MON JESUS Á MOI.

 

Je suis né en orient. Mes jours d'enfance ont étés mouvementés. Mes frères et moi avons appris á la dure. Nos vies étaient remplis de difficultés. Nous sommes grandis ensemble. Nous étions fort ainsi; pouvant donc affronter cette époque trouble. Des l'enfance nous avons compris beaucoup de choses, dont la plupart de gens , étaient insensibles. Cette compréhension nous Valais le refus. 

 

D autres personnes nous prenaient pour des fous, et quelques unes nous écoutaient. Notre mère, ne comprenais pas le pourquoi de notre nature. Avec le temps, elle a appris á nous écouter et c est ainsi qu elle s est mise au diapason. De tous ces enfants, c'était moi qui lui posais le plus de problèmes. Elle disait qu autour de moi, c'était comme si les mystères du monde, tournoyaient, faisant un tourbillon autour de ma tête. Elle était belle, intelligente et amoureuse. Elle se battait pour nous garder en forme, malgré notre différence. Nous avons appris beaucoup de choses a faire pour aider notre mère et puis être autonomes. Nos secret nous les partagions et, c est ainsi que des toutes nos expériences individuelles, nous avons fait une science. Mais c est moi qui mettais tout cela en ordre. 

 

Les idées et connaissances qui apparurent dans mon esprit, a certains moments de la journée, j ai finis par les digérer. Du monde j'avais deux versions. Celle qui apparaissait devant mes yeux; et puis, celle qui apparaissait dans mon esprit. En mettant les deux ensemble le trouble remplissait mon être. Des fois une colère montait en moi. Le monde si beau et varié, fait pour de vies de misère et des interdits. Il fallait gagner nos vies, nous disaient. Pourquoi payer pour quelque chose que nous n'avons pas demandé. Pourquoi est si naturel naître et si difficile vivre? A qui payons nous cette existence? Et malgré le prix que nous payons pour y être, le bonheur et la paix n est jamais là. 

 

Nos questions étaient comme la paille balancée sur le feu. Nos points de vue sur les choses, dérangeaient beaucoup de personnes, surtout celles qui représentaient l autorité. A cause de cela, nous devions déménager constamment. Avec le temps, les autres ont commencé á nous connaître par nos connaissances variées. Une fois c'était une maisonnette en bois et paille. Autre fois c'était une construction en pierre. J'avais appris a reconnaître les bonnes choses qui venaient de la terre cela permettais aux personnes et animaux de se sentent mieux la ou ils vont se sédentariser. Il y avais de moments ou nous rencontrions de personnes nous ressemblent. Les sites où nous construisions des ouvrages étaient propices á cela. Là, nous partageâmes ensemble nos expériences. 

 

J'étais sûre que, les bonnes choses venant de la terre bien choisie, était la cause. L'ouvrage reprend les bonnes énergies et les gardais. Par la suite, d'autres personnes venaient et s intéressaient á ce que l on avais á dire. Des endroits comme cela nous avons finis par laisser plusieurs. Et ça a fait de nous des hommes avec une certaine renommé. Avec le temps nous dûmes des bâtisseurs; étant moi le chef. L'effet que nos ouvrages empreignant chez les autres, n'étais pas de la bonne volonté des puissants. Ils préférâmes, les temples ou les idées archaïques définissent le comportement des autres. Nous devenimes pas aptes á être ni écoutés ni suivis dans nos enseignements. Nous dûmes partir; et très loin. Nous sommes partis vers l ouest. 

A cette époque, je rencontrais de personnes dans un espèce de rêve éveillé. Mes frères ne voyant pas cela, j ai du leurs en expliquer. Au début j'ai attribue cela a mon monde intérieur. A tout ce qui se passait dedans. Mais avec les rencontres que nous faisions, je me suis rendu compte que d'autres personnes expérimentait les mêmes phénomènes. C est ainsi que j ai su des gens dans des pays lointains, car eux se présentaient dans cet espace personnel. Et puis, j'ai convaincu mes frères et d autres personnes qui nous accompagnaient, de partir rencontrer ces gens et ainsi parcourir du chemin. Dans la traversée, nous avons rencontré des gens très différents. Mes rencontres intérieures continuent d'avoir lieu. J ai appris á saisir des événements futurs, qui marquaient d une certain façon ma progression vers ces gens que je devais trouver ailleurs. 

