujourd'hui, en plus des corps ?

 

(Je garde les sixième et septième divinités pour la fin.)

 

Toutes ces divinités nécessitent des sacrifices de sang, de préférence de sang humain. Les hommes modernes du XXIème siècle, qui se considèrent comme hautement civilisés, tuent beaucoup pour l'argent, pour posséder des biens ou s'approprier des sous-sols riches. Ils n'hésitent pas à faire la guerre pour cela, ou à pousser au suicide les plus fragiles. Mais la palme des sacrifices humains revient sans conteste à la déesse de l'amour : les avortements représentent plus de 53 millions de morts par an dans le monde. On parle de barbarie pour 130 morts le 13 novembre, mais on oublie les 600 morts par jour en France, tous ces enfants sans défense victimes de l'avortement ; les barbares ne sont pas uniquement ceux qu'on croit...

 

Les nouveaux codes religieux

 

Ils n'ont pas d'autels mais une multiplicité de temples.

 

Ils ne s'inclinent pas devant ces divinités mais ils y tiennent comme à la prunelle de leurs yeux et ils ne peuvent s'en passer. D'ailleurs ils ont fait des lois pour empêcher qu'on puisse les contester (contraception, avortement, loi Gayssot...)

 

Ils leurs vouent un culte et ne s'en cachent pas (les dieux du stade, par exemple), d'ailleurs le vocabulaire utilisé est assez significatif (les mots aduler, adorer, culte, divin, star, idole... sont très employés).

 

Leurs modèles et leurs références sont issus de la Révolution française, guerre civile déicide et régicide, qui ne s'en est pas caché à l'époque... rappelez-vous le culte de la déesse raison.

 

Il s'agit donc bien d'une religion qui ne dit pas son nom et d'une multitude de dieux qui semblent ne pas avoir de nom et pour lesquels la population, presque inconsciemment, imite les codes religieux, chrétiens notamment :

 

- Elle a ses dix commandements : les droits de l'homme

 

- Elle a ses temples : Assemblée Nationale, Panthéon...

 

- Elle a son Vatican : l'ONU

 

- Elle a (presque) un nom : la laïcité

 

- Elle a son code moral : la morale laïque

 

- Elle a son système politique : la démocratie universelle

 

- Elle a son système économique : le mondialisme, synthèse du capitalisme et du socialisme

 

- Elle a ses processions : les marches blanches

 

- Elle a ses prêtres (innombrables)

 

- Elle a ses prières : recueillements républicains

 

- Elle honore ses morts : dépôt de gerbes de fleurs et petits lumignons (non pas dans les églises mais sur les lieux des décès)

 

- Elle a ses chants (la Marseillaise...)

 

- Elle a ses saints (les Charlie...)

 

- Elle a ses martyrs (victimes d'attentats...)

 

Les événements du 13 novembre sont significatifs à cet égard : à quelle divinité sacrifie-t-on en posant des petites bougies par milliers, en faisant des processions (pardon, des marches blanches) et en se recueillant puisque par définition ce n'est pas religieux mais républicain ?

 

Pourtant, la plupart des gestes et des objets ont une connotation religieuse.

 

Alors qui prie-t-on ?

 

La réponse est simple :

 

Dans le Traité du Saint-Esprit, Mgr Gaume rappelle l'enseignement de saint Augustin : il existe deux cités, la cité du bien et la cité du mal. Les hommes sont citoyens de l'une ou de l'autre cité. Il n'y a donc pas d'autre alternative que de choisir entre celle du Christ-Roi et celle de Satan.

 

Il est malheureux de constater que tous ces braves gens, sans le savoir, rendent ainsi un culte à Satan.

 

Cela veut dire aussi que cette nouvelle religion est mûre : les gens s'assemblent dorénavant spontanément et imitent des codes religieux inconsciemment tout simplement parce qu'ils expriment ainsi leur dévotion à une religion qui ne dit pas son nom mais qui existe bien réellement.

 

Le sixième dieu : l'homme qui s'est fait dieu : l'Antéchrist

 

Une des grandes subtilités du diable va être aussi de pousser l'homme à s'adorer, ou plus exactement à se considérer l'égal de Dieu.