 

Notre mère était toujours avec nous. Elle s'occupait de nos affaires toujours dans la bonté et la bonne humeur. Le voyage était un peu dure pour elle, car dans notre progression, nous faisons de grandes distances. Le moment de traverser la mer est venu. Nous avons rencontré des personnes qui connaissaient l'endroit que j'avais vu dans mes expériences. Nous devions passer d une rive à l'autre, changeant de continent pour arriver á la nouvelle terre. Avant de quitter la terre qui nous vu naître, j ai eu une pensé pour des personnes avec qui je m'étais lié. L autre coté étais verdoyant. La mer bleue indigo mettait en lambeau les pierres qui contenaient des extensions énormes de prairies. Nous apprîmes á nous adapter á la nouvelle vie. Conte tenue de notre ressemblance aux autochtones, qui étaient tous fils et filles de cette mère caressante qui est la méditerranée. 

 

Nos connaissances ont fait beaucoup pour nous. Les pays où nous étions arrivés comportait une grande quantité d ouvrage en pierre. Nous avons été engagés pour bâtir tout type de construction. C'est l'ensemble de celles ci qui ont marquée notre passage dans ces belles terres remplis de Pics, vallées et collines. Le moment de la rencontrer était déjà là. Elle s était présente maintes fois depuis que j ai appris á maîtriser ce don. J avais la quarantenaire et je suppose qu elle aussi. Elle était de peau blanche, chevelure foncée. Mesurait environs un mètre soixante dix. Son nom était Madeleine. Sa vie avait été un peu comme la nôtre. Le besoin de passer inaperçue était vitale á notre époque. Ses expériences et dons presque personne ne les connaissait. Elle s est intégrée très rapidement á notre groupe. Ma mère et elle sont devenue comme mère et fille. Marie et Madeleine, les deux femmes de ma vie. Avec le temps, toujours en restant en contact avec des gens qui partageaient nos contacts, j'ai su que les femmes avec lesquelles je matais lié, des enfants étaient nés. Je les visitais de temps en temps. 

Notre second nature facilitais cela. Madeleine s occupais avec ma mère des activités culinaires pendant que nous bâtissons.

 

Nous devînmes une grande famille de constructeurs et, en honorant nos responsabilités, nous sommes partis plus au nord, vers une contré appelée Lutèce. A cet endroit nous avons participé aussi au dressement de bâtisses. Notre mère entrée dans un âge plus que respectable, finit par nous quitter. Nous l'avons enterrée á un endroit fait par la rivière qui traversait le coin. Cet endroit était comme une ile, car la rivière se scindait en deux, et puis après, elle reprenait un seul chemin. Nous avons trouvé un endroit avec de la belle énergie. J ai fais de mon mieux pour lui construire une tombe digne de l'amour que nous partageâmes . Sa dépouille est donc á l abri des pluies, des vents, et des bestioles, sous des pierres dressés avec toutes les exigences requises. Nous avons décidé de quitter ce bel endroit ou nous avons séjourné quelques années. Le chagrin du décès de notre mère marqua notre départ qui suivais toujours vers le nord. Nous apprîmes que la route nous mènerait vers une autre mer. 

 

En attendant le temps nécessaire pour y parvenir, prenant en compte de subvenir á nos responsabilités des parents. Avant le décès de notre mer, Madeleine et moi avons eu des enfants. Lorsqu'ils ont eu l âge de pouvoir voyager, nous primes la route tout en nous arrêtant pour faire notre travaille de bâtisseurs. Au moment de traverser la mer, nos progénitures étaient forts, vaillants. Prêts pour suivre le métier de leur père. Depuis pas mal de temps, j ai intégré dans ma vie la jonction avec le Maître. Dans les terres où j ai vécu, des idées fausses étaient répandus á son sujet. Des fausses croyances rythment le comportement de tous. Les gens se sentaient fautifs dans la vie de tous les jours. Leurs miséré n'arrangeait pas les choses. Mes enseignements, qui n'étaient pas facile á faire comprendre, les gens les comparent avec leur foi dans leur dieu qui n'était pas calme. Ils ne comprenais pas l amour de lui et la vie qu ils devaient supporter. 

 

L'essentiel de mon travail, c'était de leur faire comprendre que, le Maître de tout, avait été mis loin de nous; si loin que, même en étant ici, sa voix se perdait dans le clameurs de nos peurs. Je leur disais que la vrais vie se manifestait dans ce dont nous ne nous attendions pas. L'imprévisible est la marque du grand Maître. Il nous donne ce dont nous avons besoin et pas ce que nous voulons. C est ainsi que sa grande création a été faite. C est ça le vrais lien qui nous unisse á lui. Je expliquais que ce monde était fait de mensonges; qu elles étaient mortelles pour beaucoup. Mais que sa compagnie, même dans le désespoir, nous guidait dans tous les chemins. Son pouvoir permettait que le monde prenne le chemin qui nous unit a lui, malgré le contraire que le monde montrais. Dans certains cœurs il y a de la patience, de la forcé, de la détermination; c est un trésor qui s'ouvre seulement quand c'est nécessaire. Et il est là; ça c est LUI. Nous traversâmes la mer tumultueuse dans un bateau moyen. Nous étions plusieurs, car nos compagnons prirent le voyage avec nous. Nous nous préparions a rencontrer des gens différents de nous á cause de la latitude et la séparation d'avec la mer. 

 

Avec nous il y avais quelqu'un de la bas ; c'est lui qui nous informait de coutumes locales. Le climat était rude et la lumière du jour se cachait derrière des nuages très persistantes. Cela ressemble a l automne de la terre que venions de quitter vers le mois de septembre. Nos enfants étaient âgés maintenant de 14 ans environs. Notre amis du nord nous a donné les éléments de base pour nous accuotumér facilement. Au début nous avons aidé construire de bateaux en bois. C'était plus facile de montrer nos habilités. Ainsi, les gens nous ont fréquenté et cela nous avais fait de amis. C'était de gens très robustes, aimables et fières de ce qu elles étaient. Nous tous, avec le temps, apprîmes á respecter ces gens. La langue, très différente de ce que nous avions écouté dans le continent, était d abord du métier. Quelque temps après, des occasions nous ont permis de montrer notre vrais travail. Le matériel était différent et les techniques aussi. Nous nous sommes mis très vite car la labeur pour nous était sujet d'apprentissage, notre plaisir. Avec Madeleine nous regardions comme nos enfants évoluent. 

 

La fille ressemblait a sa mere, et l garçon aussi mais avec la peau un peu matte, comme moi. Lorsque notre travail a été reconnu, nous partîmes vers l est. L'Écosse nous a attiré car babas il y avait des construction en bois de tout genre. C'était intéressant car, de grandes bâtisses, nous n avions jamais construit. A cette époque nous rentrions dans la moitié de la quarantaine. Notre fille et garçon étaient autonomes et se chargeaient de taches difficiles. Des belles bâtisses se faisaient ici. L'accent des gens différait un peu de celui d'avant. Il y avait aussi d'autres façons de parler que nous ne comprenons pas. Le moment est arrivé de laisser le travail a nos enfants. J ai eu la proposition d aller a la rencontre d'autres gens très loin de cette île. On m'avait parlé de peuples et cultures que les anciens, dans leurs voyages lointains, connaissaient. J ai mis ma famille et compagnons au courant et je me suis mis a préparer le voyage. Un de mes frères allait venir avec moi. Dans le bateau nous étions presque une vingtaine. Les plus dissemblable c'était mon frère et moi. Les autres, grands gaillards, étaient faits pour la mer. 

 

Les vents étaient forts et, quand le danger des houles remués par le grand vent cessait, le voyage était beau. Tant de montagnes d eau. Du bleu qui reflétait le ciel et faisait un avec lui. La nuit froide dans le noir, le regard posé sur les points de lumière qui nous orientaient ver l inconnu. Cet espace, entre nos vies d'avant et le maintenant, qui se projette dans le lointain des terres sauvages, faisait croître en moi des pensés nouvelles. Irais je retrouver mes enfants ? Ma belle madeleine supporterais l attente inconnue ?. La lumière changeait avec les jours passés. Mes compagnons me disaient que nous descendons ver d'autres latitudes et que le soleil était plus généreux. La mer était devenu plus calme et des oiseaux que j'avais jamais vu dessinaient des pirouettes de vent sur nos tètes. L air avais aussi une odeur différente. C'était comme des saveurs que nous dégustions avec nos narines. Mon frère me regardais de temps en temps avec un air de tristesse. 