 

Je m'explique : que l'homme ait l'ambition d'être l'égal de Dieu n'est pas une chose nouvelle ; déjà Rome divinisait ses empereurs. Et le serpent de la Genèse n'a-t-il pas soufflé à Eve « Vous serez comme des dieux » ? Mais cette fois-ci, et on reconnaît bien ici la spécificité de la période de l'Antéchrist, Satan va donner à l'homme le pouvoir de commander à la matière, chose qu'il n'avait jamais pu faire auparavant.

 

Nous notions tout à l'heure que la période globale de l'Antéchrist commence en 1864. Nous savons aussi que les derniers 100 ans (la période de pouvoir total donné à Satan) débutent en 1914. Or à partir de cette période, l'homme va accéder à une technologie qui lui permettra des progrès matériels inouïs : aviation, automobile, ferroviaire, spatial, énergie électrique, chimie, progrès médicaux (vaccins..), biologie, informatique... tout ceci n'existe que depuis une petite centaine d'années, et encore... l'accélération commence véritablement à partir de 1945.

 

Il faut être bien conscient que toutes ces découvertes technologiques ne sont pas naturelles et que l'homme n'était pas prêt, physiquement ni spirituellement, à affronter un tel bouleversement.

 

Pour la première fois, l'homme s'approprie le 666 c'est-à-dire qu'il se divinise réellement. D'où la révélation de l'Apocalypse : le chiffre de la bête (donc de l'Antéchrist) c'est l'homme divinisé : le 6, chiffre de l'homme (créé le 6ème jour) multiplié par la Trinité.

 

Voilà l'Antéchrist : l'homme-dieu.

 

Un mot au singulier pour désigner une collectivité, un état d'esprit, un type d'homme parvenu à la maîtrise technique absolue.

 

Alors en un siècle, l'homme va montrer qu'il est l'équivalent de Dieu.

 

Tout ce qui existe à l'état naturel sur la terre a été créé par Dieu, donc les lois naturelles qui en découlent sont des lois divines, réputées parfaites.

 

Si par l'observation scientifique ou philosophique l'homme n'en comprend pas le fonctionnement ou les finalités, elles n'en restent pas moins divines. S'il se permet de les modifier, il insulte son divin créateur puisqu'il va considérer que la loi naturelle comporte des imperfections. Cette révolte de l'homme contre Dieu est le signe d'un orgueil insensé qui refuse obéissance et confiance à son Créateur.

 

Poussés par le diable, enivré par ses nouvelles capacités techniques, certains hommes vont avoir l'outrecuidance de modifier les données de la terre pour en faire LEUR terre.

 

Ils ont :

 

Changé la durée (des milliards d'années alors qu'elle a 6000 ans)

 

Changé l'origine (le big bang pour remplacer Dieu)

 

Changé l'origine humaine (invention de la théorie de l'évolution et de la préhistoire)

 

Changé les données génétiques des plantes et des animaux pour les adapter à leur progrès et à leur vision de la nature

 

Changé les techniques agricoles

 

Aujourd'hui ils s'attaquent à l'ADN humain

 

Et ils font croire au final qu'ils ont changé le climat

 

La religion universelle trouve son accomplissement dans la reconnaissance du pouvoir de l'homme sur la création : les plantes, les bêtes, l'être humain et finalement le climat.

 

L'Eglise catholique, complice de l'Antéchrist

 

Comme Adam, l'homme pèche par le désir de devenir semblable à Dieu. Mais il ne put le faire qu'à partir du moment où le principal obstacle avait été écarté, selon la prophétie de saint Paul :

 

« Vous savez bien ce qui empêche la venue de l'homme d'iniquité. Déjà en effet le mystère d'iniquité est en action. Que seulement disparaisse celui qui fait obstacle présentement et alors se manifestera l'inique » (II Thess. 2, 6-8).

 

La plupart des exégètes et théologiens considèrent que l'Eglise catholique et le pape constituent l'obstacle en question.

 

Cette même Eglise s'apprête à ouvrir un Jubilé de la miséricorde pour commémorer les 50 ans du concile Vatican II.

 

Ce concile a fortement contribué à la mise en place de cette religion de l'humanité ; à partir du pape Jean XXIII et du concile Vatican II, non seulement l'Eglise ne combat plus le matérialisme athée issu du communisme, mais elle se fait le complice actif de la nouvelle religion mondiale.

 

En voici la preuve dans cet extrait du discours de clôture du concile par le pape Paul VI le 7 décembre 1965 :

 

« La religion du Dieu qui s'est fait homme s'est rencontrée avec la religion (car c'en est une) de l'homme qui s'est fait Dieu. (...)