 

Lui aussi avis quitté sa famille pour l'accompagner dans le voyage. Nous étions très similaires. Mais j étais plus têtu, résolu, et intrépide. Ça me venais de mon Mètre ; Une fois fait connexion avec lui, le monde étais á nous. L arrivé s est fait dans un soleil splendide. Nous sommes arrivés á un endroit peuplée par quelque personnes dans de constructions en bois. On voyait qu ils étaient de la même culture des gens du bateau. Des personnes d allure différente accompagnaient l accueil. Ils étaient beaux, grands, avec des corps qui faisaient penser a des arbres. Leurs langage différent de tout ce que j ai pu entendre jusqu'à  maintenant. Mais leurs pensé étais riche pour pouvoir communiquer avec les autres. Quelque temps après je saurais qu ils avais plus en commun avec moi que les gens d Europe. Nous dormimes un sommeil de plomb. Le bruit du dehors venaient a notre rencontre avec parcimonie. On dirais que nos oreilles les attirait comme avec une flûte magique. L odeur de nourriture força nos corps avides de déguster des arômes si inconnus. Du poisson cuit sur de branches sèches. 

 

Nous avions l'habitude avec mon frère du poisson car de temps en temps nous allions pêcher sur la cote en Écosse mais

l'intensité était autre chose. La mère en face de nous servait de fond pour que nous dessinions nos souvenir d Écosse. Que des changements remplis d humanité. Le cœur des hommes, des huttes faites d'amour et de partage. Les hommes du nouvel endroit nous invitèrent a partager leurs vies et leurs coutumes. Ils nous ont proposé de les accompagner chez eux. Plus loin, ou l influence des amis ultramarins ne se voyais plus. Je suis parti avec mon frère et un écossé. Le cheval était notre mode de transport. En Europe il servait pour le travail et pour ceux qui avaient les moyens. Nous parcouru mes des endroits magnifiques. La nature s'était donné beaucoup de mal pour agencer des variantes si tourmentées. Les couleurs démontrent une avidité pour se positionner aux endroits les plus inattendus. 

 

C'était comme des vagues de lumière amenant du confettis désoccupé de le début du monde. Tout étais si originel ! Le ciel, plein de nuages grises, s'étalait au dessus de nous ; comme si on avait inversé le sol et tout le paysage, et on l'avait converti en montagnes de vapeur, avec des pics qui étaient si grands qui grattaient presque nos têtes. Les arcs en ciel qui encadraient l horizon, séparaient des espaces de lumière et de pluie au lointain. Ces cieux étaient plus grandes que la mère que nous venions de traverser, ils étaient aussi plus mystérieux. Nous sommes arrivés á une vallée très verdoyante. De loin nous aperçûmes des constructions très simples et positionnées avec un ordre dont, après, je comprendrais le but. Les gens qui nous ont accueilli, avaient l'habitude de ce type de visite. Mais ils ne s attendaient pas á des gens d une langue autre que l anglaise. Notre français leur chantait à l'oreille ; La leurs nous faisait penser aux noms des choses qui étaient pour être inventées. Leurs vie était simple ; entre eux et l'extérieur il n ' y avais presque pas de différence. La nature était pour eux une projection de leurs espaces intérieur. Leurs vie était remplie de moments de magie. Le pourquoi étais pour eux une notion abstraite. Les choses convergent parce que elles n'étaient pas séparées. Entre le ciel et la terre étaient eux pour être des témoins du miracle de la création. 

 

Les esprits de leurs ancêtres, pour eux n'était pas de morts. Ils étaient partis pour céder leurs places aux nouveaux. Mais ils étaient là, tout prés, pour veiller á ce que leurs esprits respectent l'harmonie du créée. Là, j ai trouvé un espace pour leurs parler du grand Maître. L esprit de lumière qui allume sa flamme dans les mains de chaque un. Sans faire du vent, sans brûler les gestes, pour être là ou le monde s'agrandit dans l amour. Mes paroles devinrent comme les leurs. Comme deux eaux limpides qui n'étaient séparés que par la pluie. Les deux en attente, tourbillonnantes, prêtes a remplir l océan commun a nous tous. Nous primes un voyage accompagnés de deux autochtones. Les provisions étaient importantes car le chemin a parcourir serais long. Notre chemin était cette fois ci sur du terrain plat. Les hommes nous disaient que d autres ethnies traversaient les mêmes endroits ou nous allions. Avec le temps, les différents peuples avaient adopté des règles de comportement de façon á ne pas se gêner les unes aux autres. Ainsi, ils pouvaient partager en paix, les objets qu ils produisaient. 