 

Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : nous aussi, plus que quiconque, avons le culte de l'homme. »

 

L'ouvrage l'Eglise éclipsée ajoute :

 

« L'humanisme laïc et profane est incomplet parce qu'il se limite à éliminer Dieu, tandis que le nouvel humanisme est transcendant. Plutôt que de le nier, il substitue l'homme à Dieu et engendre par conséquent le culte de l'homme, véritable religion au dire de Paul VI lui-même.

 

(...)

 

Il résulte donc que cette religion de l'humanité, néo-moderniste, syncrétiste, universelle, conciliaire etc, qui est inspirée par l'Adversaire lui-même, n'est qu'une étape vers la religion luciférienne.

 

(...)

 

Tout le reste est trompe l'œil et manœuvre pour endormir et exploiter les tièdes, les lâches, les aveugles et même les bonnes volontés. L'affadissement n'est qu'une étape, le laxisme n'est qu'une étape, la protestantisation n'est qu'une étape, l'adoption de tous les principes et pratiques du monde (y compris toutes les immoralités) n'est et ne sera qu'une étape... vers la haine du monde, après la haine de Dieu, et le culte de Lucifer. » (6)

 

Ce texte datant de 1999 nous paraît clair aujourd'hui ; toutes ces étapes ont été franchies avec succès et nous sommes à l'aube du grand rassemblement qui doit proclamer le culte de Lucifer.

 

Le septième dieu : le climat

 

Nous arrivons au moment crucial de cet article. Que le lecteur comprenne bien : il s'agit d'un enjeu majeur.

 

La COP21 ne sera pas une énième conférence de plus sur le climat, ce sera la confirmation et la proclamation mondiale de la religion universelle.

 

Qui pouvait imaginer que la totalité des êtres humains allait communier dans la même ferveur, celle de l'homme-dieu commandant au climat c'est-à-dire aux éléments naturels ?

 

Qui pouvait imaginer que cette religion humaniste accoucherait d'une divinité suprême pour laquelle il y aurait un consensus total ?

 

Tous pays confondus. Toutes religions confondues. Toutes cultures confondues.

 

Tout le monde est agenouillé devant le dieu climat et la terre-mère Gaïa.

 

L'humanité réalise aujourd'hui ce que le rabbin Elie Benamozegh, un des principaux concepteurs de la religion noachique, prophétisait :

 

« A l'époque messianique, le monde spirituel verra se réaliser l'unité d'adoration ». (7)

 

Consensus politique mondial

 

Combien de pays y a-t-il dans le monde ?

 

197

 

Combien de pays se réunissent à Paris à la COP21 ?

 

195

 

Et encore, sur les deux manquants, l'un est le Vatican, qui a prouvé son adhésion au concept. Il y a donc un seul pays manquant, que je n'ai pas réussi à identifier.

 

C'est énorme ! Il n'y a jamais eu un tel consensus mondial.

 

Qui peut encore affirmer que nous n'avons pas de gouvernance mondiale ?

 

Que viendront faire 140 chefs d'états et de gouvernements à Paris le 30 novembre prochain ?

 

La totalité des pays sera réunie à Paris pour se mettre d'accord. Car la presse est claire, les humains sont préparés depuis longtemps :

 

« Les représentants des 195 pays présents à Paris seront au pied du mur. Ils doivent coûte que coûte trouver un compromis. » explique le quotidien Direct Matin, répétant ici ce que nous entendons depuis des semaines.

 

Propagande ? Non, enjeu.

 

Quel enjeu ? La reconnaissance de la nouvelle religion mondiale par la totalité des pays de la planète.

 

Quelle est cette religion ?

 

Celle de l'homme-dieu, le 666, l'Antéchrist.

 

En quoi consiste la religion du climat ?

 

Elle a pour but de réunir une trinité satanique bien cachée et pourtant bien réelle : l'homme-dieu, le dieu climat et la Mère, Gaïa.

 

Le dieu climat réside dans le dogme du réchauffement climatique conséquence de l'activité humaine. Les mêmes scientifiques qui théorisent des changements climatiques il y a des millions d'années (donc sans intervention humaine) vous affirment aujourd'hui que le dernier en date est dû à nos activités industrielles qui ont, rappelons-le, un petit siècle d'existence..