 

Les prises de la chasse, les techniques de fabrication, les histoires magiques, etc. Les apports des un et des autres avaient permis de comprendre mieux la vie et le monde surnaturel. Des grottes ornées avec des dessins variés, se trouvaient un peu partout sur les terres communes. Des histoires sur des êtres d'autres contrés circulaient entre ces peuples. Selon eux ils étaient entre nous, mais sur de lieux non perceptibles en état de veille. Des personnes dans les tribus pouvaient les fréquenter dans leurs espaces intérieurs à l'aide des rituels, musique, chants ou simplement dans des endroits propices a cela. C'était de lieux ou le terre respirais des énergies de guérison, qui apaisait les chevaux et des êtres de lumière paraissaient. Ces endroits étaient marqués depuis le début par des pierres, de fois transportées dans des longues distances. C'était des endroits de rendez vous, comme les cavernes, certains ruisseaux et monticules. C'était les grottes les endroits les plus secrets. Seule les grandes esprits pouvaient les visiter. Dans le noir de ces endroits la fine couche du visible se diluait permettant des rencontres se faire. Pour remercier cela, les grands esprits dessinaient des motifs d animaux qui rappelaient ces moments de partage entre consciences. Les mains peintes sur les parois indiquent que les esprits de l autre coté étaient comme nous. 

 

La main était le signe du contact. Avec mon frère, nous regardions tout ça avec des yeux émerveillés. Nous qui avions nos secrets qui pouvions être tués a cause de ce que predominan en Europe. Ici, le culte n assombrissait pas la vie des gens. Personne n imposait nullement rien. Nous avons eu l invitation d aller en voir une. Nos similitudes dans la façon de voir le merveilleux nous y a ouvert l accès. Au début l'espace était restreint ; nous dûmes forcer nos corps pour passer a un espace plus aisé. Quand nous étions arrivés, les torches commencèrent a montrer des choses qui ondulaient avec les jeux des flammes. Cela a émerveillé mon esprit. Mon frère me regardait avec des larmes aux yeux. Les hommes qui nous accompagnaient avaient dans leurs visages un respect jamais vu. Maintenant je comprends le choix que le vieillard de la peuplade avait fait pour nous emmener en promenade. 

 

C'était de gens qui participaient a ces rencontres avec l univers. Ils racontèrent que tout commençait dans le noir, des mains se posaient délicatement sur les leurs ; une fois la tranquillité les arrivais, ils se rendaient visibles. C'était tout de gens qui communiquent sans se parler. Le langage parlé étais pour l'espace extérieur. Des fois ça se pratiquait entre des personnes qui l'avais appris par leurs alleux. Ils disaient que autre fois c étais cette façon qui était utilisé. Nous sortîmes au bout de quelque temps. Nous savions que en Europe des endroits comme cela existaient aussi. Mais la suspicion empêchait d approcher le sujet. Le chemin de retour ne s est pas fait par les mêmes contrés. Nous allâmes encore plus loin ; sur des terres d autres clans. Nous dîmes adieu a cet endroits magnifique et mimes nos pensés sur d autres horizons ; moi j'ai repensé a Madeleine, ma douce compagne. Le ciel était toujours enorme ; tout paraissait comme si l'on avait ouvert une brèche, quelque part, par où se filtrais l immensité sans arrêt. Avec l'expérience que nous venions de vivre, j ai compris mon Maître, lorsqu'il me disais que l imprévu est la source des meilleures connaissances. Nos compagnons de route comprirent que nous aussi n avions pas besoin du parler pour communiquer. 

 

Au début, pour interpeller un d eux, on le regardais et puis, le flux d'idées se déclencherait. Pas de français ni de leurs gesticulations. C'était limpide comme de l eau. Leurs monde intérieur était très riche ; il n y avait pas que des idées. On pouvait percevoir leurs amour pour le tout sans distinction entre ceci ou cela. Lorsqu ils pensaient a une pierre, par exemple, d elle émanait une conscience, une émotion, quelque chose que les humains ne pouvons pas comprendre. Le défilé des concepts dans leurs esprits, étais comme une mélodie qui se mettait a sonner. Une second d une pensée a eux étais tourbillonnante ; comme glisser à l'intérieur d une cascade souterraine, humide comme le ventre d une mere. Ils ont pu voir dans mon esprit l'immense amour qui m habitait. Pas de penchement pour ça ou là, mais sa lumière, son énergie qui faisait flotter tout dans une calme indicible. Au bout de quelques heures, nous croiss âmes d'autres gens qui chassaient. Avec un mouvement des mains nous avons salué et puis continuâmes notre chemin. 

 

Le peuple ou étions arrivés s appelaient Delaware ; Leurs territoire était encadré par deux étendus d'eau qui communiquaient avec la mer. Pour continuer notre route nous devions contourner un de ces étendus. Nous avions entre trois et quatre jours pour arriver a destination. Durant tout le voyage nous avions l'eau á notre gauche qui bougeait au rythme des marées. Le vent de la mer était fort ; a des moment il nous poussait sur nos beaux chevaux ; d autres fois nous devions nous arrêter tellement cela fatiguait les animaux. Des tribus qui pêchaient nous traquaient du poisson. Avec d autres c est des fruits. La végétation changeais aussi avec notre mouvement car le climat était plus doux. La nuit était fraîche et le ciel paraissait une robe pliée, obscure et tranquille, avec des perles concentrées au milieu d elle. Nous quatre nous mettions autour d un feu, qui brûlait ses hivers, ses automnes, ses heures passées a voir le vent et sentir la pluie; dans sa lumière. L'endroit de destination, se dirigeais vers les terres. Là, nous primes vers l'ouest, laissant derrière nous, cette eau magnifique ; qu'avec son mouvement, nous rappelle les vagues d écume, horizons de nos amours. Depuis que nous avons contourné l étendu, nous étions dans les terres des Nanticok. Le respect continuais a nous rendre notre chemin sans encombres. Je pense que ce type de voyage devait se faire comme un rituelle de toutes les ethnies et, de ce fait, les choses se passaient dans l harmonie. 

 

Plus près de l'endroit, d'autres gens nous ont rejointes. Nous étions alors une pérégrination des plusieurs origines ; tous communiquaient par la pensé. L'endroit était magnifique. C'était une grande pierre dressée, autour de laquelle, se tenaient le pèlerins dans le calme. Cette pierre était lá comme un phare pour tous. Elle irradie les belles énergies oú le ciel et la terre conflue aient, pour rendre ce lieu la racine de leurs existences. Cet objet était placé là par des ethnies dans les temps anciens; personne en pouvais dire qui. Avec mon frère, nous nous remîmes de cette belle présence; l'endroit et les gens. Nous enflammés nos cœurs avec un aire nouveau. Tenue présence de l infini, posé sur ces terres verdoyantes ; du coté ou nos cœurs, palpitent les noms de nos amours; de l autre coté de la grande mer bleue, infiniment bleue. Nous restâmes deux jours. L ethnie locale nous accueilli avec la simplicité des vies de ce monde. Après l expérience partagée, les différences entre tous s'étaient effacées. Pendant quelque temps, nous expérimentâmes une légèreté et un calme indicible. C'était pareil que lorsque je posais mes mains sur les autres ; les bienfaits du Maître étaient là, dans ses mains. Le chemin du retour était long. Nos compagnons de voyage nous proposèrent un autre chemin. Nous dîmes notre accord, en pensant à l'imprévu qui nous amènerais vers des merveilles. 

 

Les quatre jours dévirent sept pour retourner a la peuplade Delaware. Nous étions maintenant d autres personnes. Nous avons vu que sur cette terre il y avait des gens différents de nous en Europe ; leurs vies étaient comme une rivière coulant sur des terres pures. Non touchées, pas évidées de leurs essences originelles. Notre retour ver l Écosse se prépara avec d'autres précautions que pour le voyage á l'aller. Les courants marins étaient différents dans ce sens là. L arrivé en Écosse fut tourmentée. Le grands gaillard assurèrent le chevauchent de notre bateau sur les lames d'eau froide du nord de l'Europe. Nos visages étaient différents ; nous l avons vu sur les regards de gens qui nous attendaient. Le sol stable de galets sur la plage, nous réconfortent ; nous étions arrivés en basse marée. L'Europe était belle pour nous, même dans le froid. Nous la voyons maintenant avec autre regard. Nos amours vinrent a notre rencontre. Mes enfants, adultes maintenant, étaient avec leurs compagne et compagnon. Fières de nous montrer ce qui allait augmenter notre équipe. Des filles ou des garçons ? Et puis, nous nous unîmes après un grand repos. Mon frère et moi nous mimes a raconter nos expériences de voyage. Le temps passa lentement ; les yeux de nos interlocuteurs brillant au compas de nos dires. Et puis, nous finîmes par rendre compte de cet endroit magnifique ou la terre faisait un avec le cosmos ; cette belle pierre érigée, que plus tard, beaucoup des siècles après, serais une autre forme qui allait la remplacer. Un obélisque de 170 mètres ; en face d une belle construction appelée La Maison Blanche.

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