 

Le but ici est de donner une importance exagérée aux phénomènes climatiques et leur incidence sur la vie humaine, et surtout de les coupler avec l'autre dieu, l'homme.

 

Il poursuit également un autre objectif : sortir totalement l'idée même de Dieu du processus. Jusqu'à maintenant, les changements climatiques n'étaient pas le fait de l'homme, ils avaient donc une cause extérieure. Un croyant avancera comme explication une intervention surnaturelle, un scientifique athée le hasard ou autre chose.

 

Cette fois-ci le raisonnement change : l'homme a pris en main, involontairement semble-t-il, les destinées de la planète, c'est lui qui influe sur le climat et non plus Dieu ou le hasard.

 

Cette façon de raisonner est très particulière et mérite d'être soulignée ; elle révèle un incroyable orgueil de la part de la communauté scientifique, mais aussi une présomption des capacités humaines qui reste à prouver.

 

L'homme est-il parvenu réellement à acquérir un tel pouvoir, qui l'aurait mené à commander aux éléments ?

 

Serait-ce un écho aux paroles des disciples quand Jésus calma la tempête : « Qui est donc celui-ci pour que les vents et la mer lui obéissent ? » (Matthieu 8, 27).

 

L'Apocalypse dit que la bête fera des prodiges ; déjà, l'aviation, l'automobile, la télévision ou l'informatique sont des prodiges en soi. Mais l'homme qui commande au climat n'est-il pas le plus grand des prodiges ?

 

Voici une transition parfaite pour décrire le second dieu : l'homme.

 

Cette théorie sous-entend et même invente un nouvel homme si puissant que non seulement il commande aux éléments naturels, mais en plus il se considère capable d'influer sur eux.

 

Ceci est l'aboutissement d'un processus où l'homme se prend pour Dieu : il modifie déjà la loi naturelle par la génétique sur les plantes (OGM), les animaux et même les hommes.

 

Pourquoi ne commanderait-il pas au climat ?

 

Cette supériorité, l'homme l'affiche avec le fameux slogan : Objectif 2 degrés.

 

L'être humain s'est auto-persuadé qu'il était capable d'influer sur le climat afin de limiter la hausse du thermomètre mondial à 2°C par rapport à l'ère préindustrielle, sans remarquer le ridicule d'un tel postulat et surtout son incroyable outrecuidance !

 

D'où l'étonnement d'un certain nombre de scientifiques ou philosophes, muselés ou réduits au silence, qui ne comprennent pas la folie qui s'est emparée des hommes ni cette théorie bidon du réchauffement climatique.

 

Il leur manque l'explication religieuse : Satan ne va pas lâcher le morceau maintenant alors qu'il accède enfin à un consensus mondial historique qui va consacrer sa nouvelle trinité.

 

Car il y a une troisième divinité. Satan ressuscite une ancienne divinité païenne, Gaïa, la terre mère. Il a une revanche à prendre sur la Mère de Dieu, la très Sainte Vierge Marie. Pensez à la notion de mère, celle qui nourrit et qui aime. Il faut qu'il y ait une mère. Avec Gaïa, la terre nourricière, il tient son Dieu-Mère.

 

Mais il n'y a pas que ça. La basilique saint Pierre à Rome fut construite à l'emplacement même où saint Pierre fut supplicié. Or le tombeau de saint Pierre, qui se trouve au centre de la basilique, sous l'autel du pape, est à l'emplacement exact du trophée de Gaius ; du nom d'un romain connaissant les emplacements des tombeaux des saints Pierre et Paul, martyrisés en même temps sous Néron. Gaïa-Gaius, il y a une allusion volontaire à l'Eglise catholique dans les actions de Satan. L'Eglise d'ailleurs compare ces deux saints à deux colonnes. Il y a aussi le célèbre songe prophétique des deux colonnes de saint Jean Bosco.

 

On peut tout à fait voir une allusion à ces deux colonnes dans les tours du WTC à New York.

 

Consensus religieux mondial

 

Un autre aspect particulièrement significatif de l'avancement de cette nouvelle religion mondiale, c'est le consensus religieux autour du dieu climat.

 

L'Eglise catholique en première ligne

 

Ceux qui étudient les écrits des francs-maçons savent que ceux-ci souhaitent que l'Eglise catholique romaine soit le moteur de la nouvelle religion mondiale.

 

Justement. Il est très étrange de constater l'activisme des catholiques sur ce sujet. Non seulement l'Eglise accrédite la thèse du réchauffement climatique dû à l'activité humaine, mais elle incite directement à embrasser cette nouvelle religion puisque le pape parle lui-même de conversion écologique.

 

Il est tout de même étonnant que celui qui représente le Christ sur terre appelle à se convertir à autre chose qu'à un point de sa doctrine traditionnelle, issue de l'enseignement du Fils de Dieu, dois-je le rappeler.

 

Et ce n'est pas une formule en l'air puisque :

 

- Le pape a publié une encyclique sur le climat, Laudato Si ;

 

- Il a institué le 1er septembre dernier une journée mondiale de prière pour la protection de la création ( !) ;

 

- Il explique noir sur blanc que « la crise écologique nous appelle à une conversion spirituelle profonde : les chrétiens sont appelés à une conversion écologique » ; dans la bouche d'un pape ces propos sont ahurissants, ils le sont moins quand on connaît l'enjeu spirituel (satanique) qui est derrière ;

 

- Le 26 octobre l'Eglise catholique a lancé un appel sans précédent en faveur de la conclusion d'un traité lors de la conférence COP21.

 

- Les chrétiens sont invités à jeûner pour le climat (sic), à marcher pour le climat et même à faire des pèlerinages pour le climat !

 

- L'assemblée plénière des évêques de France réunis à Lourdes début novembre a défini trois thèmes majeurs pour l'Eglise de France : la famille, l'accueil des migrants et le climat !

 

Etc...

 

Un tel engagement s'explique difficilement sauf quand on sait que le pape François n'est autre que le faux prophète de l'Apocalypse.

 

Tous les acteurs sont réunis pour le show final, la bataille de l'Armagédon.

 

Mais aussi les autres religions, ce qui est une première

 

A côte de l'Eglise catholique, on assiste à une mobilisation des autres religions pour le climat qui en dit long sur le consensus mondial voulu. Citons :

 

- La journée des religions pour le climat, dont le pèlerinage climatique ( !), multi-confessionnel, s'achèvera le 28 novembre à Saint-Denis ;

 

- L'appel des musulmans de France à la prière pour le climat. Le 28 octobre, le CFCM a adopté une déclaration islamique sur le changement climatique mondial, et a appelé à la prière et à un prêche sur le climat dans les 2500 mosquées de France le 27 novembre ;

 

- Des marches pour le climat sont prévues dans de très nombreux pays aux alentours de la COP21, les samedi 28 et dimanche 29 novembre ; il s'agit ici d'initiatives de la religion laïque. Une fois de plus, l'équivalent de nos processions dans leur version païenne.

 

Etc...

 

Cette unité mondiale des gouvernants, des peuples et des religions est très significative de l'état d'avancement de la religion mondiale.

 

La COP 21 en sera l'apothéose.

 

Un calendrier très parlant

 

Satan ne faisant pas les choses au hasard, la grand-messe internationale de la COP21 est située à des dates-clés et à un endroit clé.

 

Les dates clés

 

La COP21 commence le 30 novembre et s'achève le 11 décembre. Elle dure donc 12 jours.

 

Commençons par la fin : le 11 est un des chiffres cabalistiques préférés de Satan.

 

La durée de 12 jours est une offense volontaire envers le Christ et son œuvre, puisqu'il était entouré de 12 apôtres et meurt à la 12ème station du chemin de croix.

 

Le 30 novembre est la saint André, autre apôtre emblématique du Christ.

 

Mais surtout, le 30 novembre 1969, qui était le premier dimanche de l'Avent, la nouvelle messe (dite de Paul VI) était étendue et rendue obligatoire dans toute l'Eglise universelle.

 

Cette date funeste est celle du début de la construction du temple satanique, le troisième temple, celui des cœurs dont nous avons parlé plus haut.

 

Il y aura donc 46 ans dans 4 jours. Seulement ce 46 n'est pas fortuit : c'est aussi la durée totale de construction du deuxième temple, celui de Zorobabel, agrandit par Hérode.

 

Souvenez-vous du dialogue quand Jésus chasse les marchands du temple :

 

« Jésus leur répondit : détruisez ce temple et en trois jours je le relèverai.

 

Les juifs dirent : il a fallu 46 ans pour construire ce temple et toi, en trois jours, tu le relèveras !

 

Mais il parlait du temple de son corps. » (Jean 2, 19-21)

 

Nous savons par saint Paul (et saint Jean) que le troisième temple est celui des cœurs, habités par le Saint-Esprit grâce au sacrement de l'Eucharistie. En s'attaquant à ce sacrement éminemment divin, en cherchant à bloquer l'accès des cœurs à la grâce, Satan a construit patiemment son temple dans les cœurs humains. Il est donc significatif de constater que les 46 ans de construction de ce temple coïncident avec l'ouverture d'une grand-messe de la religion satanique.

 

 

 

N'oubliez pas qu'un jour l'invisible deviendra visible, le mystique se révèlera au vulgaire.

 

 

 

L'endroit clé : Paris

 

La Fille aînée de l'Eglise fut le premier pays à se rebeller contre son roi et son Dieu par la Révolution française. Elle communiquera au monde entier le venin de ses idées puisque les Droits de l'homme sont français à l'origine.

 

Il est normal, logique et même prophétisé que les derniers événements majeurs se passent en France. C'est pourquoi, des trois villes représentant Babylone, Paris fut la dernière à être la cible d'attentats kamikazes, après New York et Londres.

 

C'est à Paris que revient l'honneur d'accueillir la COP21, au moment même où le troisième temple voit son aboutissement : la boucle est bouclée, retour à la case départ.

 

Un dernier mot : les deux événements majeurs sataniques de la fin de l'année seront réunis aux mêmes dates, et ce n'est pas un hasard. En effet, Paris avec la COP21 et Rome avec l'ouverture du Jubilé seront alignées toutes les deux le 8 décembre, jour de l'Immaculée Conception.

 

Nous reviendrons sur ce thème dans le prochain article.

 

Conclusion

 

Je pense que nous vivons en direct l'aboutissement d'un long processus de construction du Nouvel Ordre Mondial, concrétisé par une gouvernance mondiale et une religion mondiale qui sont désormais en place.

 

Je sais que beaucoup d'entre nous auraient préférés que ces derniers soient plus clairs, avec des contours plus nets et des acteurs plus facilement identifiables. Avouons que c'eût été un peu facile et que les hommes auraient pu se rendre compte de la supercherie.

 

Il fallait endormir les populations, les anesthésier et les manipuler avant de passer à la phase concrète.

 

Quand on analyse froidement ce qui est dit, signé et effectué, on ne peut qu'en conclure que tout ce qui avait été annoncé concernant le Nouvel Ordre Mondial a été fait et réalisé.

 

Qu'on le veuille ou non, Satan pourra lui aussi prononcer la phrase de sa vie dans quelques jours : « Tout est accompli. »

 

Que les hommes vivent en esclaves et ne s'en rendent pas compte, que leurs gouvernants engagent la totalité de la planète dans un programme délirant sans que cela ne choque personne, que les populations soient invitées à communier dans la même adoration d'un dieu luciférien, l'homme-dieu en l'occurrence et que cela leur semble normal, tout ceci n'exclut pas la marche inexorable du plan et sa réussite totale.

 

« Quand les hommes diront paix et sécurité, alors une destruction soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont pas. » (I Thess. 5, 3)

 

Nous y sommes. Tout est en place pour la bataille finale de l'Armagédon.

 

« Sortez de Babylone mon peuple, de peur que vous n'ayez part à ses péchés, et que vous soyez enveloppés dans ses plaies ; car ses péchés sont montés jusqu'au ciel et Dieu s'est souvenu de ses iniquités. » (Apoc. 18, 4-5)

 

C'est notre dernière chance, car le temps s'est arrêté.

 

Pour télécharger l'article en pdf, cliquez ici : Bienvenue dans la nouvelle religion mondiale

 

(1) (2) Georges Barbarin, Les derniers temps du monde (1951)

 

(3) (4) Extraits de L'Eglise éclipsée, ouvrage collectif des Amis du Christ-Roi, 1999

 

(5) Mgr Gaume, Biographies évangéliques, tome 1

 

 

(6) (7) Extraits de L'Eglise éclipsée, ouvrage collectif des Amis du Christ-Roi, 1999

 

Voici le genre de personne qui est à l'oeuvre pour notre destin programmé. Les élus LREM sont nécessairement au courant; ils savent que Macron roule pour Israël et les hyènes sont très dangereuse. 

 

Miyoceleste, 2018-06-28